La Note
8 20
8 20
Les plus
Les moins
- Jouabilité
Bande Son
Le Test
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Après les Nazis, les Vietcongs et les Japonais, voilà que les Coréens deviennent à leur tour des cibles virtuelles dans ce Commandos-like.
Le Seconde Guerre Mondiale ? Vue et revue ! Le Guerre du Golfe ? Déjà fait aussi. La guerre du Vietnam alors ? En pleine exploitation. Et si on faisait plutôt un tour du côté des Cocos du nord, hein ? A ce rythme-là, il va falloir engendrer de nouvelles guerres pour trouver de nouveaux backgrounds aux jeux vidéo.
Après les Nazis, les Irakiens et les Vietcongs, c’est maintenant au tour des Coréens du Nord d’être pris pour cible dans ce jeu de stratégie qui ne cache pas sa ressemblante avec un certain Commandos. Korea vous permet de gérer une escouade de 5 soldats, ayant chacun leurs propres spécificités. On trouvera un sniper, un espion, un infirmier, un ranger ainsi qu’un artificier pour amener ces rigolos de Ricains à la victoire. Pour ce faire, vous devrez vous faufiler derrière les lignes ennemies de la manière la plus efficace qu’il soit. Vos hommes sont capables de courir, ramper, se cacher, prendre les ennemis en traître, enfin tout ce qui peut paraître normal pour un soldat. A l’instar de Commandos, vous pourrez faire diversion en jetant aux gardes des bouteilles ou des clopes sur leur tête. Seulement voilà, l’IA faiblarde des ennemis (ces derniers restent souvent statiques et communiquent rarement entre eux) nous dispense souvent ce genre de distraction et le point le plus sensible étant de se frayer un chemin vers l’objectif demandé. L’interactivité avec les éléments du décor confère un peu plus d’intérêt au jeu autorisant le dépouillage des cadavres ou encore la possibilité de fouiller dans les bureaux, dans le but de récupérer des documents secrets.
Mauvaise copie
Pas la peine de faire monter le suspens plus haut, le titre de Cenega n’arrive pas un seul instant à faire de l’ombre au hit d’Eidos et souffre forcément de la comparaison avec ce dernier. Et malgré des graphismes en 3D corrects, un moteur qui tient la route et un gameplay repompé, la sauce ne prend pas un seul instant pour finalement tourner au vinaigre. Les persos sont sans charisme et on enchaîne les missions sans réelle passion. Avec ses 15 maps, on peut penser que le jeu se termine en un tour de main. Heureusement, on devrait-on plutôt dire, malheureusement la difficulté (trop) élevée du soft nous oblige parfois à jeter l’éponge, à défaut de taper du poing sur la table, ce qui augmente forcément la durée de vie du jeu. Les ennemis, lorsqu’ils ne vous tournent pas le dos, ont la faculté de vous repérer des kilomètres à la ronde. Bon on hyperbole un peu mais se faire repérer alors qu’on semble bien à l’abri des regards et ce, à une bonne cinquantaine de mètres, risquent d’énerver plus d’un. La gestion de la caméra aussi n’est pas très intuitive et on perd souvent de vue certains ennemis. Bref, on ne peut pas dire que cette guerre de Corée aura retenu notre attention. En sus, l’ombre pesante de Commandos 3 plane au-dessus du titre de Cenega qui va avoir beaucoup de mal à s’imposer.
Après les Nazis, les Irakiens et les Vietcongs, c’est maintenant au tour des Coréens du Nord d’être pris pour cible dans ce jeu de stratégie qui ne cache pas sa ressemblante avec un certain Commandos. Korea vous permet de gérer une escouade de 5 soldats, ayant chacun leurs propres spécificités. On trouvera un sniper, un espion, un infirmier, un ranger ainsi qu’un artificier pour amener ces rigolos de Ricains à la victoire. Pour ce faire, vous devrez vous faufiler derrière les lignes ennemies de la manière la plus efficace qu’il soit. Vos hommes sont capables de courir, ramper, se cacher, prendre les ennemis en traître, enfin tout ce qui peut paraître normal pour un soldat. A l’instar de Commandos, vous pourrez faire diversion en jetant aux gardes des bouteilles ou des clopes sur leur tête. Seulement voilà, l’IA faiblarde des ennemis (ces derniers restent souvent statiques et communiquent rarement entre eux) nous dispense souvent ce genre de distraction et le point le plus sensible étant de se frayer un chemin vers l’objectif demandé. L’interactivité avec les éléments du décor confère un peu plus d’intérêt au jeu autorisant le dépouillage des cadavres ou encore la possibilité de fouiller dans les bureaux, dans le but de récupérer des documents secrets.
Mauvaise copie
Pas la peine de faire monter le suspens plus haut, le titre de Cenega n’arrive pas un seul instant à faire de l’ombre au hit d’Eidos et souffre forcément de la comparaison avec ce dernier. Et malgré des graphismes en 3D corrects, un moteur qui tient la route et un gameplay repompé, la sauce ne prend pas un seul instant pour finalement tourner au vinaigre. Les persos sont sans charisme et on enchaîne les missions sans réelle passion. Avec ses 15 maps, on peut penser que le jeu se termine en un tour de main. Heureusement, on devrait-on plutôt dire, malheureusement la difficulté (trop) élevée du soft nous oblige parfois à jeter l’éponge, à défaut de taper du poing sur la table, ce qui augmente forcément la durée de vie du jeu. Les ennemis, lorsqu’ils ne vous tournent pas le dos, ont la faculté de vous repérer des kilomètres à la ronde. Bon on hyperbole un peu mais se faire repérer alors qu’on semble bien à l’abri des regards et ce, à une bonne cinquantaine de mètres, risquent d’énerver plus d’un. La gestion de la caméra aussi n’est pas très intuitive et on perd souvent de vue certains ennemis. Bref, on ne peut pas dire que cette guerre de Corée aura retenu notre attention. En sus, l’ombre pesante de Commandos 3 plane au-dessus du titre de Cenega qui va avoir beaucoup de mal à s’imposer.
Test réalisé par Maxime CHAO
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