La Note
15 20
Encore plus acide que son prédécesseur spirituel, Dark Souls : Prepare to Die Edition retire les petites concessions faites sur Demon's Souls. Tout est limité, chèrement payé et vite perdu. L'aide ne se monnaie que par petites doses alors que la détresse s'étend sur l'ensemble de l'expérience de jeu. Véritable Survival-RPG sans aucune pause, le jeu de From Software se maintient subtilement entre la haine et la fascination, la balance pensant toutefois vers un côté un peu imbitable cette fois-ci. Très hardcore, Dark Souls : Prepare to Die Edition laissera immédiatement derrière les joueurs simplement à la recherche d'un A-RPG un peu corsé. Il s'adresse davantage aux amateurs de manic shooter où la défaite est une source de motivation. Et en cela il est difficile de trouver plus motivant. A noter que ce portage PC est pour le moment réduit à sa plus stricte définition et qu'il ne s'adapte pas du tout à la configuration matérielle de votre machine.15 20
Retrouvez plus bas la suite de notre test de Dark Souls : Prepare to die Edition
Les plus
- Une atmosphère oppressante
- Une maîtrise du glauque
- Bande-son de Sakuraba parfaitement en accord
- Le level-design ingénieux
- Un concept très fort
- Chaque combat est une bataille
- Le côté monde-ouvert
- Direction artistique très soignée
- Des boss qui font peur
Les moins
- Portage très faible
- Le gameplay toujours un peu lourdingue
- Les collisions encore très spéciales
- Techniquement limité
- Le côté outrageusement punitif
- Tout de même très proche de Demon's Souls
Le Test
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Dans une atmosphère globale de titres tirant vers une certaine facilité, avec une mise au placard du pur challenge, où le simple dépassement de ses propres performances était déjà une sorte d'aboutissement en soi, Demon's Souls était une sorte de pic d'adrénaline. Un titre qui n'expliquait rien, se contentait de punir et malgré tout de donner suffisamment de clés pour pousser à la progression. Jamais gagnant, mais jamais perdant non plus, le joueur pouvait s'accrocher, parce qu'il pouvait voir une possibilité, même infime, de réussite. Un concept allié à des mécaniques de gameplay intelligentes qui réinventaient le online. Presque un spin-off, Dark Souls : Prepare to Die Edition tente à nouveau d'imposer ce cahier des charges démoniaques. La mort est-elle à chaque page ? Verdict dans notre test PC.
Animé par un scénario aussi captivant que celui de Demon's Souls, c'est-à-dire totalement secondaire, Dark Souls tente tout de même de raconter l'histoire d'une nation déchirée par le mal, où les habitants n'errent désormais que sous l'apparence de goules, la mort étant un destin presque appréciable. Quelques êtres humains se terrent derrière de faibles murs et idéologies religieuses, mais la calamité pénètre tellement chaque centimètre carré de ce monde qu'ils semblent déjà n'être que de simples souvenirs. Une ambiance oppressive, presque poisseuse, qui s'accroche au joueur à chaque pas, à chaque rencontre. Un chevalier ? Il se moque de vous. Un marchand ? Ce n'est qu'un mort-vivant avide. Un héros ? Un psychopathe en puissance. Rien ne soulage dans Dark Souls. Outil rassurant dans un univers angoissant, même le dialogue est ici gorgé de noirceur. Les rares mots que le joueur échange avec ses "semblables" se finissent par des rires malades et des prédictions macabres qui terminent de retirer la moindre bribe de courage. Un coup supplémentaire passant par un doublage de très grande qualité, orienté fou furieux étrangement calme. Mais plus que ces lieux brumeux, trop silencieux et remplis de cadavres, c'est surtout la parano qui prend une place importante. Chaque recoin est la promesse d'un coup en traître, chaque facilité est un piège, chaque ennemi est un challenge. Dans Dark Souls, les continus ont été remplacés par cette sentence obsédante : "vous êtes mort". Et ce n'est que le début. Vous êtes mort.
Véritable suite spirituelle, Dark Souls emprunte de nombreux éléments de Demon's Souls, comme les indices/pièges marqués au sol par les joueurs, la conservation des items après la mort, à défaut des âmes, qui elles vous attendront bien sagement à l'endroit de votre défaite. Il vous faudra revenir les chercher en essayant de ne pas vous faire décapiter entre-temps, ce qui causerait la perte définitive de votre pécule. Un rouage connu des amateurs donc, qui donne une raison de ne pas tout lâcher en hurlant après sa défaite. Une sorte de système de carotte au bout du bâton, dans lequel ce dernier servirait aussi bien à donner des coups dans le dos qu'à tenir la récompense à distance. Élément extrêmement important, les âmes sont la base de tout ce qui peut vous aider, vous permettant non seulement de monter en niveau mais également de réparer votre équipement ou simplement faire vos emplettes. Difficiles à gagner, s'engrangeant en petit nombre à chaque victoire contre un adversaire, elles sont surtout difficiles à conserver. Il faudra sans cesse choisir entre l'augmentation d'une caractéristique à chaque montée de niveau et l'amélioration de son duo arme/armure auprès de forgeron perdus dans la nature. C'est là l'une des grandes nouveautés de Dark Souls, un univers ouvert à fouiller de fond en comble pour trouver des possibilités habituellement à disposition directe du joueur. Alors que Demon's Souls offrait un sas de décompression avec le Nexus, hub sans aucune menace, Dark Souls s'acharne à créer une sensation de danger constante. Et ce malgré la présence de feux de camps qui ressemblent un peu à ceux présents dans The Witcher. Seule source de chaleur, ces endroits sont paradoxalement rassurants et base de la souffrance du joueur. S'asseoir au coin des braises est l'assurance de récupérer toute sa vie et, si votre console est connectée, d'apercevoir les images fugaces des autres joueurs également en repos. L'opportunité, pendant quelques instants, de quitter son aventure solitaire. La contrepartie étant que cette halte ranime tous les ennemis vaincus, mis à part les boss et les adversaires spéciaux Cette excellente idée crée immédiatement une inquiétude quant au choix de se restaurer avec le risque de devoir encore se battre férocement contre des hordes de bestioles grouillantes ou de continuer un rush le plus long possible afin d'avancer. Au risque de se faire éliminer et de ne revenir qu'au dernier feu de camp ravivé. Malgré tout, le piétinement s'impose vite comme une solution viable, tant la difficulté se montre intraitable. Vous êtes mort.
Avec sa musique calme et son ambiance moins oppressante que tout ce qui l'entoure, un peu à l'image des forges de Vagrant Story, le feu est également l'endroit où vous pouvez redevenir humain, en sacrifiant un objet nommé humanité. Uniquement récupérables sur les boss, certains ennemis retors et dans des endroits très bien cachés, cet item est l'un des plus précieux de Dark Souls. Retrouver son enveloppe originelle ouvre bien davantage les pistes de jeu avec l'une des features les plus marquantes de l'expérience Demon's Souls, l'interaction entre les mondes. Il vous est possible soit d'envahir la partie d'un autre joueur dans le but de le tuer et ainsi lui soutirer une précieuse humanité, soit de crier un appel à l'aide en inscrivant un message au sol, équivalents respectifs du principe du Black et du Blue Phantom de Demon's Souls. La tension naturelle du jeu monte alors d'un cran en sachant qu'il peut arriver de se faire embrocher alors à peine remis d'un combat éprouvant. Encore une fois très exigeant, le système de combat implique des duels épiques, tant les ennemis tirent parti de la moindre faiblesse. Des situations qui se compliquent très rapidement, à cause d'une jauge de stamina qui se vide comme une mauvaise blessure au moindre coup paré et à chaque estocade donnée. Il est donc très fréquent de se retrouver démuni en cas de prise de confiance ce qui ne pardonne pas face aux boss complètement cheatés du jeu. Impressionnants, ils ont tous leur point faible et un pattern précis qu'il faut observer durant de longues minutes et se remémorer une fois mort, pendant tout le chemin nécessaire pour revenir à leur antre. Une progression par à-coups brutaux, qui énerve et fascine, qui donne envie d'avancer pour soulager son ego et se prouver que c'est possible. Le problème est que cette gymnastique peut vite devenir épuisante, From Software étant sans doute allé trop loin dans la souffrance. Malgré sa difficulté Demon's Souls donnait un petit espoir par fragments alors que Dark Souls enterre sans arrêt la motivation. Limitant drastiquement les sorts pour les magiciens, n'offrant que 5 bouteilles d'Estus pour se soigner – renouvelées auprès des feux – Dark Souls pousse au danger, oblige le corps-à-corps. Une entreprise de démolition ludique qui passe aussi par un lock toujours aussi lâche et surtout par des problèmes de collision parfois fatals. Et cette version PC continue dans la cruauté.
Dans la grande lignée des portages qualifiés par les connaisseurs de "à l'arrache", Dark Souls : Prepare to Die Edition est pourtant en un sens honnête. Honnête parce que From Software avait prévenu les joueurs en avouant sa difficulté à maîtriser l'adaptation sur cette plateforme. Le problème est que cette déclaration était pour le moins vague et que le résultat prouve que les propos étaient largement en dessous de la vérité. Naviguer dans les options du jeu est déjà en soi un challenge à la hauteur de ce qui vous attendra par la suite, malgré une sobriété qui rappelle certaines productions des années 90. Quasiment aucune option graphique, à part un petit anti-aliasing, voire du motion-blur de circonstance et surtout une limitation de la résolution dans un 1280 x 720 d'époque, et ce peu importe votre carte graphique. Un blocage résolu grâce à un certain Durante qui a réglé le problème en moins de 30 minutes alors que le support de Bandai Namco faisait la sourde oreille. C'est là qu'est le vrai problème de ce portage barbare, le refus total et constant de s'adapter au matériel. En témoignent les FPS, bloquées à 30 et surtout le mappage de touches qui devient ésotérique si le joueur choisit de mener l'aventure avec autre chose qu'un pad. Les conseils de jeu sont pris par défaut sur le modèle d'une manette Xbox 360, aucune icône relative à la souris et/ou au clavier ne figurant à l'écran. Pire, les défauts des versions consoles sont toujours d'actualité, et les invasions de monde/appel de soutien ne fonctionnent que rarement. Seul soulagement, les crashs et leurs amis les freezes sont désormais absents une fois connecté. Dans l'attente d'un nombre conséquent de correctifs, de mods et d'une surveillance plus accrue de Bandai Namco, ce Dark Souls : Prepare to Die Edition ne justifie en aucun cas son achat, surtout si vous possédez déjà son équivalent sur consoles de salon. Vous y trouverez un mode PvP complètement anecdotique, mal réglé et manquant de tous les choix habituels du genre, à l'image des réglages de base du jeu, et une nouvelle quête, intense pour ses monstres de très haut niveau, mais de toute façon disponible en DLC par la suite sur PS3 et Xbox 360. Games for Windows Live finira quant à lui de casser la conviction des dernières personnes motivées. Terrible et addictif, Dark Souls risque à tout moment de faire lâcher prise au joueur par sa propension à l'absence de concession maladive et sa répétition. Accrocher à Dark Souls surtout est un choix en connaissance de cause. Vous êtes mort.
Darker than Black
Véritable suite spirituelle, Dark Souls emprunte de nombreux éléments de Demon's Souls, comme les indices/pièges marqués au sol par les joueurs, la conservation des items après la mort, à défaut des âmes, qui elles vous attendront bien sagement à l'endroit de votre défaite. Il vous faudra revenir les chercher en essayant de ne pas vous faire décapiter entre-temps, ce qui causerait la perte définitive de votre pécule. Un rouage connu des amateurs donc, qui donne une raison de ne pas tout lâcher en hurlant après sa défaite. Une sorte de système de carotte au bout du bâton, dans lequel ce dernier servirait aussi bien à donner des coups dans le dos qu'à tenir la récompense à distance. Élément extrêmement important, les âmes sont la base de tout ce qui peut vous aider, vous permettant non seulement de monter en niveau mais également de réparer votre équipement ou simplement faire vos emplettes. Difficiles à gagner, s'engrangeant en petit nombre à chaque victoire contre un adversaire, elles sont surtout difficiles à conserver. Il faudra sans cesse choisir entre l'augmentation d'une caractéristique à chaque montée de niveau et l'amélioration de son duo arme/armure auprès de forgeron perdus dans la nature. C'est là l'une des grandes nouveautés de Dark Souls, un univers ouvert à fouiller de fond en comble pour trouver des possibilités habituellement à disposition directe du joueur. Alors que Demon's Souls offrait un sas de décompression avec le Nexus, hub sans aucune menace, Dark Souls s'acharne à créer une sensation de danger constante. Et ce malgré la présence de feux de camps qui ressemblent un peu à ceux présents dans The Witcher. Seule source de chaleur, ces endroits sont paradoxalement rassurants et base de la souffrance du joueur. S'asseoir au coin des braises est l'assurance de récupérer toute sa vie et, si votre console est connectée, d'apercevoir les images fugaces des autres joueurs également en repos. L'opportunité, pendant quelques instants, de quitter son aventure solitaire. La contrepartie étant que cette halte ranime tous les ennemis vaincus, mis à part les boss et les adversaires spéciaux Cette excellente idée crée immédiatement une inquiétude quant au choix de se restaurer avec le risque de devoir encore se battre férocement contre des hordes de bestioles grouillantes ou de continuer un rush le plus long possible afin d'avancer. Au risque de se faire éliminer et de ne revenir qu'au dernier feu de camp ravivé. Malgré tout, le piétinement s'impose vite comme une solution viable, tant la difficulté se montre intraitable. Vous êtes mort.
L'armée des ombres
Avec sa musique calme et son ambiance moins oppressante que tout ce qui l'entoure, un peu à l'image des forges de Vagrant Story, le feu est également l'endroit où vous pouvez redevenir humain, en sacrifiant un objet nommé humanité. Uniquement récupérables sur les boss, certains ennemis retors et dans des endroits très bien cachés, cet item est l'un des plus précieux de Dark Souls. Retrouver son enveloppe originelle ouvre bien davantage les pistes de jeu avec l'une des features les plus marquantes de l'expérience Demon's Souls, l'interaction entre les mondes. Il vous est possible soit d'envahir la partie d'un autre joueur dans le but de le tuer et ainsi lui soutirer une précieuse humanité, soit de crier un appel à l'aide en inscrivant un message au sol, équivalents respectifs du principe du Black et du Blue Phantom de Demon's Souls. La tension naturelle du jeu monte alors d'un cran en sachant qu'il peut arriver de se faire embrocher alors à peine remis d'un combat éprouvant. Encore une fois très exigeant, le système de combat implique des duels épiques, tant les ennemis tirent parti de la moindre faiblesse. Des situations qui se compliquent très rapidement, à cause d'une jauge de stamina qui se vide comme une mauvaise blessure au moindre coup paré et à chaque estocade donnée. Il est donc très fréquent de se retrouver démuni en cas de prise de confiance ce qui ne pardonne pas face aux boss complètement cheatés du jeu. Impressionnants, ils ont tous leur point faible et un pattern précis qu'il faut observer durant de longues minutes et se remémorer une fois mort, pendant tout le chemin nécessaire pour revenir à leur antre. Une progression par à-coups brutaux, qui énerve et fascine, qui donne envie d'avancer pour soulager son ego et se prouver que c'est possible. Le problème est que cette gymnastique peut vite devenir épuisante, From Software étant sans doute allé trop loin dans la souffrance. Malgré sa difficulté Demon's Souls donnait un petit espoir par fragments alors que Dark Souls enterre sans arrêt la motivation. Limitant drastiquement les sorts pour les magiciens, n'offrant que 5 bouteilles d'Estus pour se soigner – renouvelées auprès des feux – Dark Souls pousse au danger, oblige le corps-à-corps. Une entreprise de démolition ludique qui passe aussi par un lock toujours aussi lâche et surtout par des problèmes de collision parfois fatals. Et cette version PC continue dans la cruauté.
Le port de l'angoisse
Dans la grande lignée des portages qualifiés par les connaisseurs de "à l'arrache", Dark Souls : Prepare to Die Edition est pourtant en un sens honnête. Honnête parce que From Software avait prévenu les joueurs en avouant sa difficulté à maîtriser l'adaptation sur cette plateforme. Le problème est que cette déclaration était pour le moins vague et que le résultat prouve que les propos étaient largement en dessous de la vérité. Naviguer dans les options du jeu est déjà en soi un challenge à la hauteur de ce qui vous attendra par la suite, malgré une sobriété qui rappelle certaines productions des années 90. Quasiment aucune option graphique, à part un petit anti-aliasing, voire du motion-blur de circonstance et surtout une limitation de la résolution dans un 1280 x 720 d'époque, et ce peu importe votre carte graphique. Un blocage résolu grâce à un certain Durante qui a réglé le problème en moins de 30 minutes alors que le support de Bandai Namco faisait la sourde oreille. C'est là qu'est le vrai problème de ce portage barbare, le refus total et constant de s'adapter au matériel. En témoignent les FPS, bloquées à 30 et surtout le mappage de touches qui devient ésotérique si le joueur choisit de mener l'aventure avec autre chose qu'un pad. Les conseils de jeu sont pris par défaut sur le modèle d'une manette Xbox 360, aucune icône relative à la souris et/ou au clavier ne figurant à l'écran. Pire, les défauts des versions consoles sont toujours d'actualité, et les invasions de monde/appel de soutien ne fonctionnent que rarement. Seul soulagement, les crashs et leurs amis les freezes sont désormais absents une fois connecté. Dans l'attente d'un nombre conséquent de correctifs, de mods et d'une surveillance plus accrue de Bandai Namco, ce Dark Souls : Prepare to Die Edition ne justifie en aucun cas son achat, surtout si vous possédez déjà son équivalent sur consoles de salon. Vous y trouverez un mode PvP complètement anecdotique, mal réglé et manquant de tous les choix habituels du genre, à l'image des réglages de base du jeu, et une nouvelle quête, intense pour ses monstres de très haut niveau, mais de toute façon disponible en DLC par la suite sur PS3 et Xbox 360. Games for Windows Live finira quant à lui de casser la conviction des dernières personnes motivées. Terrible et addictif, Dark Souls risque à tout moment de faire lâcher prise au joueur par sa propension à l'absence de concession maladive et sa répétition. Accrocher à Dark Souls surtout est un choix en connaissance de cause. Vous êtes mort.
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