La Note
17 20
17 20
Les plus
- Graphismes
Bande Son
Durée de Vie
Les moins
- Jouabilité
Le Test
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Achtung ! Épuré, boosté, lifté, ce Commandos 3 affiche clairement ses intentions et se veut l’aboutissement de la série.
Achtung ! Épuré, boosté, lifté, ce Commandos 3 affiche clairement ses intentions et se veut à l’évidence comme l’aboutissement de la série. Ja, une sorte de point d’orgue comme on dit quand on a la classe.
Vous êtes aux commandes d’un groupe de soldats hyper entraînés. Composé du traditionnel béret vert, d’un espion, d’un voleur mais aussi d’un spécialiste en explosifs et de l’incontournable sniper, notre petit groupe se voit débarquer derrière les lignes ennemies avec un armement limité mais des objectifs bien précis. Abattre un traître avant qu’il ne communique ses infos à l’ennemi, escorter un général ou encore dérober des documents secrets, il faut sans attendre s’empresser d’applaudir : Clap, clap, clap !!! Applaudir les développeurs pour les trésors d’inventivité qu’ils ont su déployer pour parvenir à proposer aux joueurs des missions aussi passionnantes que variées. Pour cet épisode l’accent a été mis sur l’action. Tous les personnages sont capables de se servir d’une arme et, en mode « covert », de se défendre seuls si l’ennemi entre dans leur champ de vision. Le marine peut par exemple se servir d’une mitrailleuse ou aller chercher une caisse et il est possible de conduire les nombreux véhicules (jeep, side-cars…) que vous rencontrerez au cours du jeu.
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C’est votre rectum qui va être mis à rude épreuve car comme il est de coutume avec les Commandos vous allez en chier des ronds de serviettes. Un rond de serviette ayant en moyenne un diamètre de 7 cm, soyez prévoyants et commencez sur le champ à penser : dilatation. Toutefois Pyro Studios n’a pas oublié les petits nouveaux et veut son jeu plus accessible. Les premiers niveaux sont en fait des tutoriaux qui leurs permettront d’apprendre à jouer mais aussi à tirer partie de tel ou tel personnage. Vous y apprendrez aussi que repérer le champ de vision des différents soldats présents à l’écran doit devenir un réflexe dés que vous arrivez en terrain inconnu. Les graphismes sont encore plus travaillés qu’auparavant. Les extérieurs passent d’une 3D isométrique hyper détaillée à de la vrai » 3D lorsque que vos hommes pénètrent à l’intérieur d’un bâtiment. Il est donc plus aisé d’appréhender la géographie de ces lieux et l’immersion du joueur s’en trouve décuplée. Cela revêt ici une importance capitale. Sans cela le jeu cacherait mal ce qu’il est réellement : un puzzle, un puzzle particulièrement réjouissant et captivant mais un puzzle quand même. De plus les développeurs espagnols ont eu la riche idée de concevoir des cinématiques avec le même moteur que celui du jeu. Elles sont particulièrement réussies, font avancer l’histoire de façon dramatique tout en restant cohérentes avec l’univers visuel du jeu. Un grand plus au niveau de l’ambiance. Le jeu est composé de 3 campagnes (Stalingrad, Berlin, Normandie) qui peuvent être jouées dans l’ordre choisi par le joueur. Elles proposent chacune de nombreux objectifs différents qui peuvent varier en cours de route. Une bonne manière de maintenir l’intérêt du joueur en éveil mais aussi de coller à l’approche plus réaliste de ce nouvel opus. Sachant qu’il faut en général une bonne heure et demie pour finir une seule mission et qu’il y en a 18 au total, il n’y a aucun souci à se faire pour ce qui est de la durée de vie. De plus le mode multi offre une approche complètement différente du jeu. Ennemis, alliés, commandos toutes les configurations sont permises. La planification de ses attaques est souvent mise à mal et la créativité d’un joueur humain pourvu d’un cerveau et d’une moelle épinière est sans égale. Ich bin ein Berliner! Ce sera le mot de la fin mais il faut savoir que l’Allemand est non seulement très méchant mais qu’il sent aussi le pneu. Rompez !
Vous êtes aux commandes d’un groupe de soldats hyper entraînés. Composé du traditionnel béret vert, d’un espion, d’un voleur mais aussi d’un spécialiste en explosifs et de l’incontournable sniper, notre petit groupe se voit débarquer derrière les lignes ennemies avec un armement limité mais des objectifs bien précis. Abattre un traître avant qu’il ne communique ses infos à l’ennemi, escorter un général ou encore dérober des documents secrets, il faut sans attendre s’empresser d’applaudir : Clap, clap, clap !!! Applaudir les développeurs pour les trésors d’inventivité qu’ils ont su déployer pour parvenir à proposer aux joueurs des missions aussi passionnantes que variées. Pour cet épisode l’accent a été mis sur l’action. Tous les personnages sont capables de se servir d’une arme et, en mode « covert », de se défendre seuls si l’ennemi entre dans leur champ de vision. Le marine peut par exemple se servir d’une mitrailleuse ou aller chercher une caisse et il est possible de conduire les nombreux véhicules (jeep, side-cars…) que vous rencontrerez au cours du jeu.
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C’est votre rectum qui va être mis à rude épreuve car comme il est de coutume avec les Commandos vous allez en chier des ronds de serviettes. Un rond de serviette ayant en moyenne un diamètre de 7 cm, soyez prévoyants et commencez sur le champ à penser : dilatation. Toutefois Pyro Studios n’a pas oublié les petits nouveaux et veut son jeu plus accessible. Les premiers niveaux sont en fait des tutoriaux qui leurs permettront d’apprendre à jouer mais aussi à tirer partie de tel ou tel personnage. Vous y apprendrez aussi que repérer le champ de vision des différents soldats présents à l’écran doit devenir un réflexe dés que vous arrivez en terrain inconnu. Les graphismes sont encore plus travaillés qu’auparavant. Les extérieurs passent d’une 3D isométrique hyper détaillée à de la vrai » 3D lorsque que vos hommes pénètrent à l’intérieur d’un bâtiment. Il est donc plus aisé d’appréhender la géographie de ces lieux et l’immersion du joueur s’en trouve décuplée. Cela revêt ici une importance capitale. Sans cela le jeu cacherait mal ce qu’il est réellement : un puzzle, un puzzle particulièrement réjouissant et captivant mais un puzzle quand même. De plus les développeurs espagnols ont eu la riche idée de concevoir des cinématiques avec le même moteur que celui du jeu. Elles sont particulièrement réussies, font avancer l’histoire de façon dramatique tout en restant cohérentes avec l’univers visuel du jeu. Un grand plus au niveau de l’ambiance. Le jeu est composé de 3 campagnes (Stalingrad, Berlin, Normandie) qui peuvent être jouées dans l’ordre choisi par le joueur. Elles proposent chacune de nombreux objectifs différents qui peuvent varier en cours de route. Une bonne manière de maintenir l’intérêt du joueur en éveil mais aussi de coller à l’approche plus réaliste de ce nouvel opus. Sachant qu’il faut en général une bonne heure et demie pour finir une seule mission et qu’il y en a 18 au total, il n’y a aucun souci à se faire pour ce qui est de la durée de vie. De plus le mode multi offre une approche complètement différente du jeu. Ennemis, alliés, commandos toutes les configurations sont permises. La planification de ses attaques est souvent mise à mal et la créativité d’un joueur humain pourvu d’un cerveau et d’une moelle épinière est sans égale. Ich bin ein Berliner! Ce sera le mot de la fin mais il faut savoir que l’Allemand est non seulement très méchant mais qu’il sent aussi le pneu. Rompez !
Test réalisé par Franck Richard
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