La Note
19 20
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Vous l'avez compris, GTA : Vice City surpasse dans tous les domaines son grand frère. Plus qu'un jeu vidéo, GTA : Vice City s'approche de très près de la frontière nous séparant de la réalité virtuelle. Une page se tourne. Bravo et Merci.
Les plus
- Liberté d'action énorme !
- La ville bien plus grande que GTA III
- Les musiques et les doublages
- La gestion des dégâts
- La conduite digne des meilleurs jeu de courses
- La durée de vie
- Graphismes plus fins
Les moins
- Encore quelques ralentissements et baisses de frame-rate
- Les nombreux bugs
Le Test
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GTA Vice City débarque enfin sur Xbox pour notre plus grand plaisir avec les améliorations que peut offrir la console de Microsoft ...
Après avoir tout explosé sur son passage dans sa version PlayStation 2, GTA Vice City arrive enfin sur Xbox dans un pack Collector accompagné de GTA III. Et autant vous le dire tout de suite, le titre est encore meilleur que sur la console de Sony. Souvenez-vous en 2002, lorsque GTA III est sorti dans les bacs, quasiment sans publicité… Le jeu était passé inaperçu, avant que le bouche à oreille fasse son effet. Et puis, les semaines défilèrent et Gran Theft Auto III continuait son petit bonhomme de chemin, sans se soucier de la concurrence, et régnait à la tête des charts. GTA III avait su créer un engouement comme jamais auparavant un jeu n’avait su le faire. Logique donc que les développeurs décident de réaliser une suite. Annoncé lors de l’E3 2003, Vice City ne devait au départ être qu’un simple addon mais de fil en aiguille, et devant l’immense communauté de fans réclamant une vraie suite, la décision fût prise de réaliser un épisode entièrement nouveau baptisé GTA Vice City.
La naissance d’une légende
Commençons tout d’abord par le scénario de Vice City, certes classique (du moins au début), mais toujours aussi efficace. Vous incarnez Tommy Vercetti, un malfrat tout juste sorti de prison. Mais, comme on dit, « chasse le naturel et il revient au galop », Tommy décide de renouer avec le domaine du banditisme. Malheureusement pour lui, sa première mission (échanger de l’argent contre de la Coke) va échouer. Tommy va se faire voler tout son fric et qui plus est, ses collègues vont se faire mitrailler lors de l’échange. Miraculeusement indemne, Tommy doit maintenant rembourser sa dette le plus vite possible, sous peine de voir sa tête mise à prix. Il va donc dans un premier temps chercher des petits boulots pour des mafieux. Vous n’évoluez donc plus dans Liberty City mais dans Vice City. Basée sur la ville américaine de Miami, Vice City possède une atmosphère toute autre que Liberty City. Ici, les filles font du rollers en tenues très légères, les voitures de sport rutilent à chaque coin de rue, et la drogue est le maître mot de toutes les conversations. Mais ça ne s’arrête pas là, puisque la ville de Vice City est approximativement deux fois plus grande que Liberty City. Plus grande certes mais aussi modélisée avec plus de détails, plus de petites ruelles, plus de quartiers, etc. Du côté des chiffres, c’est de la folie ! 120 véhicules différents contre 50 dans GTA III, 40 armes différentes (cela va du marteau à la tronçonneuse en passant par le katana et les classiques armes à feu) contre 15 dans GTA III, une centaine de missions contre 75 dans GTA III (les missions sont par ailleurs encore plus variées et tripantes que dans GTA III), et 7 heures de bandes-son contre un peu moins de 4 heures dans GTA III.
Le cœur a ses raisons que la raison ignore
Si la version PS2 n’était techniquement pas folichonne, le constat est tout autre sur Xbox. Les graphismes tout d’abord sont ici vraiment agréables. Les textures sont un poil plus riches que sur la console de Sony, et surtout le clipping est bien moindre. L’animation quant à elle est beaucoup plus satisfaisante, et les nombreux ralentissements connus sur le monolithe noir ne sont plus que de l’histoire ancienne. On retrouvera bien évidemment les bugs malheureux de collisions ou de caméra capricieuses mais cela n’est rien par rapport à la richesse des détails et la grandeur de la ville. Les voitures ont eu droit à un petit lifting en ce qui concerne les reflets sur la carrosserie. Tout ceci est un peu exagéré mais au moins on prend plaisir à voir que GTA Vice City n’est pas un simple portable. Et le gameplay alors ? Le gameplay est toujours aussi bon, rassurez-vous ! La maniabilité des différents véhicules est très instinctive (les engins à deux roues, rahhh, quel bonheur !). De nouveaux mouvements sont maintenant réalisables : vous pouvez vous accroupir pour mieux viser, vous pouvez sauter de votre véhicule en marche, faire des roues levées avec les scooters ou les motos, etc… Cet ajout de mouvement agit directement sur le gameplay et il en ressort nettement plus riche qu’auparavant. On remarquera au passage que le contrôle des véhicules sera désormais analogique ce qui facilite la prise en main de certains bolides lors de courses-poursuites. Passons maintenant à la bande-son, tout aussi bonne que sur PlayStation 2 et PC. Les doublages, effectués par de grands acteurs américains, sont fa-bu-leux ! Ils collent parfaitement à l’ambiance des cinématiques, et l’on a presque l’impression de voir un petit film sous nos yeux (et donc nos oreilles). Les radios sont elles, plus nombreuses que dans GTA III, et toujours aussi bien jouées, et vous aident à vous plonger dans le monde des années 80 avec des titres tels que Billie Jean de Mickaël Jackson par exemple. Les bruitages (sons des voitures et des motos, et autres petits bruits de ville) ont eux aussi été revus et corrigés. Le constat est très bon car bénéficiant des petits atouts Xbox : le 5.1 (et pas uniquement le DTS) et l’option Custom Soundtracks qui vous permet de créer votre propre radio via le disque dur de la console. Outre la très bonne idée de rassembler dans un même pack GTA III et GTA Vice City, les petits gars de chez Rockstar nous convient à une version non-censurée interdite au moins de 18 ans. Plus de bidouillage ! Désormais, le passage à tabac des cadavres et les joies du pickpocket, c’est où l’on veut, quand on veut et sur qui on veut. Pour en terminer avec les petites améliorations proposées dans cette conversion Xbox du jeu, les temps de chargements ont été revus et corrigés à la baisse. Fini les attentes interminables lorsqu’on commence une partie ou que l’on change de zone urbaine !
La naissance d’une légende
Commençons tout d’abord par le scénario de Vice City, certes classique (du moins au début), mais toujours aussi efficace. Vous incarnez Tommy Vercetti, un malfrat tout juste sorti de prison. Mais, comme on dit, « chasse le naturel et il revient au galop », Tommy décide de renouer avec le domaine du banditisme. Malheureusement pour lui, sa première mission (échanger de l’argent contre de la Coke) va échouer. Tommy va se faire voler tout son fric et qui plus est, ses collègues vont se faire mitrailler lors de l’échange. Miraculeusement indemne, Tommy doit maintenant rembourser sa dette le plus vite possible, sous peine de voir sa tête mise à prix. Il va donc dans un premier temps chercher des petits boulots pour des mafieux. Vous n’évoluez donc plus dans Liberty City mais dans Vice City. Basée sur la ville américaine de Miami, Vice City possède une atmosphère toute autre que Liberty City. Ici, les filles font du rollers en tenues très légères, les voitures de sport rutilent à chaque coin de rue, et la drogue est le maître mot de toutes les conversations. Mais ça ne s’arrête pas là, puisque la ville de Vice City est approximativement deux fois plus grande que Liberty City. Plus grande certes mais aussi modélisée avec plus de détails, plus de petites ruelles, plus de quartiers, etc. Du côté des chiffres, c’est de la folie ! 120 véhicules différents contre 50 dans GTA III, 40 armes différentes (cela va du marteau à la tronçonneuse en passant par le katana et les classiques armes à feu) contre 15 dans GTA III, une centaine de missions contre 75 dans GTA III (les missions sont par ailleurs encore plus variées et tripantes que dans GTA III), et 7 heures de bandes-son contre un peu moins de 4 heures dans GTA III.
Le cœur a ses raisons que la raison ignore
Si la version PS2 n’était techniquement pas folichonne, le constat est tout autre sur Xbox. Les graphismes tout d’abord sont ici vraiment agréables. Les textures sont un poil plus riches que sur la console de Sony, et surtout le clipping est bien moindre. L’animation quant à elle est beaucoup plus satisfaisante, et les nombreux ralentissements connus sur le monolithe noir ne sont plus que de l’histoire ancienne. On retrouvera bien évidemment les bugs malheureux de collisions ou de caméra capricieuses mais cela n’est rien par rapport à la richesse des détails et la grandeur de la ville. Les voitures ont eu droit à un petit lifting en ce qui concerne les reflets sur la carrosserie. Tout ceci est un peu exagéré mais au moins on prend plaisir à voir que GTA Vice City n’est pas un simple portable. Et le gameplay alors ? Le gameplay est toujours aussi bon, rassurez-vous ! La maniabilité des différents véhicules est très instinctive (les engins à deux roues, rahhh, quel bonheur !). De nouveaux mouvements sont maintenant réalisables : vous pouvez vous accroupir pour mieux viser, vous pouvez sauter de votre véhicule en marche, faire des roues levées avec les scooters ou les motos, etc… Cet ajout de mouvement agit directement sur le gameplay et il en ressort nettement plus riche qu’auparavant. On remarquera au passage que le contrôle des véhicules sera désormais analogique ce qui facilite la prise en main de certains bolides lors de courses-poursuites. Passons maintenant à la bande-son, tout aussi bonne que sur PlayStation 2 et PC. Les doublages, effectués par de grands acteurs américains, sont fa-bu-leux ! Ils collent parfaitement à l’ambiance des cinématiques, et l’on a presque l’impression de voir un petit film sous nos yeux (et donc nos oreilles). Les radios sont elles, plus nombreuses que dans GTA III, et toujours aussi bien jouées, et vous aident à vous plonger dans le monde des années 80 avec des titres tels que Billie Jean de Mickaël Jackson par exemple. Les bruitages (sons des voitures et des motos, et autres petits bruits de ville) ont eux aussi été revus et corrigés. Le constat est très bon car bénéficiant des petits atouts Xbox : le 5.1 (et pas uniquement le DTS) et l’option Custom Soundtracks qui vous permet de créer votre propre radio via le disque dur de la console. Outre la très bonne idée de rassembler dans un même pack GTA III et GTA Vice City, les petits gars de chez Rockstar nous convient à une version non-censurée interdite au moins de 18 ans. Plus de bidouillage ! Désormais, le passage à tabac des cadavres et les joies du pickpocket, c’est où l’on veut, quand on veut et sur qui on veut. Pour en terminer avec les petites améliorations proposées dans cette conversion Xbox du jeu, les temps de chargements ont été revus et corrigés à la baisse. Fini les attentes interminables lorsqu’on commence une partie ou que l’on change de zone urbaine !
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