La Note
18 20
18 20
Les plus
- Graphismes
Durée de Vie
Les moins
- Jouabilité
Le Test
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Ça aurait du s’appeler NBA 2K4 et être le jeu meilleur de basket. En fait ça s’appelle ESPN NBA Basketball et c’est le meilleur jeu de basket du moment.
Ça aurait du s’appeler NBA 2K4 et être le meilleur jeu de basket du moment. En fait ça s’appelle ESPN NBA Basketball et c’est le meilleur jeu de basket du moment. Du monde ? Aussi.
La série des NBA 2K s’est toujours différenciée de celle des NBA Live par l’orientation simulation de son gameplay. Visual Concepts frappe un grand coup prend le risque de caresser les fans hardcore à rebrousse poils en injectant des morceaux d’arcade dans sa simulation et réussi par le même occasion à faire de cet ESPN NBA Basketball le meilleur opus de la série. Paradoxal ? Sûrement. Coup de génie ? Assurément.
Éloge de l’impureté
Bien qu’il se positionne clairement comme étant le jeu le plus accessible de la série (le niveau de difficulté par défaut est le moins retors de tous les opus de la franchise), ESPN NBA Basketball demande toujours aux joueurs de passer par une phase d’apprentissage qui pourrait en rebuter certains. Ne lâcher pas l’affaire, ne ménager pas vos efforts car plus que jamais ce jeu en vaut la chandelle. D’autant plus que cette année il est beaucoup plus aisé d’effectuer des passes aveugles, de dunker, de crossoverer, bref de faire quitter son slip à l’adversaire. Les nouveautés offensives sont nombreuses (possibilité de faire une feinte de passe en appuyant légèrement sur le bouton dédié) et les alleys-oops significativement plus faciles à placer. On aurait tout de même aimé pouvoir, à l’instar d’un NBA Live 2004, pouvoir choisir entre dunker et shooter mais il s’agit toujours ici d’animations contextuelles. Mauvais point : les lancers francs sont encore plus difficiles à réussir que dans le 3ème opus. Il faut maintenant centrer son shoot verticalement mais aussi horizontalement (la marge d’erreur étant vraiment très faible). Lorsque l’on sait que la lancer franc est un des mouvements de base du basket et que c’est le tir avec le plus grand pourcentage de réussite, on est en droit de se demander si compliquer encore la chose était une décision pertinente. Le nouveau système Isomotion constitue la réponse du studio américain au freestyle system de NBA Live 2004. Avec le stick analogique droit vous pouvez exécuter une série de mouvements offensifs et défensifs. Ceux-ci vous permettront de passer (ou bloquer) plus facilement un adversaire mais ils puisent dans une jauge qui s’épuisera au bout de 3 ou 4 tentatives de pénétration. Le jeu est plus flashy donc mais ne renie en rien ses origines. Le meilleur moyen de marquer reste toujours de créer des situations offensives, de breaker le jeu et de trouver un équipier démarqué. Évidemment.
De grands noirs bien bâtis
Graphiquement c’est simple, et pour tout dire je ne devrais pas avoir besoin de me servir de beaucoup de mots dans la phrase qui va suivre. ESPN NBA Basketball est le plus beau jeu de basket du monde. 11, je le savais ! Les basketteurs sont modélisés et animés à la perfection. La tête des joueurs est immédiatement identifiable et leurs différentes attitudes, gestes ou autres mimiques sont reproduites à la perfection (Malone fait tourner la balle avant chaque lancer franc). Ce sont elles (et aussi la licence ESPN) qui ancrent le jeu dans une réalité (faut bien se trouver un référentiel commun) comme rarement un jeu de basket a su le faire jusqu'à maintenant. Évidemment les capacités propres à chaque joueur sont prises en compte à tous les instants du jeu. Il ne suffit donc pas de presser tel ou tel bouton au bon endroit et au bon moment pour scorer. Exemple : Tony Parker a beaucoup plus de facilité à enfumer son opposant à coup de crossover qu’un gros Shaq. Normal ? Oui, mais c’est particulièrement bien rendu dans ce jeu. Pourquoi ? Je ne sais pas.
Le mode saison est toujours présent et même s’il s’avère moins touffu que celui de ses concurrents directs, le contrôle que l’on exerce sur son équipe est total.
Le tout nouveau mode 24-7 vous permet de créer un joueur des pieds à la tête. On pense alors à T.H.U.G. à la différence qu’il s’agit ici de faire évoluer son avatar à travers une série de un contre un. Les règles diffèrent d’un duel à l’autre et vous oblige à développer certaines de vos capacités (pas de 3 points, que des dunks…). Il est ensuite possible de confronter son joueur à d’autres joueurs 24-7 via le Xbox live. Tout comme Animal Crossing sur GameCube le jeu est dépendant de l’horloge interne de Xbox. Certains items et défis ne seront donc accessibles qu’à des moments bien précis de la journée. A ce titre votre jouer devra s’entraîner quotidiennement pour ne pas régresser. Le seul reproche que l’on puisse faire à ce jeu concerne sa bande son. Les commentaires deviennent vite répétitifs. Mais…goutte d’eau…océan…tout ça. ESPN NBA Basketball est une tuerie, une véritable bénédiction pour les basketteurs virtuels fans de technique et pour tous les joueurs fans de vrais bons jeux. Dépensez vos sous.
La série des NBA 2K s’est toujours différenciée de celle des NBA Live par l’orientation simulation de son gameplay. Visual Concepts frappe un grand coup prend le risque de caresser les fans hardcore à rebrousse poils en injectant des morceaux d’arcade dans sa simulation et réussi par le même occasion à faire de cet ESPN NBA Basketball le meilleur opus de la série. Paradoxal ? Sûrement. Coup de génie ? Assurément.
Éloge de l’impureté
Bien qu’il se positionne clairement comme étant le jeu le plus accessible de la série (le niveau de difficulté par défaut est le moins retors de tous les opus de la franchise), ESPN NBA Basketball demande toujours aux joueurs de passer par une phase d’apprentissage qui pourrait en rebuter certains. Ne lâcher pas l’affaire, ne ménager pas vos efforts car plus que jamais ce jeu en vaut la chandelle. D’autant plus que cette année il est beaucoup plus aisé d’effectuer des passes aveugles, de dunker, de crossoverer, bref de faire quitter son slip à l’adversaire. Les nouveautés offensives sont nombreuses (possibilité de faire une feinte de passe en appuyant légèrement sur le bouton dédié) et les alleys-oops significativement plus faciles à placer. On aurait tout de même aimé pouvoir, à l’instar d’un NBA Live 2004, pouvoir choisir entre dunker et shooter mais il s’agit toujours ici d’animations contextuelles. Mauvais point : les lancers francs sont encore plus difficiles à réussir que dans le 3ème opus. Il faut maintenant centrer son shoot verticalement mais aussi horizontalement (la marge d’erreur étant vraiment très faible). Lorsque l’on sait que la lancer franc est un des mouvements de base du basket et que c’est le tir avec le plus grand pourcentage de réussite, on est en droit de se demander si compliquer encore la chose était une décision pertinente. Le nouveau système Isomotion constitue la réponse du studio américain au freestyle system de NBA Live 2004. Avec le stick analogique droit vous pouvez exécuter une série de mouvements offensifs et défensifs. Ceux-ci vous permettront de passer (ou bloquer) plus facilement un adversaire mais ils puisent dans une jauge qui s’épuisera au bout de 3 ou 4 tentatives de pénétration. Le jeu est plus flashy donc mais ne renie en rien ses origines. Le meilleur moyen de marquer reste toujours de créer des situations offensives, de breaker le jeu et de trouver un équipier démarqué. Évidemment.
De grands noirs bien bâtis
Graphiquement c’est simple, et pour tout dire je ne devrais pas avoir besoin de me servir de beaucoup de mots dans la phrase qui va suivre. ESPN NBA Basketball est le plus beau jeu de basket du monde. 11, je le savais ! Les basketteurs sont modélisés et animés à la perfection. La tête des joueurs est immédiatement identifiable et leurs différentes attitudes, gestes ou autres mimiques sont reproduites à la perfection (Malone fait tourner la balle avant chaque lancer franc). Ce sont elles (et aussi la licence ESPN) qui ancrent le jeu dans une réalité (faut bien se trouver un référentiel commun) comme rarement un jeu de basket a su le faire jusqu'à maintenant. Évidemment les capacités propres à chaque joueur sont prises en compte à tous les instants du jeu. Il ne suffit donc pas de presser tel ou tel bouton au bon endroit et au bon moment pour scorer. Exemple : Tony Parker a beaucoup plus de facilité à enfumer son opposant à coup de crossover qu’un gros Shaq. Normal ? Oui, mais c’est particulièrement bien rendu dans ce jeu. Pourquoi ? Je ne sais pas.
Le mode saison est toujours présent et même s’il s’avère moins touffu que celui de ses concurrents directs, le contrôle que l’on exerce sur son équipe est total.
Le tout nouveau mode 24-7 vous permet de créer un joueur des pieds à la tête. On pense alors à T.H.U.G. à la différence qu’il s’agit ici de faire évoluer son avatar à travers une série de un contre un. Les règles diffèrent d’un duel à l’autre et vous oblige à développer certaines de vos capacités (pas de 3 points, que des dunks…). Il est ensuite possible de confronter son joueur à d’autres joueurs 24-7 via le Xbox live. Tout comme Animal Crossing sur GameCube le jeu est dépendant de l’horloge interne de Xbox. Certains items et défis ne seront donc accessibles qu’à des moments bien précis de la journée. A ce titre votre jouer devra s’entraîner quotidiennement pour ne pas régresser. Le seul reproche que l’on puisse faire à ce jeu concerne sa bande son. Les commentaires deviennent vite répétitifs. Mais…goutte d’eau…océan…tout ça. ESPN NBA Basketball est une tuerie, une véritable bénédiction pour les basketteurs virtuels fans de technique et pour tous les joueurs fans de vrais bons jeux. Dépensez vos sous.
Test réalisé par Franck RICHARD
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