La Note
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Au final, ce test de Forza Motorsport 4 nous montre bien que Turn 10 n'a pris aucun risque, si ce n'est celui d'accueillir Kinect pour un résultat qui ne nous a pas franchement convaincus. L'essentiel se trouve plutôt ailleurs, du coté du mode "Carrière" par exemple, dont la progression place le joueur et ses goûts au coeur de la course automobile, et non plus l'inverse. On apprécie aussi les efforts faits pour la communauté, et la possibilité désormais de monter un club avec des potes ou des psychopathes du volant, et d'échanger tout un tas d'éléments pour vaincre la concurrence d'en face. Et puis, n'oublions pas l'Autovista qui nous a littéralement bluffés, et les commentaires percutants de Jeremy Clarkson ajoutent indéniablement du charme à ce mode que l'on n'attendait pas à un tel niveau. Du coup, le gameplay archi solide passe presque au second plan, comme si Turn 10 était de toute façon devenu intouchable dans ce secteur ; la preuve avec l'I.A. qui a gagné en maturité et à qui il arrive parfois de se planter en pleine course. Mais puisqu'il faut bien chercher la petite bête, on regrettera l'existence de quelques imperfections visuelles qui auraient pu être corrigées, ainsi que l'absence éternelle de la météo et du cycle jour/nuit. Deux raisons qui expliquent que l'on ne parle pas encore de simulation automobile parfaite. Mais on s'en rapproche...18 20
Retrouvez plus bas la suite de notre test de Forza Motorsport 4
Les plus
- L'aspect communautaire
- Un gameplay toujours au poil
- La richesse du contenu
- Durée de vie qui flirte avec l'infini
- Le mode Carrière moins linéaire
- L'I.A. ajustée
- Pas mal de réglages
- Le mode Autovista
Les moins
- La plastique trop brillante
- Toujours pas de météo
- Peu d'innovations finalement
- Kinect qui laisse sceptique
Le Test
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A l'heure actuelle, lorsque l'on parle bagnoles au bistrot du coin, deux noms reviennent constamment : Codemasters et Turn 10. Si le premier s'est déjà illustré cette année avec DiRT 3 et le récent F1 2011, c'est maintenant au tour du studio de Dan Greenawalt d'être sous le feu des projecteurs avec Forza Motorsport 4. On ne s'attend pas à une révolution pour être honnête, mais le maître de Kazunori Yamauchi a néanmoins promis quelques innovations qui, selon lui, devraient plaire aux inconditionnels de la série. C'est justement l'objet de notre test de Forza Motorsport 4.
Turn 10 ne transige jamais avec le contenu de Forza Motorsport, c'est un fait. A l'image de son prédécesseur, Forza Motorsport 4 tient sur deux disques : le premier DVD contient l'essentiel du titre avec l'intégralité des circuits et quelque 250 véhicules, alors que la seconde galette inclut 250 voitures supplémentaires, dont une poignée destinées au mode Autovista sur lequel nous reviendrons un peu plus tard. En gros, impossible de profiter de toutes les réjouissances si l'on n'installe pas ce pseudo-DLC sur le disque dur. Avant de passer aux choses sérieuses, le pilote se voit offrir un petit tour de découverte des Alpes bernoises à bord de la fameuse Ferrari F458 Italia qui orne la jaquette du jeu. Pour ce premier contact, toutes les aides sont activées et le HUD rangé au placard, histoire de respirer l'air frais des montagnes et de ne se préoccuper de rien d'autre. Ce n'est qu'à la fin de cette mise en bouche qu'il est temps de plonger dans le mode "Carrière", en choisissant sa première voiture avec laquelle il va falloir se faire les dents. Aygo (Toyota), C1 (Citroën), Micra (Nissan) ou bien encore Ka (Ford), autant dire que la sélection n'est pas très excitante. Mais il ne fallait pas non plus s'attendre à autre chose quand on connaît les habitudes de la maison, et surtout pas à une Veyron 16.4 (Bugatti) par exemple. Conscients que la progression dans le mode solo de Forza Motorsport 3 était linéaire, voire rébarbatif pour les moins courageux, les développeurs de Turn 10 ont cette fois-ci opté pour un système moins soporifique, qui fait franchir au pilote plusieurs divisions (amateur, clubman, sportsman, semi-pro, expert, professionnel entre autres). Chacune d'elles peut être considérée comme une saison, durant laquelle le joueur doit prendre part à un certain nombre de courses aux quatre coins de la planète, pour accumuler non seulement des Points de Pilote, mais aussi des Points d'Affinité. Si les premiers cités sont indispensables pour s'offrir des nouvelles voitures, la fidélité envers les constructeurs est précieuse afin de profiter de ristournes au moment de se procurer des pièces détachées. Un grand classique dans Forza Motorsport.
Mais ce qui rend la progression dans le mode Carrière nettement plus dynamique qu'en 2009, ce sont les épreuves qui s'adaptent systématiquement aux véhicules que l'on possède dans son garage ; et pas l'inverse. De cette manière, le pilote n'est plus contraint de s'acheter une voiture en vue de participer à telle ou telle course. Au volant d'une Audi S4 par exemple, il sera ainsi proposé de participer à une compétition réunissant tous les modèles de série d'Audi, ou bien encore à une course réservée aux grosses berlines européennes les plus rapides. Avec la M3 E92 de BMW, les portes du championnat taillé précisément pour ce modèle seront grandes ouvertes. Dans le même esprit, on peut également trouver des courses destinées principalement aux V8 et aux 8 cylindres, ou bien alors à une classe (allant de F à R1) bien précise. Bref, vous l'aurez compris, Forza Motorsport 4 se la joue open-world, puisque la carrière d'un amateur de muscle cars ne sera pas la même que celle d'un pilote ne jurant que par les compactes. On ne peut que féliciter Turn 10 pour cette initiative, d'autant qu'à chaque nouveau level atteint, le joueur a le choix parmi plusieurs véhicules, alors que ce n'était pas le cas dans Forza Motorsport 3 où une machine était prédéfinie pour chaque palier franchi. Pour le reste, on notera la présence des épreuves Top Gear où il s'agit de renverser des quilles ou de passer à travers des portes, le tout chronométré bien évidemment. Les fans de la première heure retrouveront le fameux tableau regroupant la totalité des épreuves présentes dans Forza Motorsport 4, ce qui laisse l'occasion de les accomplir, ici, dans l'ordre que l'on souhaite. Le but reste quand même de garnir son garage, et il faut dire que la car list du jeu fait mal à la tête. Plus de 500 engins sont répertoriés, parmi lesquels on peut compter des perles telles que les Lamborghini Reventon, Mercedes SLS AMG, Ferrari California, Aston Martin One-77 et autres Audi R8 5.2 FSI quattro ; sans oublier le sport-prototype bien représenté aussi dans le jeu.
Au niveau des circuits, là aussi Turn 10 continue d'aller de l'avant avec quelques nouveautés telles que Hockenheim, Infineon, Indianapolis ou encore la piste d'essai de Top Gear. On retient aussi les Alpes bernoises, véritable symbole de Forza Motorsport 4, avec lesquelles les développeurs se sont fait plaisir puisque le tracé là-bas est purement fictif. Quant au partenariat avec l'ALMS, il permet d'arpenter le Laguna Seca, Road Atlanta, Sebring et Road America, ce qui n'est quand même pas rien quand on est passionné des courses d'endurance. Suzuka répond lui aussi présent, au même titre que Camino Viejo de Montserrat, le Mugello, le Nürburgring et Silverstone. Soyons honnêtes, en termes de gameplay, Forza Motorsport 4 n'apporte pas vraiment grand chose à la série, son prédécesseur ayant déjà maté la concurrence depuis deux ans maintenant. On retrouve, du coup, ce freinage souple qui permet de piler au dernier moment pour mettre l'adversaire sous pression, sans forcément risquer la sortie de route. Idem en ce qui concerne l'accélération qu'il faudra doser pour éviter toute perte d'adhérence, notamment dans les virages où il est facile de se faire déborder en cas de mauvaise trajectoire. Les mouvements de caisse sont plus réalistes, et la distinction traction/propulsion demeure jouissive. Comme souvent dans pareil cas, une bonne connaissance des circuits sera la meilleure arme pour bien figurer en course, Turn 10 ayant également sollicté la collaboration de Pirelli pour une gestion plus pointue des pneumatiques. Si Forza Motorsport 4 prend toute sa dimension en full simu, il n'en demeure pas moins un jeu de course accessible lorsque toutes les aides sont activées. Cinq niveaux de difficulté (facile, intermédiaire, difficile, avancé, expert) offrent ainsi l'occasion de se passer progressivement de l'ABS, du contrôle de stabilité et de traction, de la trajectoire préférentielle ou alors du rembobinage. Et bien qu'ils ne soient pas aussi impressionnants que chez Codemasters, les dégâts continuent de figurer au programme, ce qui oblige à prendre soin de sa monture sous peine de voir ses chances de victoire réduites à néant.
Puisque l'on en parle, on regrette que Turn 10 n'ait pas profité de Forza Motorsport 4 pour corriger quelques imperfections visuelles (pare-brise intact en vue cockpit alors que l'on vient de faire un million de tonneaux par exemple), et il faudra vraiment taper fort pour voir le pare-choc pendouiller ; enfin, ça dépend du modèle que l'on a entre les mains. Mais dans l'ensemble, la réalisation du jeu est d'excellente facture, avec une modélisation des voitures et des circuits aux petits oignons. Les aspérités des pistes sont respectées à la bosse près, et l'animation ne connaît aucune baisse de régime, sauf lors des parties en écran splitté ; mais vraiment rien de bien méchant. Forza Motorsport 4 n'oublie pas non plus la communauté, et les possesseurs de l'épisode précédent seront sans doute ravis d'apprendre qu'il est possible d'importer vinyles et autres créations artistiques, afin de ne pas avoir l'impression d'avoir passé sa vie à repeindre ses voitures pour rien. Mais le point le plus intéressant, ce sont les clubs auxquels plusieurs membres peuvent s'inscrire (jusqu'à une centaine chacun selon Turn 10), et à travers lesquels ceux-ci peuvent s'échanger, entre autres, des véhicules et des réglages, dans l'optique d'aller provoquer les rivaux d'en face. A ce sujet, les premiers défis seront disponibles dès la sortie du jeu, et les développeurs ont promis d'en ajouter régulièrement. L'autre gros morceau de Forza Motorsport 4, c'est bien évidemment le mode Autovista qui est tout simplement terrifiant, dans le bon sens du terme. On savait qu'on allait se prendre une claque, mais pas à ce point. Et si les commentaires de Jeremy Clarkson, le présentateur emblématique de Top Gear, sont fabuleux, c'est surtout la reproduction des véhicules que l'on peut scruter sous toutes les coutures qui doit mettre la fièvre à Kazunori Yamauchi. Le niveau de détail est monstreux, rien n'a été laissé au hasard, des disques ventilés aux coutures des sièges baquets, en passant par les moteurs et les jantes. Juste énorme pour les amoureux du sport automobile qui souhaitent voir ce qu'il se cache sous le capot de Ferrari Enzo, ou entendre rugir le moteur de la Lamborghini Reventon. Enfin, à propos de Kinect, il faut savoir qu'il est mis au service du head tracking, avec lequel le joueur peut tourner la tête pour - théoriquement - mieux négocier les virages. Le souci, c'est que le geste est beaucoup moins naturel lorsque l'on ne se retrouve pas réellement installé derrière un volant, ce qui le rend quasiment anecdotique. Même constat pour les courses sans manette qui manquent cruellement d'intérêt, d'autant qu'il faut se contenter de tourner le volant, sans gérer l'accélération ni le freinage. Le mode "Autovista" sollicite, lui aussi, Kinect : oui, mieux vaut opter pour le bon vieux pad.
Forza Greenawalt !
Mais ce qui rend la progression dans le mode Carrière nettement plus dynamique qu'en 2009, ce sont les épreuves qui s'adaptent systématiquement aux véhicules que l'on possède dans son garage ; et pas l'inverse. De cette manière, le pilote n'est plus contraint de s'acheter une voiture en vue de participer à telle ou telle course. Au volant d'une Audi S4 par exemple, il sera ainsi proposé de participer à une compétition réunissant tous les modèles de série d'Audi, ou bien encore à une course réservée aux grosses berlines européennes les plus rapides. Avec la M3 E92 de BMW, les portes du championnat taillé précisément pour ce modèle seront grandes ouvertes. Dans le même esprit, on peut également trouver des courses destinées principalement aux V8 et aux 8 cylindres, ou bien alors à une classe (allant de F à R1) bien précise. Bref, vous l'aurez compris, Forza Motorsport 4 se la joue open-world, puisque la carrière d'un amateur de muscle cars ne sera pas la même que celle d'un pilote ne jurant que par les compactes. On ne peut que féliciter Turn 10 pour cette initiative, d'autant qu'à chaque nouveau level atteint, le joueur a le choix parmi plusieurs véhicules, alors que ce n'était pas le cas dans Forza Motorsport 3 où une machine était prédéfinie pour chaque palier franchi. Pour le reste, on notera la présence des épreuves Top Gear où il s'agit de renverser des quilles ou de passer à travers des portes, le tout chronométré bien évidemment. Les fans de la première heure retrouveront le fameux tableau regroupant la totalité des épreuves présentes dans Forza Motorsport 4, ce qui laisse l'occasion de les accomplir, ici, dans l'ordre que l'on souhaite. Le but reste quand même de garnir son garage, et il faut dire que la car list du jeu fait mal à la tête. Plus de 500 engins sont répertoriés, parmi lesquels on peut compter des perles telles que les Lamborghini Reventon, Mercedes SLS AMG, Ferrari California, Aston Martin One-77 et autres Audi R8 5.2 FSI quattro ; sans oublier le sport-prototype bien représenté aussi dans le jeu.
On ne peut que féliciter Turn 10 pour cette initiative, d'autant qu'à chaque nouveau level atteint, le joueur a le choix parmi plusieurs véhicules, alors que ce n'était pas le cas dans Forza Motorsport 3 où un véhicule était prédéfini pour chaque palier franchi."
Au niveau des circuits, là aussi Turn 10 continue d'aller de l'avant avec quelques nouveautés telles que Hockenheim, Infineon, Indianapolis ou encore la piste d'essai de Top Gear. On retient aussi les Alpes bernoises, véritable symbole de Forza Motorsport 4, avec lesquelles les développeurs se sont fait plaisir puisque le tracé là-bas est purement fictif. Quant au partenariat avec l'ALMS, il permet d'arpenter le Laguna Seca, Road Atlanta, Sebring et Road America, ce qui n'est quand même pas rien quand on est passionné des courses d'endurance. Suzuka répond lui aussi présent, au même titre que Camino Viejo de Montserrat, le Mugello, le Nürburgring et Silverstone. Soyons honnêtes, en termes de gameplay, Forza Motorsport 4 n'apporte pas vraiment grand chose à la série, son prédécesseur ayant déjà maté la concurrence depuis deux ans maintenant. On retrouve, du coup, ce freinage souple qui permet de piler au dernier moment pour mettre l'adversaire sous pression, sans forcément risquer la sortie de route. Idem en ce qui concerne l'accélération qu'il faudra doser pour éviter toute perte d'adhérence, notamment dans les virages où il est facile de se faire déborder en cas de mauvaise trajectoire. Les mouvements de caisse sont plus réalistes, et la distinction traction/propulsion demeure jouissive. Comme souvent dans pareil cas, une bonne connaissance des circuits sera la meilleure arme pour bien figurer en course, Turn 10 ayant également sollicté la collaboration de Pirelli pour une gestion plus pointue des pneumatiques. Si Forza Motorsport 4 prend toute sa dimension en full simu, il n'en demeure pas moins un jeu de course accessible lorsque toutes les aides sont activées. Cinq niveaux de difficulté (facile, intermédiaire, difficile, avancé, expert) offrent ainsi l'occasion de se passer progressivement de l'ABS, du contrôle de stabilité et de traction, de la trajectoire préférentielle ou alors du rembobinage. Et bien qu'ils ne soient pas aussi impressionnants que chez Codemasters, les dégâts continuent de figurer au programme, ce qui oblige à prendre soin de sa monture sous peine de voir ses chances de victoire réduites à néant.
Forza Motorsport 3.5
Puisque l'on en parle, on regrette que Turn 10 n'ait pas profité de Forza Motorsport 4 pour corriger quelques imperfections visuelles (pare-brise intact en vue cockpit alors que l'on vient de faire un million de tonneaux par exemple), et il faudra vraiment taper fort pour voir le pare-choc pendouiller ; enfin, ça dépend du modèle que l'on a entre les mains. Mais dans l'ensemble, la réalisation du jeu est d'excellente facture, avec une modélisation des voitures et des circuits aux petits oignons. Les aspérités des pistes sont respectées à la bosse près, et l'animation ne connaît aucune baisse de régime, sauf lors des parties en écran splitté ; mais vraiment rien de bien méchant. Forza Motorsport 4 n'oublie pas non plus la communauté, et les possesseurs de l'épisode précédent seront sans doute ravis d'apprendre qu'il est possible d'importer vinyles et autres créations artistiques, afin de ne pas avoir l'impression d'avoir passé sa vie à repeindre ses voitures pour rien. Mais le point le plus intéressant, ce sont les clubs auxquels plusieurs membres peuvent s'inscrire (jusqu'à une centaine chacun selon Turn 10), et à travers lesquels ceux-ci peuvent s'échanger, entre autres, des véhicules et des réglages, dans l'optique d'aller provoquer les rivaux d'en face. A ce sujet, les premiers défis seront disponibles dès la sortie du jeu, et les développeurs ont promis d'en ajouter régulièrement. L'autre gros morceau de Forza Motorsport 4, c'est bien évidemment le mode Autovista qui est tout simplement terrifiant, dans le bon sens du terme. On savait qu'on allait se prendre une claque, mais pas à ce point. Et si les commentaires de Jeremy Clarkson, le présentateur emblématique de Top Gear, sont fabuleux, c'est surtout la reproduction des véhicules que l'on peut scruter sous toutes les coutures qui doit mettre la fièvre à Kazunori Yamauchi. Le niveau de détail est monstreux, rien n'a été laissé au hasard, des disques ventilés aux coutures des sièges baquets, en passant par les moteurs et les jantes. Juste énorme pour les amoureux du sport automobile qui souhaitent voir ce qu'il se cache sous le capot de Ferrari Enzo, ou entendre rugir le moteur de la Lamborghini Reventon. Enfin, à propos de Kinect, il faut savoir qu'il est mis au service du head tracking, avec lequel le joueur peut tourner la tête pour - théoriquement - mieux négocier les virages. Le souci, c'est que le geste est beaucoup moins naturel lorsque l'on ne se retrouve pas réellement installé derrière un volant, ce qui le rend quasiment anecdotique. Même constat pour les courses sans manette qui manquent cruellement d'intérêt, d'autant qu'il faut se contenter de tourner le volant, sans gérer l'accélération ni le freinage. Le mode "Autovista" sollicite, lui aussi, Kinect : oui, mieux vaut opter pour le bon vieux pad.
TEST VIDÉO FORZA MOTORSPORT 4
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