Test également disponible sur : PC - Xbox One - PS4

Test Call of Duty Advanced Warfare sur PS4 et Xbox One sur PC

Test Call of Duty Advanced Warfare sur PS4 et Xbox One
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Les Notes
note Call of Duty : Advanced Warfare 18 20 note multi-utilisateurs Call of Duty : Advanced Warfare 5 5

Amis gamers, ne doutez plus, Call of Duty : Avanced Warfare est bel et bien le renouveau de la série qu’on attendait tous depuis belle lurette ! Fort de son savoir-faire acquis sur le premier Dead Space, l’équipe de Sledgehammer Games nous offre pour commencer l’une des meilleures campagnes solo de la série grâce notamment à son ambiance incroyable, sa narration bien ficelée, son casting 4 étoiles (belle performance de Kevin Spacey, Troy Baker et Gideon Emery), sa durée de vie de 8 heures, mais surtout son gameplay explosif qui a gagné en vélocité et en verticalité grâce à l’arrivée des exosquelettes. Ce changement dans la jouabilité a également un impact sur le mode multi, qui bénéficie à son tour des nouvelles fonctionnalités de l’EXO pour revoir ses fondamentaux. Mieux, en puisant du côté de Black Ops pour le système de classes, en s’inspirant de Modern Warfare 3 pour le coop’ et en injectant ce qu’il faut de nouveautés pour se réinventer (les modes "Uplink" et "Momentum" et du loot à n’en plus finir), le multi d’Advanced Warfare est tout simplement le plus abouti de tous les Call of. Tout simplement l’épisode de la maturité.
Retrouvez plus bas la suite de notre test de Call of Duty : Avanced Warfare


Les plus
  • Enfin un moteur graphique next gen’ !
  • L’exosquelette rend le gameplay encore plus nerveux...
  • ...et offre enfin de la verticalité !
  • Le meilleur solo depuis Modern Warfare 2
  • Il faut 8h pour finir la campagne solo
  • Un arsenal qui fait mouche !
  • Les cinématiques en CGI sont absolument somptueuses
  • Kevin Spacey + Troy Baker + Gideon Emery
  • Une expérience multi ultra complète
  • Les modes Uplink et Momentum vraiment addictifs
  • L’introduction du loot en multi
  • Du 60fps en permanence, solo comme multi
  • Contenu titanesque
  • L’épisode de la maturité
Les moins
  • On aurait adoré davantage de niveaux ouverts à la Throttle
  • Mode coop’ un peu trop classique
  • Pas de grappin en multi
  • On n’a pas pu tester le mode Zombie
  • Le héros encore et toujours muet


Le Test

S’il y a bien une série qui peut se targuer d’être aussi rigoureuse qu’un métronome, c’est bien Call of Duty. Cela fait d’ailleurs plus de 10 ans que le FPS militaire fait le bonheur de ses fans et de son éditeur Activision, qui peut compter sur chacun des épisodes pour renflouer ses caisses. Un an après l’expérience mitigée qu’était Call of Duty Ghosts, pourtant signé des mains d’Infinity Ward, c’est au tour de Sledgehammer Games de se lancer dans l’aventure avec Advanced Warfare, qui est donc leur premier Call of réalisé entièrement par leurs soins. Vous vouliez du changement ? Et bien, c’est maintenant !

Test réalisé sur PS4 et Xbox One 


Call of Duty : Advanced WarfareQue l’on adhère ou pas à l’esprit Call of, il faut bien admettre qu’Activision se donne la peine pour tenter de renouveler sa licence fétiche. Sa dernière idée en date ? Faire appel à un troisième studio pour épauler ceux qui sont déjà à l’ouvrage, mais aussi permettre de gagner une année de production supplémentaire. En effet, l’arrivée de Sledgehammer Games a permis à chacun des studios en lice de bénéficier de 3 ans de développement, l’objectif étant de monter en qualité pour ne pas décevoir les fans, car ils sont nombreux. Fondé en 2009 par Glen A. Schofield et Michael Condrey, les deux pontes de Visceral Games qui ont mené le développement du premier Dead Space, Sledgehammer Games ne débarque pas dans l’aventure Call of comme une simple jouvencelle. Car à l’époque de Call of Duty : Modern Warfare 3, le studio était déjà aux côtés d’Infinity Ward pour l’aider dans la création de la campagne solo. Cette expertise désormais acquise, Sledgehammer Games s’est donc lancé en 2011 dans la production de ce qui sera le vrai Call of nouvelle génération, l’épisode Ghosts n’était en réalité qu’un volet de transition. Nouveau studio et nouvelles consoles oblige, il fallait bien repartir sur des bases saines et c’est de cette manière que l’idée de proposer une toute nouvelle série (trilogie ?) a germé.

 

LE DROIT DE PAROLE

 

Call of Duty : Advanced WarfareComme son nom l’indique, Advanced Warfare nous propulse dans le futur, mais pas un futur si lointain puisque l’action se déroule en 2054, une période où le monde essaie de se reconstruire après qu’un groupe terroriste, le KVA, ait réalisé une série d’attaques sur des centrales nucléaires de par le monde. Ce dernier a sombré alors dans un chaos épouvantable et il en résulte ainsi une tension palpable permanente qui profite à des sociétés militaires privées, qui souhaitent rétablir l’ordre sur les cinq continents. La plus ambitieuses de ces firmes n’est autre qu’Atlas Corporation, fondée par un certain Jonathan Irons, interprété magistralement par le génial et vil Kevin Spacey. En gros, comprenez par-là que "Monsieur House of Cards j’t’embobine la tête en deux-deux" incarne le grand méchant de cet épisode, comme on a pu le voir déjà dans de nombreux trailers. Sans rentrer dans les détails du scénario, histoire de ne pas vous spoiler (même si c’est devenu une spécialité maison), sachez que le choix de Kevin Spacey est certainement l’un des plus judicieux depuis le début de la série. Celui qu’on associe systématiquement à Keyser Söze a en effet apporté sa patte et son identité bien à lui, faisant de son personnage de Jonathan Irons un méchant à la fois crédible et respectable.
 


Sans rentrer dans les détails du scénario, histoire de ne pas vous spoiler (même si c’est devenu une spécialité maison), sachez que le choix de Kevin Spacey est certainement l’un des plus judicieux depuis le début de la série. 

 

Call of Duty : Advanced WarfareS’il est la star incontestée du jeu, Kevin Spacey a en face de lui d’autres acteurs qui ne déméritent pas, à commencer par le désormais ultra médiatisé et populaire Troy Baker. Lui aussi associé à tout jamais au personnage de Joel dans The Last of Us, Troy Baker a été choisi pour incarner le soldat Mitchell que le joueur incarnera tout au long de la campagne solo. Exit la myriade de personnages qu’on incarnait dans les précédents Call of (les Black Ops plus particulièrement), où la narration – parfois décousue – nous emmêlait complètement les pinceaux. Le choix de se concentrer sur un seul et unique personnage principal a été l’un des leitmotivs de Sledgehammer qui souhaitait par-dessus tout que le joueur s’identifie complètement au héros. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle Mitchell est, comme dans de nombreux FPS, toujours aussi muet dans les séquences in-game, alors qu’il n’hésite pas à prendre la parole lors des cinématiques. Des cut-scenes au rendu absolument incroyable d’ailleurs, donnant ce sentiment d’avoir affaire à de véritables scènes filmées. Troublant. Vraiment. Toujours est-il que ce choix de ne faire parler son héros que lors des cinématiques fait ainsi naître un contraste assez déroutant, qui pose la question légitime de savoir s’il ne serait pas temps pour la série Call of d’insuffler davantage de profondeur à ses héros, en leur offrant le droit de parole. Mais là est un autre débat…

 

CALL OF BEAUTY

 

Call of Duty : Advanced WarfareSi Call of Duty est avant tout connu pour son multijoueur, il ne faut pas non plus oublier que c’est aussi la série qui a propulsé le FPS pop-corn sur le devant de la scène, grâce à ses campagnes solo qui en mettent plein la tête. Le spectacle avant tout, avec des explosions à tire-larigot, des envolées lyriques et une mise en scène hollywoodienne, voilà une recette qui fait mouche depuis plus de 10 ans. Il y a eu cependant un bémol en 2013, puisque l’épisode Ghosts avait clairement déçu les fans avec un solo franchement pas inspiré et au scénario complètement tordu. Privé de ses têtes pensantes et du coup de pouce de Sledgehammer, Infinity Ward a perdu de sa superbe, c’est un fait. Mais soyez rassurés, cette année, les choses ont bien changé et même évolué dans le bon sens puisque Sledgehammer Games a tout simplement accouché du meilleur solo depuis bien longtemps ; peut-être même depuis Modern Warfare 2. Déjà intouchable en termes de rythme et de mise en scène, la série Call of Duty s’envole vers des sommets encore plus stratosphériques depuis que Sledgehammer a mis son grain de sel. Fort de son expérience sur Dead Space, l’équipe propose en effet une véritable plus-value grâce à la diversité de sa campagne solo. Contrairement aux derniers épisodes qui jouaient la carte de l’hystérie avec un enchaînement, parfois too much, de séquences épiques, Sledgehammer prend le temps de poser une ambiance et n’hésite pas à imposer un style de jeu bien particulier en fonction des niveaux. Pêle-mêle, on vous cite le chapitre "Aftermath" et sa ville de Detroit en ruines qui rappelle The Last of Us, "Sentinel" qui nous fait découvrir les joies de l’infiltration au grappin dans la chaleur moite de la Thaïlande, "Collapse" et sa scène apocalyptique sur le pont de San Francisco, "Manhunt" qui se démarque par l’utilisation d’un drône et de ses multiples embranchements et enfin "Throttle" qui offre un niveau complètement ouvert où l’on peut faire usage de tout son arsenal, grappin y compris, dans une scène de guerre qui restera dans les mémoires. Les deux ans d’écriture sur le scénario se ressentent immédiatement, avec un scénario certes classique mais ultra efficace. C’est surtout la narration qui fait mouche, aidée par une grande diversité de ses niveaux et une durée de vie qui a considérablement augmenté.

 

En effet, il y a de quoi faire puisque cet épisode franchit – enfin – le cap de la next gen’ avec un moteur graphique flambant neuf, qui réussit à afficher des graphismes fins et détaillés, tout en conservant un frame-rate impeccable de 60fps, solo comme multi.

 

Call of Duty : Advanced WarfareCroyez-le ou non mais la campagne de Call of Duty : Advanced Warfare tient bel et bien en haleine une petite dizaine d’heures de jeu, comme nous l’avaient promis les développeurs. Il nous aura fallu par exemple 8 heures pour voir défiler le générique de fin, en mode "Hardened", soit le troisième degré de difficulté sur les quatre proposés, et en rushant un maximum, c’est-à-dire sans se prendre la tête à récupérer les bonus cachés ou prendre le temps de s’arrêter pour contempler les paysages, pourtant magnifiques. En effet, il y a de quoi faire puisque cet épisode franchit – enfin – le cap de la next gen’ avec un moteur graphique flambant neuf, qui réussit à afficher des graphismes fins et détaillés, tout en conservant un frame-rate impeccable de 60fps, solo comme multi. A titre de comparaison, sachez que la qualité visuelle d’Avanced Warfare se rapproche énormément de celle de Battlefield 4, qui a encore un léger avantage, notamment dans la finesse de ses textures et la richesse de ses environnements. Cela dit, quoiqu’il arrive, on ne pourra plus troller Call of pour ses graphismes obsolètes, la série s’est enfin mis au diapason.



I AM IRON MAN !
 

Call of Duty : Advanced WarfareEt les bonnes idées ne s’arrêtent pas en si bon chemin, étant donné que la grande nouveauté de cet Advanced Warfare n’est autre que l’introduction de l’exosquelette, qui propulse la série dans une autre dimension. C’est simple, en termes de gameplay, il y aura un avant et un après Call of Duty Advanced Warfare car l’arrivée des EXO permet au jeu de gagner en verticalité. Les détracteurs peuvent toujours hurler au plagiat et crier haut et fort que Titanfall a déjà eu l’idée il y a un an, il n’empêche que tout le jeu a été bâti autour de cet exosquelette. Double saut, force décuplée, possibilité d’amortir ses chutes grâce au jet-pack, l’attirail du soldat du futur évolue d’ailleurs au fur et à mesure que l’histoire avance dans le jeu, le scénario se déroulant en effet sur 7 ans. D’ailleurs, histoire d’apporter encore plus d’intérêt, Sledgehammer a mis en place un arbre de compétences qui permet d’améliorer plusieurs aspects tels que la vitesse, la résistance aux dégâts, le recul, le rechargement, la visée et bien d’autres choses encore… Et puis, histoire d’accompagner cet outil du futur, sachez que les armes dans le jeu méritent qu’on leur accorde quelques lignes dans ce test fleuve, car ils participent elles aussi à l’immersion du joueur. On pense notamment au grenade tout en un, au fusil à pompe qui envoie une décharge énergétique, au grappin qui renvoie à la série des Batman Arkham ou bien encore les gants magnétiques qui rappellent l’une des scènes principales de Mission Impossible 4 et les différents Boosts qui permet de faire dasher son soldat dans n’importe quelle direction, même dans les airs. Oui, Call of Duty Advanced Warfare enchaîne les bons points.
 

C’est simple, en termes de gameplay, il y aura un avant et un après Call of Duty Advanced Warfare car l’arrivée des EXO permet au jeu de gagner en verticalité. 

 

Call of Duty : Advanced Warfare

Et tous ces efforts dans la campagne solo aboutissent irrémédiablement à l’autre plat de résistance du jeu, à savoir le mode multijoueur. Là aussi, le jeu ne fait pas dans la demi-mesure et un soin tout particulier a également été apporté au jeu en ligne. Fan du multi de Black Ops 2, Michael Condrey (co-fondateur de Sledgehammer Games) n’a jamais caché son envie de s’en inspirer. On se retrouve ainsi avec le système du Pick-13 qui consiste à attribuer 13 points majeurs pour que le joueur puisse personnaliser son soldat et ainsi créer soi-même sa classe. Une fonctionnalité qui prend d’ailleurs une autre dimension puisque le jeu intègre pour la première fois un système de loot, baptisé ici "Supply Drop". Concrètement, à la fin de chaque partie, et en fonction de vos actions, vous obtiendrez des bonus pour faire évoluer votre personnage. Certains loots sont permanents, tandis que d’autres expirent au bout d’un certain temps, vous obligeant alors à vous surpasser en permanence pour tenter de récupérer votre dû. A cela s’ajoute le retour des Scorestreaks qui participent aussi à la récupération d’objets à la fin de chaque partie, puisque selon les résultats obtenus dans chaque partie, il est possible de récupérer des bonus, personnalisable à loisir et utilisable en mode coopération.


M FOR MATURE

 

Call of Duty : Advanced WarfareCe dernier a d’ailleurs été largement inspiré par le mode "Survie" de Modern Warfare 3 auquel Sledgehammer avait participé en 2011. Jouable à 4 en ligne (ou à 2 en écran splitté – mais on vous le déconseille par manque de lisibilité), le mode coop "EXO Survival" propose de survivre à des vagues d’ennemis, plutôt coriaces, avec des objectifs à atteindre. On ne cachera pas que la difficulté de l’I.A. pimente les parties considérablement et pousse les joueurs à adopter des techniques en fonction des maps pour rester vivants le plus longtemps possible. C’est amusant et efficace, même si on aurait aimé avoir accès à des maps exclusives et non reprises du multijoueur. Heureusement, ce dernier propose ce qu’il faut d’inédit pour nous faire oublier ce manque de clairvoyance, grâce aux modes "Uplink" et "Momentum", qui risquent de devenir de nouvelles références du jeu online. Peut-être le plus fun, "Uplink" oppose deux équipes qui doivent récupérer une balle qui doit être placées à l’intérieur d’une boule géante placée dans le camp adverse. Deux possibilités pour marquer : soit lancer la balle dans la zone et dans ce cas, on marque 1 point, soit on pénètre avec la balle dans cette zone pour marquer 2 points. En sachant qu’il est possible de se balancer la balle de partenaire en partenaire, je vous laisse imaginer le boxon que cela peut provoquer sur les serveurs. Ah oui, petite précision qui a son utilité : le porteur de la balle perd ses armes mais possède une armure renforcée. Le mode "Momentum" propose une approche du multi différente, puisque le but est de capturer 5 drapeaux placés aléatoirement sur la carte. En sachant que chaque équipe part avec 2 drapeaux chacun et qu’il reste qu’un seul drapeau blanc, l’objectif est d’aller le plus vite possible pour espérer glaner le maximum de points. Là aussi, l’esprit d’équipe est mis à contribution car plus une team parvient à éliminer ses adversaires et plus la prise du drapeau est rapide.

 

Call of Duty : Advanced Warfare est sans nul doute le FPS qu’il ne faudra pas manquer en cette fin d’année sur consoles next gen’, et restera dans les mémoires collectives comme celui du renouveau.

 

Call of Duty : Advanced WarfareGros changement dans la campagne solo, l’exosquelette modifie lui aussi le comportement en multi, qui gagne lui aussi en verticalité. Il n’y a peut-être pas encore de wall-run à la Titanfall, mais on peut jouir des Boosts qui permettent de gagner en vélocité et en esquive. Boost Jump, Boost Slide, Boost Dodge et enfin Boost Slam (pour percuter un adversaire en plein vol), les déplacements sont désormais vifs comme l’éclair et là aussi, il y aura un avant et un après Advanced Warfare. On s’est d’ailleurs plusieurs fois posé la question : comment revenir au gameplay d’antan une fois qu’on a pris goût aux possibilités énormes offertes par l’EXO ? Treyarch et Infinity Ward vont-ils se sentir obligés de l’intégrer eux aussi à leur gameplay pour ne pas passer par des has-been ? Sentant les railleries de certains joueurs réfractaires aux changements, Sledgehammer a eu le bon goût d’intégrer un mode dit "Classic", dans lequel toutes les fonctionnalités de l’EXO ont été supprimés pour adopter un style de jeu plus traditionnel. On l’a testé, on l’a vite oublié. Oui, vous l’avez compris, Sledghammer vient de donner un grand coup de pied dans la fourmilière et son expérience multi, au même titre que la campagne solo, est elle aussi celle de la mâturité. Avec ses 13 maps disponibles dès le lancement, ses 12 modes ultra variés (dont 2 inédits, à savoir "Momentum" et "Uplink"), Call of Duty : Advanced Warfare est sans nul doute le FPS qu’il ne faudra pas manquer en cette fin d’année sur consoles next gen’, et restera dans les mémoires collectives comme celui du renouveau. Sledgehammer vient de frapper un grand coup et en profite pour mettre un grand coup de pression à Treyarch et Infinity Ward. Bon courage pour passer derrière...


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