Electronic Arts veut regagner la confiance et le respect des joueurs

L'information a sans doute échappé à certains, mais Electronic Arts a été élue "pire entreprise des Etats-Unis" pour la deuxième année consécutive, au mois d'avril dernier. Une distinction dont l'éditeur américain se serait certainement bien passé, ce qui explique sans doute pourquoi Patrick Söderlund a tenu à rappeler dans une interview accordée à nos confrères britanniques de MCV, que la société voulait regagner la confiance et le respect des joueurs. "Je ne crois pas une seule seconde que nous soyons la pire entreprise des Etats-Unis, a déclaré le vice-président exécutif d'EA Studios. Mais je pense que lorsqu'une telle chose se produit, vous devez vous asseoir et vous demander : 'Pourquoi les gens disent ça ?'. C'est ce que nous avons fait, et nous avons commencé à réaliser que nous prenions des décisions qui ne plaisaient pas aux gens".
Des exemples ? Le Online Pass, au hasard. "Nous avons examiné le cas du Online Pass. C'était quelque chose que les gens n'aimaient pas, a-t-il ajouté. Nous avons pesé le pour et le contre, avant de nous dire : 'Ok, nous allons l'enlever'. Les décisions de ce type dépendent avant tout des retours des consommateurs, de ce qu'ils nous disent, et c'est sans doute là que nous avons failli par le passé. Si nous continuons dans cette direction, nous finirons pas regagner la confiance et le respect des joueurs. Nous ne voulons pas être considérés comme des mauvaises personnes, nous n'avons pas pour objectif d'être la pire société des Etats-Unis. Au contraire, nous souhaitons plus que tout être désignés comme les meilleurs".
Electronic Arts, une société humble malgré son statut de géant ? C'est en tout cas ce que laisse transpirer le discours de Patrick Söderlund. "Il est possible que vous fassiez des erreurs, mais lorsque vous en faites, il faut être capable de le reconnaître, et assurer que vous ferez le nécessaire pour la réparer, a-t-il affirmé. Personne n'est parfait". Avant d'insister : "Mon but est que l'on soit perçu comme un exemple dans l'industrie. Je veux que l'on soit reconnu pour les jeux que nous produisons". C'est tout le mal que l'on souhaite à Electronic Arts.
Des exemples ? Le Online Pass, au hasard. "Nous avons examiné le cas du Online Pass. C'était quelque chose que les gens n'aimaient pas, a-t-il ajouté. Nous avons pesé le pour et le contre, avant de nous dire : 'Ok, nous allons l'enlever'. Les décisions de ce type dépendent avant tout des retours des consommateurs, de ce qu'ils nous disent, et c'est sans doute là que nous avons failli par le passé. Si nous continuons dans cette direction, nous finirons pas regagner la confiance et le respect des joueurs. Nous ne voulons pas être considérés comme des mauvaises personnes, nous n'avons pas pour objectif d'être la pire société des Etats-Unis. Au contraire, nous souhaitons plus que tout être désignés comme les meilleurs".
Electronic Arts, une société humble malgré son statut de géant ? C'est en tout cas ce que laisse transpirer le discours de Patrick Söderlund. "Il est possible que vous fassiez des erreurs, mais lorsque vous en faites, il faut être capable de le reconnaître, et assurer que vous ferez le nécessaire pour la réparer, a-t-il affirmé. Personne n'est parfait". Avant d'insister : "Mon but est que l'on soit perçu comme un exemple dans l'industrie. Je veux que l'on soit reconnu pour les jeux que nous produisons". C'est tout le mal que l'on souhaite à Electronic Arts.
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