Deus Ex 2 : Spector, enco
Deus Ex a marqué les esprits, c’est donc avec impatience que nous attendions cette suite. Son créateur était à Paris pour nous la présenter...
Dans le monde du jeu vidéo, il y a les développeurs qui travaillent comme à l’usine et il y a les vrais créateurs, ceux qui font réellement avancer les choses. Warren Spector est de ceux-là, il suffit pour s’en convaincre de le voir présenter lui-même son dernier bébé, Deus Ex : Invisible War. Il gesticule, regarde tous les journalistes présents dans la salle, s’excuse dès qu’un bug s’affiche à l’écran et n’arrête pas de perdre. Oui, Warren n’est pas très bon à son propre jeu, ce qui est assez amusant ! En tout cas, ça donne envie de jouer à son jeu et c’est justement ce qu’on a fait ensuite.
Liberté totale
Première constatation, on peut faire ce qu’on veut, ou presque. Warren confirme : « Ce que j’ai toujours voulu faire avec le premier Deus Ex, c’est un jeu dans lequel vous pourriez décider vous même comment jouer. Si vous n’êtes pas assez bon pour éliminer un adversaire, essayez alors de passer discrètement derrière lui ! Le but étant de faire en sorte que le joueur ne soit jamais bloqué, et jamais frustré. » Techniquement aussi, le jeu nous propose un moteur graphique que nous n’imaginions pas voir avant la sortie d’Half Life 2. N’importe quel objet est interactif, chaque élément du décor pouvant être manipulé, cassé, jeté, et les corps au sol épousent parfaitement les aspérités. Impressionnant. Idem pour ce qui est de l’intelligence artificielle, remarquable. Warren Spector : « Pour Deus Ex Invisible War, nous savions que nous étions capable de faire mieux en matière de graphismes, ainsi qu’en matière d’intelligence artificielle. Enfin, il était nécessaire de donner une plus grande importance au joueur dans l’histoire, que l’on subisse moins les événements qui s’enchaînent. L’histoire se passe 20 ans après le premier épisode, et comme Deus Ex proposait trois fins différentes, nous avons dû tout faire pour contenter tous ceux qui l’avaient fini, quelque soit leur parcours ! »
Top credibility !
Dans ce monde de science fiction, Warren a tenu à ce que le réalisme soit total : « Dans Deus Ex Invisible War, on ne ramasse pas les armes avec ses pieds en marchant dessus, puis on avance en tirant sur tout ce qui bouge ! Nous voulons que chaque objet soit interactif, que l’univers soit réaliste et crédible, et que les dialogues, le scénario et l’action soient intimement liés. Dans cette suite, la ville de Chicago a été complètement rasée par un étrange virus sur lequel il vous faudra enquêter. On retrouve les bio-modes, qui vous permettent d’augmenter vos capacités physiques ainsi que vos armes. Par exemple, certains implants vous permettent de voir à travers les murs, de vous déplacer dans le silence le plus complet ou de regagner des points de vie sur les cadavres de vos adversaires. C’est ainsi qu’un de nos bêta testeurs s’est vite transformé en vampire des temps futurs ! C’est une des forces du jeu : il n’y a pas deux parties identiques : selon vos actions, selon la manière dont vous aurez customisé votre personnage, rien ne sera pareil ! »
La suite le 5 mars prochain…
Riche, réaliste et bourré de surprises, Deus Ex Invisible War sera très certainement l’un des grands jeux de ce premier trimestre. Et pour ceux qui auraient peur de ce « trop plein de liberté », laissons à Warren Spector le mot de la fin… « Il est bien sûr possible de jouer à Deus Ex Invisible War sans avoir touché au premier. Mais il y a quelques clins d’œil et vous devrez, à un moment donné, retrouver le personnage que l’on jouait dans Deus Ex ! Mais je promets à tout le monde une expérience de jeu unique et inoubliable ! ». Cool !
Liberté totale
Première constatation, on peut faire ce qu’on veut, ou presque. Warren confirme : « Ce que j’ai toujours voulu faire avec le premier Deus Ex, c’est un jeu dans lequel vous pourriez décider vous même comment jouer. Si vous n’êtes pas assez bon pour éliminer un adversaire, essayez alors de passer discrètement derrière lui ! Le but étant de faire en sorte que le joueur ne soit jamais bloqué, et jamais frustré. » Techniquement aussi, le jeu nous propose un moteur graphique que nous n’imaginions pas voir avant la sortie d’Half Life 2. N’importe quel objet est interactif, chaque élément du décor pouvant être manipulé, cassé, jeté, et les corps au sol épousent parfaitement les aspérités. Impressionnant. Idem pour ce qui est de l’intelligence artificielle, remarquable. Warren Spector : « Pour Deus Ex Invisible War, nous savions que nous étions capable de faire mieux en matière de graphismes, ainsi qu’en matière d’intelligence artificielle. Enfin, il était nécessaire de donner une plus grande importance au joueur dans l’histoire, que l’on subisse moins les événements qui s’enchaînent. L’histoire se passe 20 ans après le premier épisode, et comme Deus Ex proposait trois fins différentes, nous avons dû tout faire pour contenter tous ceux qui l’avaient fini, quelque soit leur parcours ! »
Top credibility !
Dans ce monde de science fiction, Warren a tenu à ce que le réalisme soit total : « Dans Deus Ex Invisible War, on ne ramasse pas les armes avec ses pieds en marchant dessus, puis on avance en tirant sur tout ce qui bouge ! Nous voulons que chaque objet soit interactif, que l’univers soit réaliste et crédible, et que les dialogues, le scénario et l’action soient intimement liés. Dans cette suite, la ville de Chicago a été complètement rasée par un étrange virus sur lequel il vous faudra enquêter. On retrouve les bio-modes, qui vous permettent d’augmenter vos capacités physiques ainsi que vos armes. Par exemple, certains implants vous permettent de voir à travers les murs, de vous déplacer dans le silence le plus complet ou de regagner des points de vie sur les cadavres de vos adversaires. C’est ainsi qu’un de nos bêta testeurs s’est vite transformé en vampire des temps futurs ! C’est une des forces du jeu : il n’y a pas deux parties identiques : selon vos actions, selon la manière dont vous aurez customisé votre personnage, rien ne sera pareil ! »
La suite le 5 mars prochain…
Riche, réaliste et bourré de surprises, Deus Ex Invisible War sera très certainement l’un des grands jeux de ce premier trimestre. Et pour ceux qui auraient peur de ce « trop plein de liberté », laissons à Warren Spector le mot de la fin… « Il est bien sûr possible de jouer à Deus Ex Invisible War sans avoir touché au premier. Mais il y a quelques clins d’œil et vous devrez, à un moment donné, retrouver le personnage que l’on jouait dans Deus Ex ! Mais je promets à tout le monde une expérience de jeu unique et inoubliable ! ». Cool !
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