Micromania Games Show '03
4500m² de jeux vidéo. Tous les plus grands éditeurs. JeuxActu a testé en avant première les prochains hits au Micromania Games Show. Verdict !
Micromania Games Show 2003
Dimanche 5 octobre 2003, 8h30.
Pour la seconde fois consécutive, Micromania crée l’événement en organisant le Micromania Games Show : salon du jeux vidéo réservé aux meilleurs clients de l'enseigne. Etant présent l’année dernière lors de la cuvée 2002 qui se tenait au Stade de France, cette version 2003 était plus qu’attendue. Le résultat fut à la hauteur de nos espérances. JeuxActu était bien entendu présent à ce salon, Pelon et Agon ont couvert l’événement. Voici donc le premier dossier « bicéphale » du MGS…
Festival de Sons et Lumières :
9 heures et quelques minutes, le salon ouvre enfin. On tombe nez à nez avec un Méga Cruiser Xbox qui nous tend les bars. Une entrée timide en matière malgré un présentation orchestrée par un écran géant et à coups de décibels. Le cruiser ne propose que des jeux Xbox sortis dans le commerce il y a quelques mois. On est là surtout pour tester de la nouveauté, voir les prochains hits de fin d’année, vous donner nos impressions (bonnes ou mauvaises) sur les jeux à venir. C’est lorsqu’on pénètre dans le hall que tout s’anime. Atari, Microsoft, Eidos, Ubisoft, Sony, Nintendo, Electronic Arts, Konami, Vivendi Universal Games, BigBen, Sega, Activision, Acclaim, Take 2 Interactive bref tous les grands noms sont à l’appel. Chacun ayant son propre stand, ses propres jeux à présenter.
True Crime : Streets Of L.A, « LE » GTA-Killer
Voilà, le jeu que j’attendais plus que tout. Après l’énorme déception de The Getaway et en attendant le Double Pack Collector GTA, True Crime a les moyens de faire parler de lui et même j’irais jusqu’à dire qu’il peut détrôner GTA Vice City. Graphiquement supérieur au titre de Rockstar, True Crime est un parfait mélange entre aboutissement technique et profondeur visuelle. Le jeu est extrêmement riche, détaillé et ne présente que peu de bugs de collision à l’heure, ce qui présage du meilleur. Facile de prise en main, la maîtrise de Nick Kang est aisée et les mouvements du personnage nombreux. Les Gun-Fights sont dignes de Max Payne avec une maniabilité améliorée. Des sauts en mode bullet-time, des désarmements spectaculaires, des prises d’otages, True Crime propose un large choix d’action ce qui manque à un GTA. Pour ce qui est des scènes en voitures, outre un choix important de véhicules, ces dernières sont rapides et spectaculaires. Que pourrait-on demander de plus ! Graphiquement magnifique, avec une maniabilité instinctive (seul le système de visée peut gêner au début) et des musiques excellentes, True Crime sera indéniablement le carton de cette fin d’année, toutes consoles confondues ! Rendez-vous le 14 novembre prochain pour vous faire votre propre opinion.
Rainbow Six III, une valeur sûre pour la Xbox
Après la surprise que fut Splinter Cell l’année dernière, Ubi Soft en remet une couche avec le portage en exclusivité sur Xbox de Rainbow Six III : Raven Shield sorti sur PC. On remarque tout de suite que le moteur graphique utilisé est le même que pour Sam Fisher. Autrement dit, les effets d’ombres et de lumières sont grandioses. Rainbow Six III s’inscrit dans la lignée des Tom Clancy’s et par conséquent se veut réaliste au maximum. One-shoot, one-kill. Arsenal existant. IA d’exception. Rainbow Six III va conquérir le cœur des amoureux d’infiltration. S’inspirant des livres de Tom Clancy, vous incarnez Ding Chavez (et uniquement lui, ce qui est différent des Ghost Recon) qui devra durant le jeu sauver des otages, désarmer des bombes, neutraliser des terroristes. Pour l’aider dans sa tâche, 3 coéquipiers vous obéiront au doigt (grâce au bouton Noir de la manette) et à la voix (avec le Microcasque Xbox). Et comme si ça ne suffisait pas, une compatibilité Xbox Live est à l’honneur avec téléchargement, modes multijoueurs, coopérative, etc. Mélangeant atmosphère pesante, reconnaissance vocale, univers à part entière (celui de Tom Clancy évidemment), interface améliorée et réalisme poussé, Rainbow Six III va faire mal, très mal dès novembre sur Xbox.
Top Spin, le meilleur jeu de Tennis pour quelques années
Pelon : Voilà qui va faire des émules ! Le meilleur jeu de Tennis sera sur Xbox. Certes il y a bien Virtua Tennis 2 ou Smash Court Tennis Pro Tournament, mais une fois qu’on a touché à Top Spin, « le retour à la réalité risque d’être difficile » comme le dit si bien Microsoft. Top Spin se classe dans la catégorie simulation tout en proposant une jouabilité accessible. Lifts, coups droits, lobs, amortis, le jeu offre en plus les tirs Risky Shots qui, comme le nom l’indique, sont osés, dangereux mais capitaux pour marquer des points. Les versions présentées aux salons n’étaient pas terminées à 100% donc il fallait jouer malgré les ralentissements ou les temps de chargements extrêmement longs entre chaque menu. Mais tout cela sera modifié avant la sortie du jeu en novembre, parole de Microsoft. Top Spin se démarque de la concurrence avec, en plus d’un moteur graphique superbe, un gestion de l’attitude du tennisman. Ainsi, le moral varie selon la réussite et influencera le public, les décisions de l’arbitre. Compatible XSN, le jeu Xbox Live (jusqu’à 4) permettra de faire un classement ATP pour savoir quel sera le meilleur joueur mondial. Un titre majeur pour le jeu en réseau en Europe (et aux USA) et pour les fans de jeux de sports.
Agon : Malgré un certain scepticisme (qui a dit que cela me caractérisait tant…), cette simulation sportive semble effectivement être la seule concurrente de Virtua Tennis 2. Et les quelques défauts d’animations (tenue de la raquette, course) ne gâchent pas le plaisir en multi joueur. Le modèle physique de la balle est parfait et on reconnaît tout de suite les différents joueurs. Espérons que Top Spin réveillera un peu SEGA car un bon jeu de tennis tous les 3 ans, c’est vraiment trop peu, alors à quand Virtua Tennis 3 ?
Crimson Skies: High Road to Revenge, la surprise qui venait du ciel
Voilà un titre pour qui mon intérêt frôlait le zéro. Oui, jusqu’à ce que je me saisisse de la manette S Xbox pour des parties endiablées en LAN. C’est sûr le mode Multijoueurs que Microsoft a insisté durant le salon. Une borne avec 4 consoles, 8 manettes et 8 casques. Et c’est parti pour un quart d’heure de folie. Visuellement Crimson Skies est, comme la majorité des titres présentés, magnifique même si un léger flou persiste à l’horizon afin d’éviter les effets de clipping. Vous ne connaissez pas Crimson Skies ? Il s’agit d’un jeu de shoot aérien mélangeant simulation, action et aventure à bord d’avions des années ’30. Je n’ai pu tâter que le mode multijoueur mais j’ai étais plus qu’emballer alors que ce genre de jeu ne me plaît « habituellement » pas. La vitesse de déplacement varie selon le choix des avions et les scènes de combats intenses notamment grâce à de nombreuses figures réalisables durant les vols afin d’éviter d’être pris en chasse. Une excellente surprise dès le 31 Octobre sur Xbox.
Mario Kart : Double Dash, le dernier samaritain
Pelon : Voilà, le jeu attendu par tous les possesseurs de GameCube pour la fin de l’année. 7 ans que Mario Kart n’avait plus vu le jour sur une console de salon depuis la Nintendo 64. Ça fait long. Mais comme on dit : plus c’est long, plus c’est bon. Et franchement c’est plus que bon ! Nintendo a vu les choses en grand ! Un hexagone de rétroprojecteurs Thompson. Six vrais karts utilisés pour l’occasion. Et bien évidemment 6 GameCube et des Mario Kart : Double Dash !! Pour y jouer, il fallait prendre son mal en patience, vu l’importance de la foule à ce niveau-là. 18h30, j’ai enfin l’occasion de le tester. Je me met au volant du kart, agrippant fermement le volant Logitech. On commence par la sélection de l’équipe. Mario, Luigi, Yoshi, Wario, Donkey, Diddy, Warluigi, Bowser, Baby Bowser, Baby Luigi, Baby Mario, Peach, Pinky. Allez, c’est parti pour Baby Mario et Diddy Kong dans les montagnes enneigées de Mario Land. Ce n’est pas la meilleure solution, car jouer à Mario Kart avec un volant c’est pas loin d’être facile. Imaginez la galère. Graphiquement joli, Mario Kart reste dans l’univers Mario. C’est-à-dire tout coloré, édulcoré. On aime ou on n'aime pas mais dans tous les cas on ne peut pas ignorer la qualité du travail effectué ! Le jeu est bien speed, surtout lorsqu’on prend les zones de boost ou qu’on utilise un champignon. On retrouve les bonus habituels qui ont fait le succès de la série : carapaces, champignons, peaux de bananes, faux items, éclairs, etc. Evidemment, on en retrouve des inédits dont je vous laisserez la surprise de découvrir lors de la sortie du jeu.
Agon : Effectivement, ce jeu est attendu par une grande partie de la communauté des possesseurs de GameCube. Graphiquement, on se retrouve avec grosso modo le même moteur que celui de Mario Sunshine. Le gameplay d’une innovation toute relative, ne dépaysera personne. Bref, rien de vraiment exceptionnel, je suis resté quand même légèrement déçu. De plus la maniabilité du jeu avec le volant Logitech n’a pas vraiment su nous convaincre. En effet j’étais persuadé d’être dans une file de joueurs très mauvais, mais une fois assis dans le kart j’ai compris leur calvaire. Comme quoi, ne jamais juger avant d’avoir jouer.
FIFA Football 2004, le choc
FIFA est en pleine mutation et ça se voit ! Amorcée dès la saison 2002/2003, cette nouvelle saison annonce le changement de cap. EA Sports a mis les bouchées doubles pour écraser PES 3. Le résultat ? Un jeu axé trop, trop simulation au point où ça en devient énervant et démotivant !
Avant toutes choses, il s’agissait d’une version Xbox finie à 70%. Donc j’espère que les 30% restants remonteront l’ensemble. Le jeu est lent (tant dans les déplacements des joueurs que dans la durée des manches, à savoir 4 minutes interminables) sans présenter de ralentissements malgré des graphismes de toute beauté. Durant 4 matchs, 1 contre 1, aucun but inscrit ! Le comble pour FIFA ! Le joueur seul devant les buts et il se troue. Faut quand même pas abuser ! Parti comme c’est parti, Pro Evolution Soccer 3 n’a pas de soucis à se faire !
Pro Evolution Soccer 3, le retour du messie
Parfait ! Parfait en tous points ! Moteur graphique retravaillé. Amélioration de l’intelligence artificielle. Nouveaux mouvements. Plus de modes de jeu. Meilleure ambiance dans les stades. Dommage que FIFA ait toutes les licences, car la FIF Pro ce n'est pas suffisant. Malheureusement, les commentaires restent navrants et Guivarch ne vaut pas plus sur le terrain qu’avec un micro. Allez plus qu’une semaine à attendre pour jouer au meilleur jeu de foot de cette année !
The Simpsons : Hit & Run, un GTA autorisé aux moins de 16 ans
En hop, encore une belle surprise ! Vivendi Universal Games et sa version de Grand Theft Auto. Chose qui n’est pas commune : la licence des Simpsons bien exploitée ! Même si le jeu est graphiquement en dessous de la qualité général du salon, il n’en reste pas moins attrayant. Reprenant l’univers de la série télévisée, le personnage incarné (Omer, Marge, Bart ou Magie) peut faire tout ce qui lui passe par la tête : Prendre une voiture c’est possible. Non, je n’ai pas dit voler une voiture. Vous êtes le passager mais le joueur contrôle tout de même le véhicule. Renverser un piéton. Non je n’ai pas dit écraser un piéton. Lorsque vous percutez un PNJ, celui-ci va rebondir, rouler jusqu’à ce qu’il puisse se remettre sur patte et vaquer à ses occupations. Frapper quelqu’un. Non. je n’ai pas dit tabasser à mort un touriste. The Simpsons : Hit & Run est un excellent soft qui en surprendra plus d’un par son côté original, sa liberté d’agir et sa réalisation qui reste agréable (notamment avec un doublage total en Français, avec les voix de la série).
Backyard Wrestling : Don’t Try This At Home, un jeu fini ?
Ah ! Ce p’tit Backyard Wrestling. Prenez un jeu de catch tout ce qu’il y a de plus classique. Vous ajoutez la brutalité des coups de Def Jam Vendetta. Vous collez l’étiquette Interdit Aux Moins de 18 Ans. Voilà, vous obtenez le jeu de baston de chez Eidos Interactive. Dans des environnements naturels, deux personnages se foutent sur la gueule jusqu’au KO (ou la mort peut-être). Pneus, bâtons, tables, caisses, TV, poubelles. Tout ce qui vous entoure peut se retourner contre vous ! Et même l’interaction avec les décors apporte son lot de surprises. BYW propose un fun immédiat accompagné d’une maniabilité plus qu’accessible. Malheureusement, le tableau est gâché par des graphismes à peine acceptables mais surtout des bugs de collision omniprésents. C’est bien dommage surtout que le jeu sort le 24 de ce mois-ci.
En Vrac
Medal Of Honor : Soleil Levant.
Pelon : Il est un peu trop tôt pour en parler car la version PS2 présentée était loin d’être terminée et notamment graphiquement. On retrouve l’ambiance de Pearl Harbour (enfin je dis ça mais j’étais pas né en 1941) sur le pont, au contrôle d’un canon avec les kamikazes qui viennent de partout et les tortilles qui allument votre navire.
Star Wars Rogue Squadron III : Rebel Strike.
Agon : Que dire de ce jeu, seul le mode 2 joueurs et un culte à la première trilogie pourrait justifier l’achat si vous possédez Star Wars Rogue Squadron 2. Les phases de space fight n’ont pas bougé d’un pouce, et le mode à la 3 ème personne est doté d’une maniabilité toute particulière. On notera cependant le magnifique Guru Meditation lors d’un plantage de la GameCube, les connaisseurs apprécieront.
Need For Speed : Underground.
Pelon : Lorsque Fast And Furious croise Burnout 2, ça donne le prochain titre d’EA Games. Graphiquement impressionnant sur PS2 (les reflets sur la route mouillée, la caméra qui tremble avec la vitesse et l’utilisation du nos ou tout simplement l’effet de vitesse), il en reste pas moins décevant sur NGC. Mais là aussi, le jeu n’était qu’une version Preview.
Dragon Ball Z Budokai 2.
Agon : Un conseil, si vous voulez jouer rapidement en mode VS, sélectionnez les personnages les uns après les autres, sinon vous mettrez à mal votre ps2 qui saccadera pour ainsi montrer son mécontentement. Hormis ce léger inconvénient, le jeu est très agréable et le grand nombre de personnages disponibles devrait vous occuper quelque peu.
Prince Of Persia : Sands Of Time.
Pelon : Peut-être l’un des plus beaux jeux PS2 présentés lors du salon alors qu’il s’agissait là aussi d’une preview, Prince Of Persia va marquer la fin de l’année sur PS2. Ubisoft va se régaler.
Celebrity DeathMatch (XBOX).
Agon : Autant le dire tout de suite, graphiquement, les quelques screenshots que l’on avait pu voir auparavant, n’était pas très flatteur pour le jeu. Il reflétait tout simplement la vérité. Mais heureusement tout l’esprit trash de la série d’animation de MTV est conservé, pour exemple un combat mémorable entre Jerry Springer et Marylin Manson qui même les deux jambes arrachées continuait de se battre en sautillant sur le ring. Mention spéciale pour Carmen Electra (j’aurais ma revanche Th…). Les graphismes sont moyens, mais on s’amuse vraiment,du moins en multijoueurs, c’est bien là l’essentiel.
Judge Dredd Vs Judge Death.
Pelon : Là, par contre c’est une autre qualité de jeu. Moteur graphique désuet, textures pauvres, jouabilité obsolète. Je continue ou j’arrête ?
Metal Gear Solid: The Twin Snakes.
Agon : Graphique assez décevant (Aliasing prononcé), ralentissements. Gageons que cette version trial que nous avons eu en main ne représentera pas la qualité finale de cet opus. Car on sent vraiment le potentiel de ce titre. Wait And See.
WRC 3.
Pelon : Colin McRae Rally 04 a du souci à se faire. Graphiquement très joli malgré un aliasing persistant, WRC 3 peut facilement s’imposer comme étant la référence des jeux de Rally toutes consoles confondues, grâce à un mode multijoueurs online (absent du Colin McRae Rally 04) et une gestion des dégâts améliorée.
Worms 3D.
Agon : La version PS2 aurait grandement besoin d'être optimisée. Lancez une grenade et le jeu ralenti et saccade immanquablement (imaginez alors avec la super banane…). Lors du passage à la 3D les décors on perdu en richesse, l’horizon et la mer donne un aspect monotone au tout. Heureusement que les animations délirantes de nos vers de terre préférés sont toutes là. Bientôt la preview sur JeuxActu vous donnera plus d’éléments.
NBA Jam (XBOX).
Agon : Bonne surprise, animation fluide, graphismes soignés. Mais surtout, un gameplay instinctif qui vous assure de bonnes parties entre amis. On retrouve rapidement les automatismes acquis depuis les précédentes versions. Le fameux ‘he’s on fire ‘ est bien là et les dunks défiant la loi de gravité s’enchaînent facilement. On notera la possibilité de donner des ordres au cpu pour coordonner une action collective se terminant, si la défense adverse le veut bien, par un magnifique dunk capable de faire parler George Eddy durant des heures.
Il n’y a pas que les jeux dans la vie
Outre la multitude de jeux présentés, il y avait des concours : Top Spin (nous nous sommes fait rapidement sortir), PES League, FIFA 2004, NFS Underground, Mario Kart (avec en jeu un dessin unique de Zelda réalisé par Shigeru Myamoto) Dragon Ball Z Budokai 2, EyeToy, WRC 3, Gran Turismo 4, Project Gotham Racing 2, etc. Le salon était rempli de Guest-Stars (voir les photos) comme Mouss Diouf, Titoff, Menelik, l’équipe de Caméra Café, Tony Parker et 2 de ses coéquipiers des Spurs, Jay, Philippe Mexes, Tom Novembre, Frédéric Lerner, Jean-Luc Lemoine, etc. Et c’est sans parler des Pin-Up des jeux XIII, Prince Of Persia, Dance Europe ou de la marque Joytech. Et bien évidemment c’était aussi un moyen de récupérer des goodies, parfois collector : stylo Xbox, t-shirts EA Sports, chemises Sony, porte-cd, stickers, posters, porte-clefs, Cd démo de True Crime, DVD, cartes postales.
Bref, un salon comme on voudrait en voir plus souvent en France. Et même si essayer tous les jeux aurait pris 3 jours, on en ressort réjouis. Quant on voit l’évolution entre deux années, on attend vivement l’édition 2004 !
Merci particulièrement à Pierre Hugault, Thierry Chevallier et Thomas Roosen pour leur collaboration durant ce salon.
Dimanche 5 octobre 2003, 8h30.
Pour la seconde fois consécutive, Micromania crée l’événement en organisant le Micromania Games Show : salon du jeux vidéo réservé aux meilleurs clients de l'enseigne. Etant présent l’année dernière lors de la cuvée 2002 qui se tenait au Stade de France, cette version 2003 était plus qu’attendue. Le résultat fut à la hauteur de nos espérances. JeuxActu était bien entendu présent à ce salon, Pelon et Agon ont couvert l’événement. Voici donc le premier dossier « bicéphale » du MGS…
Festival de Sons et Lumières :
9 heures et quelques minutes, le salon ouvre enfin. On tombe nez à nez avec un Méga Cruiser Xbox qui nous tend les bars. Une entrée timide en matière malgré un présentation orchestrée par un écran géant et à coups de décibels. Le cruiser ne propose que des jeux Xbox sortis dans le commerce il y a quelques mois. On est là surtout pour tester de la nouveauté, voir les prochains hits de fin d’année, vous donner nos impressions (bonnes ou mauvaises) sur les jeux à venir. C’est lorsqu’on pénètre dans le hall que tout s’anime. Atari, Microsoft, Eidos, Ubisoft, Sony, Nintendo, Electronic Arts, Konami, Vivendi Universal Games, BigBen, Sega, Activision, Acclaim, Take 2 Interactive bref tous les grands noms sont à l’appel. Chacun ayant son propre stand, ses propres jeux à présenter.
True Crime : Streets Of L.A, « LE » GTA-Killer
Voilà, le jeu que j’attendais plus que tout. Après l’énorme déception de The Getaway et en attendant le Double Pack Collector GTA, True Crime a les moyens de faire parler de lui et même j’irais jusqu’à dire qu’il peut détrôner GTA Vice City. Graphiquement supérieur au titre de Rockstar, True Crime est un parfait mélange entre aboutissement technique et profondeur visuelle. Le jeu est extrêmement riche, détaillé et ne présente que peu de bugs de collision à l’heure, ce qui présage du meilleur. Facile de prise en main, la maîtrise de Nick Kang est aisée et les mouvements du personnage nombreux. Les Gun-Fights sont dignes de Max Payne avec une maniabilité améliorée. Des sauts en mode bullet-time, des désarmements spectaculaires, des prises d’otages, True Crime propose un large choix d’action ce qui manque à un GTA. Pour ce qui est des scènes en voitures, outre un choix important de véhicules, ces dernières sont rapides et spectaculaires. Que pourrait-on demander de plus ! Graphiquement magnifique, avec une maniabilité instinctive (seul le système de visée peut gêner au début) et des musiques excellentes, True Crime sera indéniablement le carton de cette fin d’année, toutes consoles confondues ! Rendez-vous le 14 novembre prochain pour vous faire votre propre opinion.
Rainbow Six III, une valeur sûre pour la Xbox
Après la surprise que fut Splinter Cell l’année dernière, Ubi Soft en remet une couche avec le portage en exclusivité sur Xbox de Rainbow Six III : Raven Shield sorti sur PC. On remarque tout de suite que le moteur graphique utilisé est le même que pour Sam Fisher. Autrement dit, les effets d’ombres et de lumières sont grandioses. Rainbow Six III s’inscrit dans la lignée des Tom Clancy’s et par conséquent se veut réaliste au maximum. One-shoot, one-kill. Arsenal existant. IA d’exception. Rainbow Six III va conquérir le cœur des amoureux d’infiltration. S’inspirant des livres de Tom Clancy, vous incarnez Ding Chavez (et uniquement lui, ce qui est différent des Ghost Recon) qui devra durant le jeu sauver des otages, désarmer des bombes, neutraliser des terroristes. Pour l’aider dans sa tâche, 3 coéquipiers vous obéiront au doigt (grâce au bouton Noir de la manette) et à la voix (avec le Microcasque Xbox). Et comme si ça ne suffisait pas, une compatibilité Xbox Live est à l’honneur avec téléchargement, modes multijoueurs, coopérative, etc. Mélangeant atmosphère pesante, reconnaissance vocale, univers à part entière (celui de Tom Clancy évidemment), interface améliorée et réalisme poussé, Rainbow Six III va faire mal, très mal dès novembre sur Xbox.
Top Spin, le meilleur jeu de Tennis pour quelques années
Pelon : Voilà qui va faire des émules ! Le meilleur jeu de Tennis sera sur Xbox. Certes il y a bien Virtua Tennis 2 ou Smash Court Tennis Pro Tournament, mais une fois qu’on a touché à Top Spin, « le retour à la réalité risque d’être difficile » comme le dit si bien Microsoft. Top Spin se classe dans la catégorie simulation tout en proposant une jouabilité accessible. Lifts, coups droits, lobs, amortis, le jeu offre en plus les tirs Risky Shots qui, comme le nom l’indique, sont osés, dangereux mais capitaux pour marquer des points. Les versions présentées aux salons n’étaient pas terminées à 100% donc il fallait jouer malgré les ralentissements ou les temps de chargements extrêmement longs entre chaque menu. Mais tout cela sera modifié avant la sortie du jeu en novembre, parole de Microsoft. Top Spin se démarque de la concurrence avec, en plus d’un moteur graphique superbe, un gestion de l’attitude du tennisman. Ainsi, le moral varie selon la réussite et influencera le public, les décisions de l’arbitre. Compatible XSN, le jeu Xbox Live (jusqu’à 4) permettra de faire un classement ATP pour savoir quel sera le meilleur joueur mondial. Un titre majeur pour le jeu en réseau en Europe (et aux USA) et pour les fans de jeux de sports.
Agon : Malgré un certain scepticisme (qui a dit que cela me caractérisait tant…), cette simulation sportive semble effectivement être la seule concurrente de Virtua Tennis 2. Et les quelques défauts d’animations (tenue de la raquette, course) ne gâchent pas le plaisir en multi joueur. Le modèle physique de la balle est parfait et on reconnaît tout de suite les différents joueurs. Espérons que Top Spin réveillera un peu SEGA car un bon jeu de tennis tous les 3 ans, c’est vraiment trop peu, alors à quand Virtua Tennis 3 ?
Crimson Skies: High Road to Revenge, la surprise qui venait du ciel
Voilà un titre pour qui mon intérêt frôlait le zéro. Oui, jusqu’à ce que je me saisisse de la manette S Xbox pour des parties endiablées en LAN. C’est sûr le mode Multijoueurs que Microsoft a insisté durant le salon. Une borne avec 4 consoles, 8 manettes et 8 casques. Et c’est parti pour un quart d’heure de folie. Visuellement Crimson Skies est, comme la majorité des titres présentés, magnifique même si un léger flou persiste à l’horizon afin d’éviter les effets de clipping. Vous ne connaissez pas Crimson Skies ? Il s’agit d’un jeu de shoot aérien mélangeant simulation, action et aventure à bord d’avions des années ’30. Je n’ai pu tâter que le mode multijoueur mais j’ai étais plus qu’emballer alors que ce genre de jeu ne me plaît « habituellement » pas. La vitesse de déplacement varie selon le choix des avions et les scènes de combats intenses notamment grâce à de nombreuses figures réalisables durant les vols afin d’éviter d’être pris en chasse. Une excellente surprise dès le 31 Octobre sur Xbox.
Mario Kart : Double Dash, le dernier samaritain
Pelon : Voilà, le jeu attendu par tous les possesseurs de GameCube pour la fin de l’année. 7 ans que Mario Kart n’avait plus vu le jour sur une console de salon depuis la Nintendo 64. Ça fait long. Mais comme on dit : plus c’est long, plus c’est bon. Et franchement c’est plus que bon ! Nintendo a vu les choses en grand ! Un hexagone de rétroprojecteurs Thompson. Six vrais karts utilisés pour l’occasion. Et bien évidemment 6 GameCube et des Mario Kart : Double Dash !! Pour y jouer, il fallait prendre son mal en patience, vu l’importance de la foule à ce niveau-là. 18h30, j’ai enfin l’occasion de le tester. Je me met au volant du kart, agrippant fermement le volant Logitech. On commence par la sélection de l’équipe. Mario, Luigi, Yoshi, Wario, Donkey, Diddy, Warluigi, Bowser, Baby Bowser, Baby Luigi, Baby Mario, Peach, Pinky. Allez, c’est parti pour Baby Mario et Diddy Kong dans les montagnes enneigées de Mario Land. Ce n’est pas la meilleure solution, car jouer à Mario Kart avec un volant c’est pas loin d’être facile. Imaginez la galère. Graphiquement joli, Mario Kart reste dans l’univers Mario. C’est-à-dire tout coloré, édulcoré. On aime ou on n'aime pas mais dans tous les cas on ne peut pas ignorer la qualité du travail effectué ! Le jeu est bien speed, surtout lorsqu’on prend les zones de boost ou qu’on utilise un champignon. On retrouve les bonus habituels qui ont fait le succès de la série : carapaces, champignons, peaux de bananes, faux items, éclairs, etc. Evidemment, on en retrouve des inédits dont je vous laisserez la surprise de découvrir lors de la sortie du jeu.
Agon : Effectivement, ce jeu est attendu par une grande partie de la communauté des possesseurs de GameCube. Graphiquement, on se retrouve avec grosso modo le même moteur que celui de Mario Sunshine. Le gameplay d’une innovation toute relative, ne dépaysera personne. Bref, rien de vraiment exceptionnel, je suis resté quand même légèrement déçu. De plus la maniabilité du jeu avec le volant Logitech n’a pas vraiment su nous convaincre. En effet j’étais persuadé d’être dans une file de joueurs très mauvais, mais une fois assis dans le kart j’ai compris leur calvaire. Comme quoi, ne jamais juger avant d’avoir jouer.
FIFA Football 2004, le choc
FIFA est en pleine mutation et ça se voit ! Amorcée dès la saison 2002/2003, cette nouvelle saison annonce le changement de cap. EA Sports a mis les bouchées doubles pour écraser PES 3. Le résultat ? Un jeu axé trop, trop simulation au point où ça en devient énervant et démotivant !
Avant toutes choses, il s’agissait d’une version Xbox finie à 70%. Donc j’espère que les 30% restants remonteront l’ensemble. Le jeu est lent (tant dans les déplacements des joueurs que dans la durée des manches, à savoir 4 minutes interminables) sans présenter de ralentissements malgré des graphismes de toute beauté. Durant 4 matchs, 1 contre 1, aucun but inscrit ! Le comble pour FIFA ! Le joueur seul devant les buts et il se troue. Faut quand même pas abuser ! Parti comme c’est parti, Pro Evolution Soccer 3 n’a pas de soucis à se faire !
Pro Evolution Soccer 3, le retour du messie
Parfait ! Parfait en tous points ! Moteur graphique retravaillé. Amélioration de l’intelligence artificielle. Nouveaux mouvements. Plus de modes de jeu. Meilleure ambiance dans les stades. Dommage que FIFA ait toutes les licences, car la FIF Pro ce n'est pas suffisant. Malheureusement, les commentaires restent navrants et Guivarch ne vaut pas plus sur le terrain qu’avec un micro. Allez plus qu’une semaine à attendre pour jouer au meilleur jeu de foot de cette année !
The Simpsons : Hit & Run, un GTA autorisé aux moins de 16 ans
En hop, encore une belle surprise ! Vivendi Universal Games et sa version de Grand Theft Auto. Chose qui n’est pas commune : la licence des Simpsons bien exploitée ! Même si le jeu est graphiquement en dessous de la qualité général du salon, il n’en reste pas moins attrayant. Reprenant l’univers de la série télévisée, le personnage incarné (Omer, Marge, Bart ou Magie) peut faire tout ce qui lui passe par la tête : Prendre une voiture c’est possible. Non, je n’ai pas dit voler une voiture. Vous êtes le passager mais le joueur contrôle tout de même le véhicule. Renverser un piéton. Non je n’ai pas dit écraser un piéton. Lorsque vous percutez un PNJ, celui-ci va rebondir, rouler jusqu’à ce qu’il puisse se remettre sur patte et vaquer à ses occupations. Frapper quelqu’un. Non. je n’ai pas dit tabasser à mort un touriste. The Simpsons : Hit & Run est un excellent soft qui en surprendra plus d’un par son côté original, sa liberté d’agir et sa réalisation qui reste agréable (notamment avec un doublage total en Français, avec les voix de la série).
Backyard Wrestling : Don’t Try This At Home, un jeu fini ?
Ah ! Ce p’tit Backyard Wrestling. Prenez un jeu de catch tout ce qu’il y a de plus classique. Vous ajoutez la brutalité des coups de Def Jam Vendetta. Vous collez l’étiquette Interdit Aux Moins de 18 Ans. Voilà, vous obtenez le jeu de baston de chez Eidos Interactive. Dans des environnements naturels, deux personnages se foutent sur la gueule jusqu’au KO (ou la mort peut-être). Pneus, bâtons, tables, caisses, TV, poubelles. Tout ce qui vous entoure peut se retourner contre vous ! Et même l’interaction avec les décors apporte son lot de surprises. BYW propose un fun immédiat accompagné d’une maniabilité plus qu’accessible. Malheureusement, le tableau est gâché par des graphismes à peine acceptables mais surtout des bugs de collision omniprésents. C’est bien dommage surtout que le jeu sort le 24 de ce mois-ci.
En Vrac
Medal Of Honor : Soleil Levant.
Pelon : Il est un peu trop tôt pour en parler car la version PS2 présentée était loin d’être terminée et notamment graphiquement. On retrouve l’ambiance de Pearl Harbour (enfin je dis ça mais j’étais pas né en 1941) sur le pont, au contrôle d’un canon avec les kamikazes qui viennent de partout et les tortilles qui allument votre navire.
Star Wars Rogue Squadron III : Rebel Strike.
Agon : Que dire de ce jeu, seul le mode 2 joueurs et un culte à la première trilogie pourrait justifier l’achat si vous possédez Star Wars Rogue Squadron 2. Les phases de space fight n’ont pas bougé d’un pouce, et le mode à la 3 ème personne est doté d’une maniabilité toute particulière. On notera cependant le magnifique Guru Meditation lors d’un plantage de la GameCube, les connaisseurs apprécieront.
Need For Speed : Underground.
Pelon : Lorsque Fast And Furious croise Burnout 2, ça donne le prochain titre d’EA Games. Graphiquement impressionnant sur PS2 (les reflets sur la route mouillée, la caméra qui tremble avec la vitesse et l’utilisation du nos ou tout simplement l’effet de vitesse), il en reste pas moins décevant sur NGC. Mais là aussi, le jeu n’était qu’une version Preview.
Dragon Ball Z Budokai 2.
Agon : Un conseil, si vous voulez jouer rapidement en mode VS, sélectionnez les personnages les uns après les autres, sinon vous mettrez à mal votre ps2 qui saccadera pour ainsi montrer son mécontentement. Hormis ce léger inconvénient, le jeu est très agréable et le grand nombre de personnages disponibles devrait vous occuper quelque peu.
Prince Of Persia : Sands Of Time.
Pelon : Peut-être l’un des plus beaux jeux PS2 présentés lors du salon alors qu’il s’agissait là aussi d’une preview, Prince Of Persia va marquer la fin de l’année sur PS2. Ubisoft va se régaler.
Celebrity DeathMatch (XBOX).
Agon : Autant le dire tout de suite, graphiquement, les quelques screenshots que l’on avait pu voir auparavant, n’était pas très flatteur pour le jeu. Il reflétait tout simplement la vérité. Mais heureusement tout l’esprit trash de la série d’animation de MTV est conservé, pour exemple un combat mémorable entre Jerry Springer et Marylin Manson qui même les deux jambes arrachées continuait de se battre en sautillant sur le ring. Mention spéciale pour Carmen Electra (j’aurais ma revanche Th…). Les graphismes sont moyens, mais on s’amuse vraiment,du moins en multijoueurs, c’est bien là l’essentiel.
Judge Dredd Vs Judge Death.
Pelon : Là, par contre c’est une autre qualité de jeu. Moteur graphique désuet, textures pauvres, jouabilité obsolète. Je continue ou j’arrête ?
Metal Gear Solid: The Twin Snakes.
Agon : Graphique assez décevant (Aliasing prononcé), ralentissements. Gageons que cette version trial que nous avons eu en main ne représentera pas la qualité finale de cet opus. Car on sent vraiment le potentiel de ce titre. Wait And See.
WRC 3.
Pelon : Colin McRae Rally 04 a du souci à se faire. Graphiquement très joli malgré un aliasing persistant, WRC 3 peut facilement s’imposer comme étant la référence des jeux de Rally toutes consoles confondues, grâce à un mode multijoueurs online (absent du Colin McRae Rally 04) et une gestion des dégâts améliorée.
Worms 3D.
Agon : La version PS2 aurait grandement besoin d'être optimisée. Lancez une grenade et le jeu ralenti et saccade immanquablement (imaginez alors avec la super banane…). Lors du passage à la 3D les décors on perdu en richesse, l’horizon et la mer donne un aspect monotone au tout. Heureusement que les animations délirantes de nos vers de terre préférés sont toutes là. Bientôt la preview sur JeuxActu vous donnera plus d’éléments.
NBA Jam (XBOX).
Agon : Bonne surprise, animation fluide, graphismes soignés. Mais surtout, un gameplay instinctif qui vous assure de bonnes parties entre amis. On retrouve rapidement les automatismes acquis depuis les précédentes versions. Le fameux ‘he’s on fire ‘ est bien là et les dunks défiant la loi de gravité s’enchaînent facilement. On notera la possibilité de donner des ordres au cpu pour coordonner une action collective se terminant, si la défense adverse le veut bien, par un magnifique dunk capable de faire parler George Eddy durant des heures.
Il n’y a pas que les jeux dans la vie
Outre la multitude de jeux présentés, il y avait des concours : Top Spin (nous nous sommes fait rapidement sortir), PES League, FIFA 2004, NFS Underground, Mario Kart (avec en jeu un dessin unique de Zelda réalisé par Shigeru Myamoto) Dragon Ball Z Budokai 2, EyeToy, WRC 3, Gran Turismo 4, Project Gotham Racing 2, etc. Le salon était rempli de Guest-Stars (voir les photos) comme Mouss Diouf, Titoff, Menelik, l’équipe de Caméra Café, Tony Parker et 2 de ses coéquipiers des Spurs, Jay, Philippe Mexes, Tom Novembre, Frédéric Lerner, Jean-Luc Lemoine, etc. Et c’est sans parler des Pin-Up des jeux XIII, Prince Of Persia, Dance Europe ou de la marque Joytech. Et bien évidemment c’était aussi un moyen de récupérer des goodies, parfois collector : stylo Xbox, t-shirts EA Sports, chemises Sony, porte-cd, stickers, posters, porte-clefs, Cd démo de True Crime, DVD, cartes postales.
Bref, un salon comme on voudrait en voir plus souvent en France. Et même si essayer tous les jeux aurait pris 3 jours, on en ressort réjouis. Quant on voit l’évolution entre deux années, on attend vivement l’édition 2004 !
Merci particulièrement à Pierre Hugault, Thierry Chevallier et Thomas Roosen pour leur collaboration durant ce salon.
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