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Test NBA 2K19 (PS4, Xbox One) : quand le roi reprend son trône ! sur PC

Test NBA 2K19 (PS4, Xbox One) : quand le roi reprend son trône !
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La Note
note NBA 2K19 18 20

On a l’impression de se répéter chaque année, mais NBA 2K19 continue d’asseoir sa supériorité en termes de simulation, qu’il s’agisse de basket ou de n’importe quelle autre discipline sportive. La série référence, celle que même FIFA prend en exemple pour tenter de se renouveler, sans jamais y arriver d’ailleurs. Une hégémonie telle qui fait de Visual Concepts son propre Némésis. C’est ce qu’on disait en intro, c’est ce qu’on répète ici dans la conclusion. Vouloir trop en faire, c’est le principal reproche que l’on pouvait faire à la série les années précédentes, avec une scénarisation à outrance et archi maladroite du mode solo. Les développeurs ont entendu la commu, et cette saison, fini de faire appel aux réalisateurs engagés, de nous imposer une mise en scène poussive, on revient à quelque chose de plus terre-à-terre, de moins faste, ce qui nous a permis de mieux encaisser les 4-5h nécessaires qu’il faut pour quitter la Chine et revenir au championnat NBA, l’essence même du basket. Il y a encore de gros progrès à faire, même dans le quartier, plus recentré, moins pénible à parcourir, mais les développeurs ont pris conscience de leurs erreurs passées. Il n’y a plus qu’à regarder dans le futur et espérer que pour le 2K20, on se rapproche de la note suprême. Qui sait ?


Les plus
  • Mode MaCarrière plus agréable, plus digeste
  • Le Quartier recentré, moins pénible à parcourir
  • Une meilleure gestion dans les contacts
  • Des animations toujours plus naturelles
  • La jauge de lay-up fait son retour
  • La foule, toujours plus vivante, toujours plus variée
  • Les commentaires, toujours pleins d'anecdotes
  • Ça déborde de contenu
  • Moins de temps de chargement, alléluia !
Les moins
  • Pas de changements fondamentaux
  • Toujours aussi complexe pour les novices
  • Le tuto qui n'a pas évolué
  • Ça pousse toujours autant aux micro-transactions
  • Encore des bugs de collision, notamment sur le banc de touche


Le Test

Dominant le marché du basket virtuel d’une main de fer, NBA 2K n’a finalement qu’un seul ennemi : lui-même. En l’absence d’un concurrent sérieux et valable (NBA Live vous avez dit ?), le titre de 2K Games et de Visual Concepts se permet donc quelques fantaisies depuis plusieurs épisodes. Car NBA 2K n’est plus seulement qu’un jeu de basket, c’est aussi un titre qui tend vers le RPG sportif par l’intermédiaire d’un mode solo toujours plus consistant et ambitieux. Ces frasques, qui étaient assez mineures au départ, prennent de plus en plus de place aujourd’hui, au point qu’il s’agisse désormais de véritables arguments marketing. L’envie de consolider le mode solo avec une scénarisation à outrance – mais sans jamais dégrader le gameplay des matchs classiques – ne peut in fine qu’être profitable pour les joueurs que nous sommes. Mais la question reste de savoir si tout cela est profitable au jeu. Est-ce vraiment une plus-value ? Et quid des nouveautés et des changements une fois sur le parquet ? Il est grand temps de répondre à ces questions existentielles.


NBA 2K198,5 millions de copies vendues pour NBA 2K17, 10 millions pour 2K18, jamais la série développée par Visual Concepts n’avait atteint un tel niveau en termes de popularité. Preuve que le studio californien archi-domine le basket virtuel avec une insolence qui en a découragé plus d’un. Avec une telle hégémonie, les développeurs pourraient parfaitement se reposer sur leurs lauriers et se contenter du strict minimum, mais il n’en est rien. Avec toujours cette envie d’aller plus loin, de se surpasser, les équipes de Rob Jones tentent chaque année de produire un meilleur basket. Peut-on pousser le réalisme encore plus loin, surtout quand on a atteint un seuil d’exigence aussi important que celui des NBA 2K ? D’après le producteur du jeu, il y aura toujours des améliorations à apporter, des détails à rajouter, des éléments à réajuster. Et cette année encore, il sera difficile de prendre 2K19 à défaut, l’épisode précédent ayant déjà opéré de grands changements dans les animations, rendant le jeu encore plus fluide, aussi bien visuellement qu’en termes de jouabilité. Fini le jeu pataud, chaque mouvement et transition dans les actions se faisait avec un naturel tellement déconcertant qu’il fallait un temps d’adaptation pour s’habituer à la nouvelle inertie des persos sur le terrain.

 

FAITES VOS JEUX !

 

NBA 2K19On retrouve ces mêmes sensations très agréables dans NBA 2K19, à la différence près que les développeurs ont revu la pénétration dans la raquette. Finies les entrées en force sans faire jouer à minima les cross-over ou les size-up, puisqu’il va falloir prendre le temps d’analyser chaque situation, favoriser à tout prix le travail d’équipe avant d’essayer d’approcher le panier. Evidemment, des mecs comme LeBron James resteront toujours des tanks (avec une note de 98, comment peut-il en être autrement ?), mais globalement, tout le système a été revu et corrigé, avec en prime la mise en place d’une nouveauté qui va pas mal chambouler le jeu quotidien, via le Takeover. Il s’agit d’une toute nouvelle mécanique empruntée à NBA Jam, référence du jeu de basket arcade qui avait atteint des sommets de popularité dans les années 90. L’équivalent du mode « He’s on Fire » transposé dans le gameplay de NBA 2K et qui permet en fait de connaître la prédisposition du joueur à réaliser certaines actions. Rassurez-vous, une fois votre joueur en possession de toutes ses capacités, il ne se mettra pas à faire des bonds de 5 mètres avant de réaliser un dunk, ni même enchaîner les trois points avec un ballon en feu. Non, ici, il est question de remplir une jauge en réalisant une série de bonnes actions, permettant ainsi de débloquer des aptitudes jusqu’alors méconnues. A l’écran, cela se traduit par une icône qui passe du bleu au rouge en fonction de l’état dans lequel se trouve le joueur. C’est une manière toujours très subtile de rendre unique les compétences de chaque player de l’équipe, sachant qu’il est plus facile de voir sa jauge chuter que de la remplir.

 

NBA 2K19Si cette mécanique de Takeover permet d’introduire un nouveau système de jauges, Visual Concepts a compris qu’il fallait rétablir la barre de shoot pour les lay-up, disparue l’an passé, ce qui était assez perturbant il faut bien l’avouer. Résultat, les actions devenaient moins précises, les ratés plus nombreux et la frustration forcément grande. Cela dit, avec le retour de cette jauge fortement demandée par la communauté, les développeurs ont opté pour un timing différent selon le type de finition, ce qui efforce le joueur à assimiler davantage d’actions. Globalement, le timing s’est affiné dans tout le gameplay, forçant ainsi le joueur à ne plus trop jouer à l’instinct, mais à réfléchir à deux fois avant d’entamer une quelconque action. Autant vous dire que 2K19 est encore plus exigeant par rapport aux autres épisodes, rendant le jeu encore moins accessible pour le profane. C’était déjà le cas les années précédentes, ça l’est davantage cette saison, comme si la série s’adressait uniquement aux initiés, certes de plus en plus nombreux, mais toujours aussi égoïste dans le partage du plaisir. Le mode « 2KU » est toujours là pour nous apprendre les bases (basique, intermédiaire, avancé), mais la mise en pratique est toujours aussi peu user friendly puisqu’il s’agit de jouer un match avec des interludes au moment de réaliser certaines actions, qui non seulement interrompent l’action, mais en plus ne permet pas de bien assimiler les commandes pour peu qu’on débute vraiment dans le domaine. On pourra toujours aller dans les options pour faire défiler chaque mouvement, mais c’est toujours avec ce sentiment de traîne-savate qui a du mal à se mettre à niveau. Pour le coup, NBA Live 19 a clairement sa carte à jouer, avec son gameplay nettement plus accessible.

 

HEY COUSINS, TU DANSES OU JE T’EXPLOSE ?

 

NBA 2K19Si l’on constate que de simples réajustements dans le gameplay de NBA 2K19, difficile de ne pas ressentir un meilleur contrôle des joueurs avec, comme on le disait déjà plus haut, une plus grande souplesse dans les déplacements, une meilleure gestion des collisions entre les joueurs sur le terrain et un réalisme plus présent dans les mises en espace. Le jeu défensif a en effet pris du galon par rapport à l’épisode 2018 avec une gestion des contacts plus réaliste, moins permissive, permettant à l’équipe adverse de mieux contrer et d’être plus présent au rebond également. C’est vrai qu’au niveau des interceptions, l’IA est implacable, au point de dégoûter, sachant qu’il est aussi plus facile de chiper le ballon des mains du camp opposé, surtout s’il est occupé à se focaliser sur les innombrables jauges qui entourent les joueurs cette année. A ce propos, sachez que Visual Concepts a décidé de laisser le choix au joueur de placer sa jauge de tir, qu’on peut affecter soit à côté des mains des sportifs, soit sous leurs pieds. Une bonne chose.

NBA 2K19

Qu’importe les changements au final, NBA 2K reste cette saison encore une référence en matière de simulation sportive, quelle que soit la discipline. Toujours plus technique et fin dans son gameplay, 2K19 est également exigeant dans sa réalisation, proche du photo-réalisme. Sur le plan graphique, ce nouvel opus n’a pas beaucoup changé, le rendu est toujours aussi propre et impeccable, et on semble avoir atteint les limites sur cette génération de consoles. Cependant, sachez que le spectacle est au rendez-vous, et que de beaux progrès ont été réalisés au niveau des expressions faciales, corporelles et un meilleur rendu des gabarits pour les joueurs. La foule continue quant à elle aussi à se diversifier, avec davantage de PNJ différents au comportement toujours plus varié. Le sentiment d’assister à un véritable match de basket est encore plus présent cette année, appuyé par la présence de commentaires toujours plus nombreux, parfaitement adaptés aux situations, d’autant qu’ils sont gérés cette année par Kobe Bryant et Kevin Garnett, épaulés en prime par Bill Simmons. Certes, les commentaires sont toujours en anglais, sans aucune possibilité d’afficher de sous-titres (ce qui ne serait pas non plus une bonne idée en vrai, surtout si l'on n’a pas envie de polluer l’écran déjà chargé en éléments visuels), facteur qui repoussera sans doute les réfractaires à la langue de Shakespeare.

 

LOST IN TRANLASTION

NBA 2K19En vrai, là où NBA 2K19 essaie de corriger le tir, c’est dans son mode solo, toujours plus ambitieux avec cette envie pour les développeurs d’aller toujours plus loin. Ce n’est d’ailleurs un scoop pour personne, jusqu’à présent, chaque tentative de scénariser le mode MaCarrière s’est soldée par un résultat qui frôlait le risible, notamment l’année où Spike Lee nous a fait étal une fois encore de son mauvais goût pour les histoires clichés et bidons. Cette année, 2K19 semble avoir mis de côté l’aspect « m’as-tu vu » pour revenir à quelque chose de plus tranquille, plus classique peut-être aussi, et du coup doté d’une mise en scène plan-plan, sans aucune prise de risque. C’est peut-être mieux ainsi. Bon, c’est vrai, le choix du patronyme du personnage central est toujours aussi douteux, mais entre un DJ qui se prenait pour une star et un AI qui tente de s’imposer comme il le peut, on préfère encore le rookie parti des States pour tenter de faire carrière en Chine. C’est le postulat de ce mode "Prélude", qui nous fait suivre les pérégrinations d’un jeune basketteur refoulé à la draft NBA 2017 et qui se retrouve propulsé dans le championnat chinois, avec toutes les barrières (langue, culture, méthodes de coaching) que cela comporte.

NBA 2K19Un choix pour le moins volontaire, comme nous le soufflait Rob Jones lors de son passage éclair à Paris il y a quelques jours. Nous avons choisi la Chine, car c’est un pays que tout oppose aux Etats-Unis. Non seulement, c’est situé de l’autre côté de la planète, mais en plus, pour un Américain qui ne connaît ni le pays ni la langue, c’est comme débarquer chez les extraterrestres. Deal with it, c’est ainsi que l’Empire du Milieu a été sélectionné, avec cette envie toutefois de faire les choses bien. Car, histoire que le joueur se perde avec son avatar, les dialogues en Chine ne sont ni sous-titrés ni expliqués d’aucune manière. Visual Concepts a même poussé le délire jusqu’à proposer des commentaires entièrement doublés en mandarin, ce qui participe à l’immersion totale. Bon, c’est vrai qu’à part les commentateurs sportifs qui semblent authentiques, les comédiens ayant été choisis pour doubler les personnages chinois gardent ce petit accent américain qui prouve que le Mandarin n’est sans doute pas leur langue maternelle. Il fallait bien un truc gênant pour rouspéter cette année encore sur les choix douteux de Visual Concepts…

Malgré tout, tout le passage en Chine est loin d’être déplaisant. On y trouve même une certaine forme de satisfaction à vouloir suivre l’histoire jusqu’au bout (comptez 4/5h de jeu), d’autant que 2K Games n’a pas lésiné sur les moyens en faisant appel à des comédiens de renom...

 

NBA 2K19Malgré tout, tout le passage en Chine est loin d’être déplaisant. On y trouve même une certaine forme de satisfaction à vouloir suivre l’histoire jusqu’au bout (comptez 4/5h de jeu), d’autant que 2K Games n’a pas lésiné sur les moyens en faisant appel à des comédiens de renom tels que Haley Joel Osment (le petit qui voit des dead people dans Sixième Sens), Anthony Mackie (plus connu pour être le Faucon dans Avengers) et Michael Rapaport, acteur de seconde zone ayant quand même brillé dans Basketball Diaries (avec Johnny Depp et Leonardo DiCaprio) ou la comédie sensuelle Hitch avec Will Smith. Les trois acteurs ont en effet fait un joli travail pour que ce Prélude passe crème, au point même qu’on n’ait pas eu besoin de zapper tout le passage, alors que les développeurs ont eu la bonne idée de rajouter l’option au cas où l’on s’emmerderait ferme. Par contre, rien à faire, il existe toujours un décalage monstrueux entre les anims des joueurs sur le terrain et ceux qu’on peut voir dans la scénarisation du mode MaCarrière, comme si deux équipes différentes travaillaient sur le jeu (chose complètement démentie par Rob Jones lors de notre interview) ou que le moteur 3D n’était pas fait pour faire de la vraie cinématique. On opte pour cette option, moins insultante que se dire que les équipes de Visual Concepts n’ont aucun sens de la mise en scène hollywoodienne…

 

BOYZ’N THE HOOD

 

NBA 2K19Une fois tout le passage chez les Shanghai Bears passé, on peut enfin passer aux choses sérieuses, c’est-à-dire revenir dans le championnat NBA et ainsi faire ses preuves. C’est drôle d’ailleurs comment les développeurs ont tout misé sur la Chine, excluant toute mise en scène et cinématique une fois revenus aux Etats-Unis. Plus aucune narration, l’accent est alors mis sur le basket rien que le basket. C’est quelque part ce qu’ils savent faire de mieux, même si quelque part, on aurait aimé un meilleur équilibrage des ressources. Cela dit, cela permet aussi de se focaliser sur le mode MonQuartier, introduit l’an passé avec de gros forceps, au point d’avoir dégouté l’ensemble des joueurs. La communauté a rouspété, la presse aussi, et Visual Concepts a bien compris qu’il ne servait à rien d’avoir une zone d’exploration gigantesque si c’est pour se taper des kilomètres de va-et-vient sans aucun moyen de locomation rapide ou fast travel. Résultat, les activités principales ont été concentrées au centre du quartier, favorisant les échanges, diminuant les voyages mais aussi les temps de chargement. C’est aussi l’un des points sur lequel NBA 2K19 a fait des progrès, le jeu masquant beaucoup mieux tous les loadings nécessaires pour faire charger les données. Car malgré tout, 2K19 est un jeu qui demande de la ressource et sur PS4 Pro, il ne sera pas rare de voir le ventilo d’exciter pour tenter de refroidir le CPU.

NBA 2K19

 

Forcément, avec un neighborhood plus convivial, on est à même à favoriser les activités. Et ça tombe bien, Visual Concepts a compris qu’il était primordial de donner du biscuit pour que les joueurs continuent de se connecter et de se sociabiliser. Ne soyez donc pas étonnés si l’on vous demande de participer à des matchs de balle au prisonnier, de faire des dunks spectaculaires à l’aide de trempoline, de faire vivre le Jordan Rec.Center, ou de passer son temps à jouer les mannequins dans les magasins de fripes. Bah oui, ça serait dommage de ne pas s’habiller tel un ninja de Konoha, quand on sait que nos avatars peuvent courir les bras tendus vers l’arrière. Histoire que le quartier ne lasse pas le joueur au bout de 2 jours, un cycle jour-nuit a été mis en place, avec même des changements qui fluctuent en fonction des événements et des challenges proposés. Cela dit, on espère que Visual Concepts a prévu ce qu’il faut de mises à jour et autres activités supplémentaires pour les semaines et mois à venir, car le quartier n’était pas non plus un open world, on en fait vite le tour. Bien sûr, on n’imagine pas le public acheter NBA 2K19 pour ce genre de friandises, mais qui sait, à l’avenir, peut-être que le basket se jouera essentiellement dans des hubs connectés.

Forcément, avec un neighborhood plus convivial, on est à même à favoriser les activités. Et ça tombe bien, Visual Concepts a compris qu’il était primordial de donner du biscuit pour que les joueurs continuent de se connecter et de se sociabiliser.

 

NBA 2K19On va terminer ce test avec un mot rapide sur les VC, cette monnaie virtuelle que l’on peut cumuler dans le jeu comme tout jeu moderne qui se respecte pour reprendre les termes de Rob Jones. Evidemment, si l’on peut tout débloquer avec ces VC, le temps demandé pour grinder chaque élément du jeu prend un temps considérable et les développeurs ont bien compris comment pousser le joueur à transformer cette monnaie virtuelle en argent réel. A tout instant, il vous est possible de basculer vers le PlayStation Store pour ceux qui souhaiteraient faire grimper leur note le plus vite possible. Du pay-to-win, n’ayons pas peur des mots, qui fait couler beaucoup d’encre depuis la fin de l’année 2017, Electronic Arts étant l’éditeur à en souffrir le plus aujourd’hui en raison de la polémique Star Wars Battlefront 2. Malgré tout, Visual Concepts semble s’être calmé sur les taros, moins élevés cette année ; peut-être aussi pour éviter de se faire taper sur les doigts. Evidemment, rien ne nous empêche de bouder le mode MonQuartier, NBA 2K19 débordant de contenu, avec toujours autant de modes qu’on n’arrive même pas à boucler en une seule saison. Entre les mode "MonEquipe" (la version FUT de NBA 2K), "MaLigue", "MonMG", les "PlayOff", "Domination" et les grandes légendes qu’on aime forcément incarner. Bref, encore une fois, il y a de quoi faire pour tenir une année supplémentaire et cette satisfaction d’avoir acheté un jeu complet et non en kit. Et ça, en 2018, c’est aussi précieux que l’expérience de jeu.


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