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The Fast and The Furious : Tokyo Drift n’est donc finalement pas qu’un film, mais également un bon jeu 3D pour passer l’été. Quelques innovations convaincantes telles que la vue intérieure et la personnalisation du véhicule font complètement oublier l’absence de scénario. N’oubliez pas, il n’y a que dans les films et dans les jeux que l’on gagne du respect en effectuant des dérapages et en roulant comme un malade en voiture.
- La simplicité I-play
- Les enchaînements de dérapages
- La vue intérieure
- Les collisions approximatives
- L’histoire répétitive
The Fast and The Furious n’échappe pas à la règle qui dit que désormais chaque film au cinéma se doit d’être accompagné de son jeu sur téléphone Mobile. Pour une fois, la licence n’est pas abusive et le jeu est de qualité.
Ne cherchez ni histoire alambiquée ni torture de l’esprit pour s’en sortir. Ici, tout est simple. Pour devenir le roi du macadam de Tokyo, l’objectif est d’effectuer une combinaison de courses rapides et des dérapages qui en jettent pour gagner du respect. Le gentil public des 4 quartiers de Tokyo distribue alors des pourboires à utiliser pour améliorer et personnaliser le bolide au gré de ses envies. On ne peut pas dire que cela aille très loin dans la customisation du véhicule mais c’est déjà bien plus que ce que l’on voit par ailleurs sur les jeux de courses sur mobiles. Simple à jouer selon la philosophie I-play, le titre rend hommage à la 3D avec des textures dignes de ce nom. La vue intérieure est un véritable plus qui donne une impression de vitesse étonnante sur un écran si réduit et qui permet d’apprécier le travail sur la ville de Tokyo que l’on traverse pourtant en trombe. Certes me direz-vous, on n’est pas la pour regarder le paysage puisque tout relâchement coupable se paiera par le prix fort en perte de temps. Le mode histoire déverrouille des pistes et des véhicules supplémentaires pour les courses hors saison qui maintiennent l’intérêt sur le meilleur jeu de course du moment.