Test également disponible sur : Mobile

Test 3D Pool : High Roller sur Mobile

La Note
note 3D Pool : High Roller 14 20

3D Pool : High Roller se révèle être un jeu en 3D plutôt bien golé et qui réserve de nombreuses heures de jeu avant de le maîtriser parfaitement. La possibilité de jouer à trois types de billard et de sélectionner plusieurs tables différentes viennent renforcer la longévité du titre sans compter que les coups spéciaux se révèlent être un défi particulièrement jouissif à remplir. Un bémol cependant, mais de taille, le ralentissement lors de certaines phases de jeu vient un peu gâcher un tableau pourtant assez joli.


Les plus
  • Graphismes 3D
  • Difficulté importante
  • Coups spéciaux
  • Variété des tables
Les moins
  • De gros ralentissements


Le Test

Vous avez toujours rêvé de frimer le soir dans les ambiances enfumées des clubs de billard en effectuant des coups géniaux à quelques dizaines de milliers de dollars ? Alors, oubliez que vous appartenez au commun des mortels avec 3D Pool : High Roller.


Particulièrement éloquent le titre 3D Pool : High Roller résume bien le jeu, à savoir du billard en 3D. Mais attention, pas une fausse 3D mais bien une véritable 3D où vous pouvez jongler avec les angles de vue ! La réalisation graphique est réussie avec des tables bien reconstituées et le comportement des billes est réaliste. Les bruitages, notamment celui des billes, sont convainquant et 3D Pool : High Roller possède différents modes de jeux différents dont un mode "Carrière" séduisant. En outre, il est possible de sélectionner entre trois styles de billard : anglais ou américain à huit billes ou américain à neuf billes. Pour les néophytes qui ne connaissent pas la différence, les développeurs ont eu la bonne idée de rappeler les règles sommairement dans une rubrique d’aide. Décidemment, le jeu débute sous les meilleurs auspices et s’annonce dès les premières minutes comme très prenant ! Malheureusement, 3D Pool : High Roller souffre de ralentissements récurrents qui viennent régulièrement gâcher ce jeu à la réalisation graphique pourtant de qualité. Durant la partie, le joueur a le choix pour préparer ses coups entre une vue à la première personne et une vue aérienne bien plus pratique. Après avoir sélectionné une visée, l’effet désiré et la force, le moment de vérité arrive ! Lors du coup, l’angle des caméras se modifie pour suivre de près la trajectoire des billes qui s’approchent des trous.

           

Le billard pour les nuls

 

Depuis le menu principal, le joueur peut décider de s’entraîner sur le type de tables et de partie qui lui plait (table normale, table en L ou double table), effectuer des coups spéciaux (contourner des bouteilles, éviter des obstacles…), une partie rapide ou alors se lancer dans un mode "Carrière". Le scénario de ce mode est réduit à sa plus simple expression : une bimbo vous servant d’agent vous fait voyager à travers le monde pour rencontrer les plus grands joueurs de la planète et empocher des dollars. Avant de rencontrer ces boss, il faut vaincre leurs sbires et réussir des coups spéciaux parfois très difficiles comme faire rentrer en un seul coup deux billes situées à l’opposée de la table ! Ce qui m’amène directement à l’autre point important du jeu : La difficulté. En effet, bien que je ne sois pas un joueur de billard dans la vie, il m’a semblé qu’il était possible de tout faire faire à vos billes avec 3D Pool : High Roller : mettre de l’effet, faire sauter la boule, faire faire une courbe etc… mais à moins que vous ne soyez un joueur confirmé, la difficulté de certaines épreuves et de certains coups peut s’avérer rébarbative. Heureusement, le joueur néophyte dispose de deux aides précieuses : une "astuce" qui indique le coup le plus facile à effectuer et une ligne de visée. Ces deux options peuvent être enlevées depuis le menu principal, mais il faudra quelques heures d’entraînement avant de pouvoir s’en passer ! En outre, chaque coup peut être visionné a posteriori sous différents angles afin de situer votre erreur. Pratique.


Réagir à cet article Réagir à cet article
Arnaud Cuirot

le lundi 22 janvier 2007, 9:44