Test également disponible sur : Xbox - PC - GameCube - PlayStation 2
Test Le retour du roi sur GameCube
La Note
18 20
18 20
Les plus
- Graphismes
Bande Son
Durée de Vie
Les moins
- Jouabilité
Le Test
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Les deux tours ont été une belle réussite vidéo-ludique, le Retour du Roi se révèle tout simplement encore supérieur…
Développé par Redwood Shores, ayant pris la relève de l’équipe de The Whole Experience qui avait bossé sur le jeu précédent, ce Retour du Roi lève grandement le voile sur le dernier chapitre de la trilogie cinématographique signée Peter Jackson, sur le point de s’achever dès le 17 décembre sur grand écran. Car non seulement de nombreux extraits du film figurent entre les niveaux mais surtout le joueur est amené à incarner les personnages principaux et ainsi découvrir finalement leur véritable destinée. Ainsi, toujours sur le même principe (tuer des ennemis, gagner des points d’expérience et acheter de nouveaux combos ou des armes plus efficaces), l’aventure est cette fois divisée en trois quêtes : celles de Gandalf, Sam et le trio formé par Aragorn, Legolas et Gimli. Avec une constante générale : on en prend plein les mirettes !
Un choc visuel
Mieux vaut mettre des lunettes à la vue de ce Retour de Roi (enfin, pas tout le temps si vous voulez jouer un peu). Car l’esthétique générale étincelle littéralement. Par cela, il faut comprendre que les graphismes surpassent de loin, par leur finesse et leur variété, ceux de La Communauté de l’anneau. Les personnages apparaissent très charismatiques tandis que les décors se révèlent relativement variés (cavernes infestées d’araignées où sévit le monstre à huit pattes Shelob, ruines traversées par des cohortes d’ennemis, cité de Minas Tirith assiégée par des milliers d’Orcs et Uruk-hai…). Sans oublier de bien beaux effets spéciaux comme on aimerait en voir plus souvent sur PS2 (brumes, vent poussiéreux, explosions de flammes…). Mais ce n’est pas tout car la difficulté de l’aventure a été revue à la hausse et l’action est moins monotone qu’auparavant (même s’il faut en permanence zigouiller du vilain). Ainsi, dans la peau de Sam (dont la cape rendant invisible est utilisable !), il est nécessaire de protéger Frodo du dragon qui le suit en permanence ou en incarnant Gandalf, dans la bataille finale, il faut couvrir vos amis et leur éviter de tomber sous les coups de la horde de belligérants. Bien entendu, la durée de vie s’en trouve allongée d’autant qu’un tout nouveau mode deux joueurs a fait son apparition. Dommage toutefois que l’histoire et l’action restent strictement identiques et que ce mode coopération n’ait pas été davantage exploité car, par exemple, il est impossible de se toucher et encore moins de pratiquer des coups spéciaux à deux. Et puis, au passage, on regrettera également le manque de lisibilité de l’action quand il y a trop d’ennemis présents à l’écran (mais bon, c’est aussi ça la bataille ultime et cela respecte parfaitement les légions démentielles visibles dans le film)…
Un jeu digne d’un DVD
Si les séquences cinématiques et autres images du long-métrage bénéficient d’une qualité top moumoute, on peut dire également que les nombreux secrets à découvrir au cours de l’aventure propulsent presque le jeu au rang de DVD collector. Car comment ne pas piaffer de bonheur face à ces mini reportages, montrant les acteurs Elijah Wood, Sean Astin ou Billy Boyd se tirer la bourre et se balancer des vacheries quand ils sont en train de jouer eux-mêmes sur PlayStation 2. Idem face à Ian Mac Kellen (Gandalf) ou Christopher Lee (Sarumane) lors d’interviews exclusives ou encore vis-à-vis de superbes esquisses et dessins à admirer dans une séquence spéciale. Mais les deux suppléments les plus intéressants vis-à-vis du jeu pur restent tout de même trois personnages secrets à débloquer (Pippin, Merry et Faramir) ainsi que, tout à la fin du jeu (quand vous aurez tout débloquer), les antres de Saruman et Sauron. Ces derniers, constitués de vingt niveaux et demeurant l’équivalent du voyage souterrain au cœur des enfers dans Onimusha, permettent d’affronter une chiée d’adversaires dont le nombre et la difficulté augmentent au fur et à mesure. Le but est bien sûr d’upgrader les compétences de votre combattant.
Au final, cette suite vidéo ludique des Deux Tours est carrément époustouflante et mérite de nombreux qualificatifs, voir superlatifs, tant le spectacle est omniprésent (à ce titre, la bataille finale tient du show hollywoodien). Bref, le Roi est de retour et il est en très grande forme !
Un choc visuel
Mieux vaut mettre des lunettes à la vue de ce Retour de Roi (enfin, pas tout le temps si vous voulez jouer un peu). Car l’esthétique générale étincelle littéralement. Par cela, il faut comprendre que les graphismes surpassent de loin, par leur finesse et leur variété, ceux de La Communauté de l’anneau. Les personnages apparaissent très charismatiques tandis que les décors se révèlent relativement variés (cavernes infestées d’araignées où sévit le monstre à huit pattes Shelob, ruines traversées par des cohortes d’ennemis, cité de Minas Tirith assiégée par des milliers d’Orcs et Uruk-hai…). Sans oublier de bien beaux effets spéciaux comme on aimerait en voir plus souvent sur PS2 (brumes, vent poussiéreux, explosions de flammes…). Mais ce n’est pas tout car la difficulté de l’aventure a été revue à la hausse et l’action est moins monotone qu’auparavant (même s’il faut en permanence zigouiller du vilain). Ainsi, dans la peau de Sam (dont la cape rendant invisible est utilisable !), il est nécessaire de protéger Frodo du dragon qui le suit en permanence ou en incarnant Gandalf, dans la bataille finale, il faut couvrir vos amis et leur éviter de tomber sous les coups de la horde de belligérants. Bien entendu, la durée de vie s’en trouve allongée d’autant qu’un tout nouveau mode deux joueurs a fait son apparition. Dommage toutefois que l’histoire et l’action restent strictement identiques et que ce mode coopération n’ait pas été davantage exploité car, par exemple, il est impossible de se toucher et encore moins de pratiquer des coups spéciaux à deux. Et puis, au passage, on regrettera également le manque de lisibilité de l’action quand il y a trop d’ennemis présents à l’écran (mais bon, c’est aussi ça la bataille ultime et cela respecte parfaitement les légions démentielles visibles dans le film)…
Un jeu digne d’un DVD
Si les séquences cinématiques et autres images du long-métrage bénéficient d’une qualité top moumoute, on peut dire également que les nombreux secrets à découvrir au cours de l’aventure propulsent presque le jeu au rang de DVD collector. Car comment ne pas piaffer de bonheur face à ces mini reportages, montrant les acteurs Elijah Wood, Sean Astin ou Billy Boyd se tirer la bourre et se balancer des vacheries quand ils sont en train de jouer eux-mêmes sur PlayStation 2. Idem face à Ian Mac Kellen (Gandalf) ou Christopher Lee (Sarumane) lors d’interviews exclusives ou encore vis-à-vis de superbes esquisses et dessins à admirer dans une séquence spéciale. Mais les deux suppléments les plus intéressants vis-à-vis du jeu pur restent tout de même trois personnages secrets à débloquer (Pippin, Merry et Faramir) ainsi que, tout à la fin du jeu (quand vous aurez tout débloquer), les antres de Saruman et Sauron. Ces derniers, constitués de vingt niveaux et demeurant l’équivalent du voyage souterrain au cœur des enfers dans Onimusha, permettent d’affronter une chiée d’adversaires dont le nombre et la difficulté augmentent au fur et à mesure. Le but est bien sûr d’upgrader les compétences de votre combattant.
Au final, cette suite vidéo ludique des Deux Tours est carrément époustouflante et mérite de nombreux qualificatifs, voir superlatifs, tant le spectacle est omniprésent (à ce titre, la bataille finale tient du show hollywoodien). Bref, le Roi est de retour et il est en très grande forme !
Test réalisé par Bradford
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