Super Smash Bros. Wii/3DS : "Aucun personnage n'est favorisé", explique le créateur du jeu

C'est connu : dans la défaite, il est beaucoup plus facile d'accuser l'autre que de se remettre en question. C'est un peu ce qu'il se passe en ce moment avec Masahiro Sakurai, le créateur de la série Super Smash Bros., à qui les possesseurs du dernier opus reprochent de privilégier les personnages qu'il a historiquement créés. Des accusations qu'il a, bien évidemment, réfutées dans les colonnes de Famitsu, relayé par Kotaku. "Avec Super Smash Bros., de temps à autre certains s'en prennent injustement à moi pour exprimer leur colère, explique-t-il. Selon eux, j'avantagerais la puissance et la prise en main des personnages que j'ai créés". Sakurai-san assure qu'il n'aurait aucun mérite d'agir de la sorte, et que c'est même le contraire qu'il constate lorsqu'il joue au jeu.
"Pour prendre un exemple, deux des personnages avec lesquels j'ai du mal sont Pit et Palutena, assure-t-il. Du coup, à mes yeux, ils sont beaucoup plus faibles que la moyenne. Si je devais ajuster leur contrôle pour qu'ils me conviennent mieux, ils seraient beaucoup plus forts - mais comme vous l'avez certainement constaté, je ne l'ai pas fait". Par ailleurs, même si Masahiro Sakurai garde un oeil sur l'équilibre du gameplay, il est toutefois secondé par une équipe qui agit en toute indépendance et sans laquelle aucune décision n'est prise. Cela dit, il reconnaît que des imperfections/abus peuvent subsister et que des mises à jour pour les corriger sont envisageables ; ce fut d'ailleurs le cas avec le fameux suicide de Bowser par exemple.
"Pour prendre un exemple, deux des personnages avec lesquels j'ai du mal sont Pit et Palutena, assure-t-il. Du coup, à mes yeux, ils sont beaucoup plus faibles que la moyenne. Si je devais ajuster leur contrôle pour qu'ils me conviennent mieux, ils seraient beaucoup plus forts - mais comme vous l'avez certainement constaté, je ne l'ai pas fait". Par ailleurs, même si Masahiro Sakurai garde un oeil sur l'équilibre du gameplay, il est toutefois secondé par une équipe qui agit en toute indépendance et sans laquelle aucune décision n'est prise. Cela dit, il reconnaît que des imperfections/abus peuvent subsister et que des mises à jour pour les corriger sont envisageables ; ce fut d'ailleurs le cas avec le fameux suicide de Bowser par exemple.

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