La Note
17 20
17 20
Les plus
- Graphismes
Bande Son
Durée de Vie
Les moins
- Jouabilité
Le Test
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Oubliez Amped premier du nom, ce second opus envoie plus gros. Beaucoup plus gros.
Alors que SSX 3 était avant tout un jeu d’arcade pur et dur, Amped 2 s’inscrit dans une veine qui se veut réaliste. Fini les bagarres, les tracés délirants, cette fois votre but est de devenir une star dans le petit monde des riders. À ce titre un mode carrière n’aura jamais si bien porté son nom car il vous faudra non seulement envoyer du gros mais aussi gagner le cœur et le portefeuille des médias et sponsors de tous poils. Il y a 3 façons de se façonner une carrière médiatique : les classiques spots photos mais aussi les tournages de vidéos (où il faudra réaliser des tricks spécifiques en suivant un parcours bien prédéfini) et les démos où il faudra essayer de plaire aux goûts sponsors (chacun d’eux ayant bien évidemment leur préférences, grind, big air, aerial stylés…).
J’vais te l’planter moi le bâton
Par rapport à son prédécesseur Amped 2 est plus. Plus grand, plus beau, plus attrayant. Il est possible de rider les montagnes du monde entier et plus seulement les sommets ricains. Le jeu est magnifique et gère les différents moments de la journée d’une façon très convaincante. Mais la grosse nouveauté réside dans le fait qu’il est désormais possible de faire du Snowskate. La discipline est assez nouvelle mais vous trouverez dans Amped 2 des snowparks conçus spécialement pour le SK8. Une agréable façon de varier le gameplay, en plaçant des kickflips par exemple. Ça semble peu mais on peut vous assurer que c’est beaucoup.
Pour assurer à Amped 2, il faut enrouler, c'est-à-dire infléchir une direction à sa board juste avant de lancer son jump (poper que ça s’appelle et non, je ne ferais pas de jeux de mots à base de poppers). Enrouler du spin, enrouler du flip, enrouler tout ce qui passe et si possible avec style. Cette nouvelle notion de « style » est habilement représentée et gérée dans le jeu de Microsoft. Une jauge apparaît à l’écran lorsque vous actionner le stick analogique gauche avec douceur et doigté. Ce nouveau concept de style démarque très nettement ce Amped 2 de son prédécesseur et des systèmes de tricks de jeu de glisse habituels même s’il doit encore beaucoup à Tony Hawk. Le butter (l’équivalent du manual en skate) fait aussi son apparition dans cet opus. Il permet d’enchaîner des tricks de catégorie différente (grind, flip…) et ainsi de réaliser des combos. Combos et style, deux maîtres mots qui vous permettront de réaliser de scores de pros.
Bien que plus aguicheuse que Amped 1, la jouabilité est moins élastique que celle d’un SSX 3, comprenez par là qu’elle est beaucoup plus rigoureuse. Un switch au mauvais moment et c’est la gamelle assurée. La gestion des atterrissages ne laisse pas beaucoup de marge d’erreur. Un trick parfaitement exécuté peut voir le nombre de points qu’il aurait du lui être attribué divisé par deux si le replaquage est considéré comme limite.
Au final, on peut affirmer sans trop risquer de se tromper que Amped 2 est une petite bombe. C’est un très bon jeu de snow qui tout en s’adressant clairement à un public de passionnés de snow réussi à ne pas sombrer dans un élitisme de mauvais aloi. Il intègre avec un fidélité étonnante les différentes exigences du snow tout en sachant combler les gamers techniques fans de tricks en tout genre. On regrettera seulement que le tracé des pistes ne permettent pas toujours une bonne appréciation des distances. Il est aussi atteint d’un jeunisme un peu irritant mais ne vous en faite pas ça déchire sa race quand même. La localisation laisse elle aussi à désirer : « commence à tricker dans le cercle de départ » vous avouerez que ça peut laisser songeur…
J’vais te l’planter moi le bâton
Par rapport à son prédécesseur Amped 2 est plus. Plus grand, plus beau, plus attrayant. Il est possible de rider les montagnes du monde entier et plus seulement les sommets ricains. Le jeu est magnifique et gère les différents moments de la journée d’une façon très convaincante. Mais la grosse nouveauté réside dans le fait qu’il est désormais possible de faire du Snowskate. La discipline est assez nouvelle mais vous trouverez dans Amped 2 des snowparks conçus spécialement pour le SK8. Une agréable façon de varier le gameplay, en plaçant des kickflips par exemple. Ça semble peu mais on peut vous assurer que c’est beaucoup.
Pour assurer à Amped 2, il faut enrouler, c'est-à-dire infléchir une direction à sa board juste avant de lancer son jump (poper que ça s’appelle et non, je ne ferais pas de jeux de mots à base de poppers). Enrouler du spin, enrouler du flip, enrouler tout ce qui passe et si possible avec style. Cette nouvelle notion de « style » est habilement représentée et gérée dans le jeu de Microsoft. Une jauge apparaît à l’écran lorsque vous actionner le stick analogique gauche avec douceur et doigté. Ce nouveau concept de style démarque très nettement ce Amped 2 de son prédécesseur et des systèmes de tricks de jeu de glisse habituels même s’il doit encore beaucoup à Tony Hawk. Le butter (l’équivalent du manual en skate) fait aussi son apparition dans cet opus. Il permet d’enchaîner des tricks de catégorie différente (grind, flip…) et ainsi de réaliser des combos. Combos et style, deux maîtres mots qui vous permettront de réaliser de scores de pros.
Bien que plus aguicheuse que Amped 1, la jouabilité est moins élastique que celle d’un SSX 3, comprenez par là qu’elle est beaucoup plus rigoureuse. Un switch au mauvais moment et c’est la gamelle assurée. La gestion des atterrissages ne laisse pas beaucoup de marge d’erreur. Un trick parfaitement exécuté peut voir le nombre de points qu’il aurait du lui être attribué divisé par deux si le replaquage est considéré comme limite.
Au final, on peut affirmer sans trop risquer de se tromper que Amped 2 est une petite bombe. C’est un très bon jeu de snow qui tout en s’adressant clairement à un public de passionnés de snow réussi à ne pas sombrer dans un élitisme de mauvais aloi. Il intègre avec un fidélité étonnante les différentes exigences du snow tout en sachant combler les gamers techniques fans de tricks en tout genre. On regrettera seulement que le tracé des pistes ne permettent pas toujours une bonne appréciation des distances. Il est aussi atteint d’un jeunisme un peu irritant mais ne vous en faite pas ça déchire sa race quand même. La localisation laisse elle aussi à désirer : « commence à tricker dans le cercle de départ » vous avouerez que ça peut laisser songeur…
Test réalisé par Franck Richard
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