La Note
13 20
13 20
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- Jouabilité
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Le Test
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Entre deux simulations trop sérieuses vient se glisser aujourd’hui le rigolo Smash Cars. Un petit jeu apéro à découvrir.
Régulièrement, un éditeur s’essaie au jeu de course de voitures radiocommandées, avec plus ou moins de succès. Aujourd’hui, c’est au tour de Nobilis de s’y coller avec un Smash Cars plutôt agréable.
On fonce et on tourne
Le pilotage de petites voitures radiocommandées est vraiment une chose à part. Ces petits bolides sont légers, braquent à angle droit et on des réactions complètement imprévisibles en cas de marche arrière ou de choc. Il arrive souvent que la voiture se mette à virevolter sur elle même si l’on s’amuse à tourner et à accélérer comme un malade, bref, c’est la panique. Mais en même temps, c’est ce qui fait précisément tout le charme de cette discipline carrément impressionnante lorsqu’elle est pratiquée à haut niveau.
Dans Smash Cars, c’est surtout le côté fun et bordélique des courses offroad qui est mis en avant, zappant du coup les voitures de courses sur goudron. Avant de vous lancer, vous passerez obligatoirement par un tutorial qui vous apprendra comment maîtriser votre bolide, en se penchant surtout sur le turbo et la touche de saut (ben oui, les voitures sautent). A part ça rien à signaler, il suffit généralement de foncer et de tourner.
En compèt !
Après cette mise en bouche, on passe au championnat qui vous proposera de nombreuses épreuves assez variées : cela va de la course classique au mode cascade en passant par la recherche assidue d’objets disséminés dans le décors en un temps imparti. Si vous ratez une épreuve, rien de grave, d’autres s’offrent alors à vous. Evidemment, vous devrez les réussir à un moment ou à un autre, mais on vous laisse le temps, pépère, histoire que vous ne vous acharniez pas sur la même course pendant 3 heures.
Mais le vrai problème du jeu, et même en présence d’un radar en bas de l’écran, réside dans la nature trop ouverte des circuits. Ces derniers manquent cruellement de délimitations et on se perd bien trop souvent, à moins de connaître les circuits par cœur. Sinon tout fonctionne bien, les décors sont justement riches et fourmillent de détails idiots qui viennent perturber la course, comme de vraies voitures qui vous écrasent sans arrière pensée. L’animation est bonne, ça va plutôt vite et la possibilité d’améliorer ses tutures en achetant des pièces de rechange ajoute un peu de piment à l’action.
Pas très original mais bien ficelé, Smash Cars est ce genre de petit jeu auquel on ne pense pas mais qui se révèle bien marrant une fois le pad en main. Attention tout de même aux textes entièrement en anglais, qui empêcheront les plus jeunes de se lancer seuls dans la course.
On fonce et on tourne
Le pilotage de petites voitures radiocommandées est vraiment une chose à part. Ces petits bolides sont légers, braquent à angle droit et on des réactions complètement imprévisibles en cas de marche arrière ou de choc. Il arrive souvent que la voiture se mette à virevolter sur elle même si l’on s’amuse à tourner et à accélérer comme un malade, bref, c’est la panique. Mais en même temps, c’est ce qui fait précisément tout le charme de cette discipline carrément impressionnante lorsqu’elle est pratiquée à haut niveau.
Dans Smash Cars, c’est surtout le côté fun et bordélique des courses offroad qui est mis en avant, zappant du coup les voitures de courses sur goudron. Avant de vous lancer, vous passerez obligatoirement par un tutorial qui vous apprendra comment maîtriser votre bolide, en se penchant surtout sur le turbo et la touche de saut (ben oui, les voitures sautent). A part ça rien à signaler, il suffit généralement de foncer et de tourner.
En compèt !
Après cette mise en bouche, on passe au championnat qui vous proposera de nombreuses épreuves assez variées : cela va de la course classique au mode cascade en passant par la recherche assidue d’objets disséminés dans le décors en un temps imparti. Si vous ratez une épreuve, rien de grave, d’autres s’offrent alors à vous. Evidemment, vous devrez les réussir à un moment ou à un autre, mais on vous laisse le temps, pépère, histoire que vous ne vous acharniez pas sur la même course pendant 3 heures.
Mais le vrai problème du jeu, et même en présence d’un radar en bas de l’écran, réside dans la nature trop ouverte des circuits. Ces derniers manquent cruellement de délimitations et on se perd bien trop souvent, à moins de connaître les circuits par cœur. Sinon tout fonctionne bien, les décors sont justement riches et fourmillent de détails idiots qui viennent perturber la course, comme de vraies voitures qui vous écrasent sans arrière pensée. L’animation est bonne, ça va plutôt vite et la possibilité d’améliorer ses tutures en achetant des pièces de rechange ajoute un peu de piment à l’action.
Pas très original mais bien ficelé, Smash Cars est ce genre de petit jeu auquel on ne pense pas mais qui se révèle bien marrant une fois le pad en main. Attention tout de même aux textes entièrement en anglais, qui empêcheront les plus jeunes de se lancer seuls dans la course.
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