La Note
14 20
14 20
Les plus
- Graphismes
Bande Son
Les moins
- Jouabilité
Le Test
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Grabbed By The Ghoulies est le premier jeu développé par Rareware depuis son rachat par MicroSoft. Est-il à la hauteur de la réputation légendaire du célèbre studio anglais ?
Grabbed by the Ghoulies est le premier jeu développé par Rareware depuis son rachat par Microsoft. Est-il à la hauteur de la réputation légendaire du célèbre studio anglais ?
Non. Mais il n’en demeure pas moins un jeu à l’ambiance très agréable qui ne ménage pas sa peine pour offrir aux jeunes joueurs un gameplay simple et accessible. Un jeu fresh quoi !
There's something strange and it don't look good, who're you gonna call ?
La pluie trouve Cooper, un jeune et fringant blondinet, en pleine balade amoureuse et nocturne avec sa petite amie, la non moins fringante « fille ». Heureusement la vie (et le scénario) est bien faite et c’est sans peine qu’ils vont tous deux trouver refuge dans un manoir hanté. Ouf ! Evidemment la fille n’échappe pas à son destin de femelle vidéo ludique et se fait enlever par le maître des lieux l’inquiétant Baron Von Goule. Dés lors, il va s’agir pour vous de fouiller de fond en comble le Ghoulhaven Hall afin de mettre la main sur votre chère et tendre. Qu’est ce qu’elles feraient sans nous ces nulles de filles ? Je vous le demande. Vous l’aurez compris, l’histoire de ce jeu intéressera difficilement quiconque ayant déjà un ou deux poils sur le pubis. C’est son gameplay que nous n’hésiterons pas à qualifier de rafraîchissant qui attirera certainement ses éventuels acheteurs.
Invisible man sleeping in your bed, who’re you gonna call ?
Le jeu pourrait faire penser à une sorte de démarquage de Luigi’s Mansion pour les kids. Son principe est simple, voir primitif (c’est loin d’être une point négatif, on a constaté à de nombreuses reprise que dans l’univers des jeux vidéo les choses les plus simples sont les plus efficaces, remember Tetris ?). Il va donc être très ardu de vous l’expliquer. Le gameplay est articulé autour des différentes pièces du manoir Ghoulhaven Hall. Lorsque vous pénétrez dans l’une d’elle la porte se referme sur vous. Blam !!! Ce n’est qu’en remportant le défi qui vous ai lancé qu’il sera possible d’accéder à la pièce suivante. La plupart du temps il s’agira de tuer tous les ennemis présents dans la pièce. Les différents paramètres des combats changent constamment. Ils sont représentés par des icônes qui s’affichent en haut à gauche de l’écran. Tuer 30 chauves souris, trouver une clé, tuer tel type d’ennemis mais pas un autre, accomplir une mission avec votre énergie diminuée de moitié, ne pas casser un seul meuble de la maison, n’utiliser que des armes, terminer le défi en moins de 50 secondes…voici quelques unes des nombreuses situations dans lesquelles vous vous retrouverez. Si vous échouez c’est avec littéralement la mort aux trousses que vous devrez accomplir votre objectif (sachant que dans bien des situations elle est tout simplement inévitable). De temps à autres, certaines occupants du manoir essaieront de vous ficher une grosse frousse en vous hurlant dessus par surprise. Pour contrer les effets de cette peur bleue vous allez devoir enchaîner une séquence de boutons dans un temps imparti. Si vous échouez, Cooper va se ronger les ongles et par conséquent ne pu pouvoir se défendre. Les environnements sont hautement interactifs et la plupart des meubles peuvent (et doivent) être détruits. Ce faisant vous trouverez des items (power up, invisibilité, speed up, invincibilité…) qui vous faciliteront (ou compliqueront) la tâche. Les derniers tableaux parviennent à mélanger tous les éléments suscités de manière à créer des challenges réellement intéressants. C’est sans doute la plus grande force du jeu.
I ain’t afraid of no ghost
L’histoire est présentée à la manière d’un comics qui s’anime lors de ses passages les plus significatifs. Les graphismes sont très réussis et doivent beaucoup à l’univers de Tim Burton. Pour caricaturer les choses on pourrait dire que GBTG ressemble à l’univers de L’étrange Noël de Mr Jack repeint à grand coup de Cel-Shading. Ce procédé est utilisé d’une bien belle manière et c’est à lui que le jeu doit une grande part de son ambiance. La bande son (Elfmanienne en diable, décidemment on en sort pas) est faussement flippante. On est reste à milles lieux d’une OST comme celle de Silent Hill par exemple. Pour tout vous dire, cette musique me fait beaucoup penser à celle du train fantôme de la fête foraine de Meudon (celui à côté du stand de glace de la grosse Brigitte). Techniquement le jeu est donc réussi mais voilà, sa courte durée de vie, le manque de profondeur de son gameplay, l’impression de ne pas réellement évoluer, et ce drôle de sentiment que le jeu ne possède pas de climax interdisent à ce Grabbed By The Ghoulies d’être autre chose qu’un bon petit jeu. Un jeu pour les plus jeunes comme on dit. Les plus âgés, quant à eux, pourront toujours y déceler le doux parfum des jeux 8-16 bits qui ont jalonnés leur enfance de joueurs. Grabbed By The Ghoulies ou le cadeau de Noël idéal pour votre petit frère.
Non. Mais il n’en demeure pas moins un jeu à l’ambiance très agréable qui ne ménage pas sa peine pour offrir aux jeunes joueurs un gameplay simple et accessible. Un jeu fresh quoi !
There's something strange and it don't look good, who're you gonna call ?
La pluie trouve Cooper, un jeune et fringant blondinet, en pleine balade amoureuse et nocturne avec sa petite amie, la non moins fringante « fille ». Heureusement la vie (et le scénario) est bien faite et c’est sans peine qu’ils vont tous deux trouver refuge dans un manoir hanté. Ouf ! Evidemment la fille n’échappe pas à son destin de femelle vidéo ludique et se fait enlever par le maître des lieux l’inquiétant Baron Von Goule. Dés lors, il va s’agir pour vous de fouiller de fond en comble le Ghoulhaven Hall afin de mettre la main sur votre chère et tendre. Qu’est ce qu’elles feraient sans nous ces nulles de filles ? Je vous le demande. Vous l’aurez compris, l’histoire de ce jeu intéressera difficilement quiconque ayant déjà un ou deux poils sur le pubis. C’est son gameplay que nous n’hésiterons pas à qualifier de rafraîchissant qui attirera certainement ses éventuels acheteurs.
Invisible man sleeping in your bed, who’re you gonna call ?
Le jeu pourrait faire penser à une sorte de démarquage de Luigi’s Mansion pour les kids. Son principe est simple, voir primitif (c’est loin d’être une point négatif, on a constaté à de nombreuses reprise que dans l’univers des jeux vidéo les choses les plus simples sont les plus efficaces, remember Tetris ?). Il va donc être très ardu de vous l’expliquer. Le gameplay est articulé autour des différentes pièces du manoir Ghoulhaven Hall. Lorsque vous pénétrez dans l’une d’elle la porte se referme sur vous. Blam !!! Ce n’est qu’en remportant le défi qui vous ai lancé qu’il sera possible d’accéder à la pièce suivante. La plupart du temps il s’agira de tuer tous les ennemis présents dans la pièce. Les différents paramètres des combats changent constamment. Ils sont représentés par des icônes qui s’affichent en haut à gauche de l’écran. Tuer 30 chauves souris, trouver une clé, tuer tel type d’ennemis mais pas un autre, accomplir une mission avec votre énergie diminuée de moitié, ne pas casser un seul meuble de la maison, n’utiliser que des armes, terminer le défi en moins de 50 secondes…voici quelques unes des nombreuses situations dans lesquelles vous vous retrouverez. Si vous échouez c’est avec littéralement la mort aux trousses que vous devrez accomplir votre objectif (sachant que dans bien des situations elle est tout simplement inévitable). De temps à autres, certaines occupants du manoir essaieront de vous ficher une grosse frousse en vous hurlant dessus par surprise. Pour contrer les effets de cette peur bleue vous allez devoir enchaîner une séquence de boutons dans un temps imparti. Si vous échouez, Cooper va se ronger les ongles et par conséquent ne pu pouvoir se défendre. Les environnements sont hautement interactifs et la plupart des meubles peuvent (et doivent) être détruits. Ce faisant vous trouverez des items (power up, invisibilité, speed up, invincibilité…) qui vous faciliteront (ou compliqueront) la tâche. Les derniers tableaux parviennent à mélanger tous les éléments suscités de manière à créer des challenges réellement intéressants. C’est sans doute la plus grande force du jeu.
I ain’t afraid of no ghost
L’histoire est présentée à la manière d’un comics qui s’anime lors de ses passages les plus significatifs. Les graphismes sont très réussis et doivent beaucoup à l’univers de Tim Burton. Pour caricaturer les choses on pourrait dire que GBTG ressemble à l’univers de L’étrange Noël de Mr Jack repeint à grand coup de Cel-Shading. Ce procédé est utilisé d’une bien belle manière et c’est à lui que le jeu doit une grande part de son ambiance. La bande son (Elfmanienne en diable, décidemment on en sort pas) est faussement flippante. On est reste à milles lieux d’une OST comme celle de Silent Hill par exemple. Pour tout vous dire, cette musique me fait beaucoup penser à celle du train fantôme de la fête foraine de Meudon (celui à côté du stand de glace de la grosse Brigitte). Techniquement le jeu est donc réussi mais voilà, sa courte durée de vie, le manque de profondeur de son gameplay, l’impression de ne pas réellement évoluer, et ce drôle de sentiment que le jeu ne possède pas de climax interdisent à ce Grabbed By The Ghoulies d’être autre chose qu’un bon petit jeu. Un jeu pour les plus jeunes comme on dit. Les plus âgés, quant à eux, pourront toujours y déceler le doux parfum des jeux 8-16 bits qui ont jalonnés leur enfance de joueurs. Grabbed By The Ghoulies ou le cadeau de Noël idéal pour votre petit frère.
Test réalisé par Franck Richard
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