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Après cinq minutes de jeu on est en droit de se demander si Konami n’a pas volontairement saboté l’exploitation de cette nouvelle franchise. Même si la célébrité n’est pas au rendez-vous comme pour Yu-Gi-OH !, Pokémon et tant d’autres licences, ce n’est pas une raison pour nous refiler un jeu bâclé de toutes parts où la laideur du moteur graphique n’a d’égal que l’imprécision de son gameplay et où l’intérêt de jeu frise le zéro absolu. En deux mots comme en mille : à éviter !
- On cherche encore…
- Environ 99% du jeu
Assez peu connue, pour ne pas dire inconnue du grand public, la licence Dragon Booster s’offre son premier passage vidéoludique sur la console tactile de Nintendo. Et c’est Konami, qui après Yu-Gi-Oh !, met en scène une autre série animée pour les jeunes joueurs et aux vues du résultat on aurait pu s’en passer.
Dragon City se meurt petit à petit dans une guerre interminable opposant les Dragons aux Hommes suite à l’exploitation du Draconium d’Or une énergie magique concentrée dans l’ossature des dragons. Mais dans ce conflit, un Dragon d’Etoile s’associe avec un humain pour rétablir la paix dans le monde. Pourquoi évoquer l’histoire de Dragon Booster alors qu’il s’agit que d’un simple jeu de course ? Tout simplement, parce que la réalisation dans son ensemble est indigne de