La Note
14 20
14 20
Les plus
- Graphismes
Bande Son
Les moins
- Jouabilité
Durée de Vie
Le Test
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Tous les possesseurs de la défunte Nintendo 64 se rappellent sans doute des jeux signés Rare, toujours dans un même objectif de qualité mais hélas si peu nombreux.
Tous les possesseurs de la défunte Nintendo 64 se rappellent sans doute des jeux signés Rare, toujours dans un même objectif de qualité mais hélas si peu nombreux. On ne peut donc que se rappeler des deux compères Banjo l'ourse et Kazooie l'oiseau qui formait à l'époque un couple harmonieux dans un jeu magnifique, une ambiance hors du commun ainsi qu'une profonde richesse qui ont réussi à propulser Banjo & Kazooie comme un incontournable sur la N64.
Un retour vers le passé
Fans du studio anglais Rare ainsi que de la série des Banjo & Kazooie, c'est avec joie que je vous accueillerez ce nouvel épisode sur la portable de Nintendo. Même si Rare a dû faire face aux restrictions techniques de la Game Boy Advance, on a tout de même droit à une suite, ce qui est hélas plutôt ‘Rare’ dans ce genre de situation. Souvenez vous... Gruntilda qui est une sorcière aussi moche qu'un hiver sans neige a été vaincu par nos deux compères et enterrer bien profondément sous un rocher. La paix était donc revenu dans ce monde jusqu'au jour ou le stupide Klungo, serviteur infini de Gruntilda réussit à la ressusciter grâce à un costume mécanique, la boule verte enferme son âme dans ce nouvel habillage mécanique qui ne va pas empêcher l'envie de se venger et c'est là que tout recommence.
On reprend les mêmes
Comme on dit, on ne change pas une équipe qui gagne et cela s'applique plus particulièrement dans ce genre de titre. Si Banjo c'était à l'époque bien différencié d'un Mario, c'est grâce à ses personnages secondaires qui avaient tous un certain charisme. Dans cette version GBA, on en retrouve quelques uns d'entres eux qui ont résisté au changement de machine, l'Oracle Jinjos qui reste planté dans son palais, l'irréductible Mumbo et des autres dont je vous laisse le plaisir de découvrir. D'ailleurs, il faudra souvent apporter son aide à ces personnages qui vous feront gentiment don d'une pièce de puzzle, enfin ce n'est pas plus mal pour donner plus de variété au gameplay.
Avec seulement quatre boutons, on était en droit de craindre une simplification pure des mouvements. On avait raison d'être craintif à ce sujet puisque oui, les mouvements ont été largement simplifiés, un retour en arrière pour ce qui était l'un des points fort de cette série. Néanmoins, notre ami Bozzey la taupe radine sera toujours là pour vous enseigner de nouveaux mouvements, lancé d’œufs, double saut et autres gymnastiques de nos deux héros qui sauront utiliser toutes leurs performances communes. Encore une fois, on se rend compte que la Game Boy Advance est limité; les passages de plateforme sont très difficile à aborder à cause de la vue de dessus en 3D pas toujours pratique pour certaines actions précises. Il est bon de souligner que le déroulement du jeu est très, trop facile, une première de la part du studio anglais qui nous avait habitué à des titres d'une difficulté extrême. Quoi que, attendez de vous trouver devant le boss final, le petit déclic à la sauce Rare qui vous fera dresser vos cheveux au plafond !
Que serait un Banjo sans les transformations mythiques de l'apprenti Chaman Mumbo Jumbo qui vous montrera ses talents de magicien pour vous transformer en une bougie, un tank, une pieuvre et d'autres 'choses' peu communes. Non content de proposer une bonne dose de fun et d'humour, ces transformations vous permettront principalement de remplir des objectifs inédits afin d'amasser des pièces de puzzle. Rien n'a bougé au niveau du principe, il vous faudra toujours épier les mondes à la recherche de pièces de puzzle, ce n'est pas tout puisque vous pouvez aussi collecter d'autres objets comme les Jinjos qui vous seront bien utiles pour finir le jeu à 100%.
6 mondes, 6 heures
Banjo & Kazooie version Nintendo 64 proposait des mondes d'une grande variété laissant place à l'imagination légendaire de l'ex-studio made in Nintendo. Heureusement l'équipe n'a pas été en rupture d'idées en nous offrant des niveaux toujours aussi colorés et variés dans l'ensemble. Cependant, la variété et le bonheur laisse place à des niveaux trop petits, des ennemis trop peu nombreux sans fond : Une énorme déception qui s'accentue lorsque l'on apprend qu'il n'y a que 6 mondes. Une trop grande simplicité qui devient presque banale sur Game Boy Advance et qui gâche un peu l'intérêt du jeu. Un joueur moyen mettra quelques heures avant de boucler le jeu. A cela, il faut ajouter la présence en bonus d'une bonne dizaine de mini-jeux qui relancera la console portable après l’avoir terminé. Un dessert appétissant pour ne pas être trop déçu d'avoir fini le jeu trop rapidement. Avec des graphismes magnifiques dans des environnements toujours aussi colorés; sur ce point de vu on retrouve avec passion Banjo & Kazooie. En outre, le durée de vie et la simplicité liée au format de la Game Boy Advance rabaisse son intérêt dans le fond. Mais les joueurs de la console portable devront s'en contenter car il s'agit là du dernier opus singé Rare sur une console Nintendo.
Un retour vers le passé
Fans du studio anglais Rare ainsi que de la série des Banjo & Kazooie, c'est avec joie que je vous accueillerez ce nouvel épisode sur la portable de Nintendo. Même si Rare a dû faire face aux restrictions techniques de la Game Boy Advance, on a tout de même droit à une suite, ce qui est hélas plutôt ‘Rare’ dans ce genre de situation. Souvenez vous... Gruntilda qui est une sorcière aussi moche qu'un hiver sans neige a été vaincu par nos deux compères et enterrer bien profondément sous un rocher. La paix était donc revenu dans ce monde jusqu'au jour ou le stupide Klungo, serviteur infini de Gruntilda réussit à la ressusciter grâce à un costume mécanique, la boule verte enferme son âme dans ce nouvel habillage mécanique qui ne va pas empêcher l'envie de se venger et c'est là que tout recommence.
On reprend les mêmes
Comme on dit, on ne change pas une équipe qui gagne et cela s'applique plus particulièrement dans ce genre de titre. Si Banjo c'était à l'époque bien différencié d'un Mario, c'est grâce à ses personnages secondaires qui avaient tous un certain charisme. Dans cette version GBA, on en retrouve quelques uns d'entres eux qui ont résisté au changement de machine, l'Oracle Jinjos qui reste planté dans son palais, l'irréductible Mumbo et des autres dont je vous laisse le plaisir de découvrir. D'ailleurs, il faudra souvent apporter son aide à ces personnages qui vous feront gentiment don d'une pièce de puzzle, enfin ce n'est pas plus mal pour donner plus de variété au gameplay.
Avec seulement quatre boutons, on était en droit de craindre une simplification pure des mouvements. On avait raison d'être craintif à ce sujet puisque oui, les mouvements ont été largement simplifiés, un retour en arrière pour ce qui était l'un des points fort de cette série. Néanmoins, notre ami Bozzey la taupe radine sera toujours là pour vous enseigner de nouveaux mouvements, lancé d’œufs, double saut et autres gymnastiques de nos deux héros qui sauront utiliser toutes leurs performances communes. Encore une fois, on se rend compte que la Game Boy Advance est limité; les passages de plateforme sont très difficile à aborder à cause de la vue de dessus en 3D pas toujours pratique pour certaines actions précises. Il est bon de souligner que le déroulement du jeu est très, trop facile, une première de la part du studio anglais qui nous avait habitué à des titres d'une difficulté extrême. Quoi que, attendez de vous trouver devant le boss final, le petit déclic à la sauce Rare qui vous fera dresser vos cheveux au plafond !
Que serait un Banjo sans les transformations mythiques de l'apprenti Chaman Mumbo Jumbo qui vous montrera ses talents de magicien pour vous transformer en une bougie, un tank, une pieuvre et d'autres 'choses' peu communes. Non content de proposer une bonne dose de fun et d'humour, ces transformations vous permettront principalement de remplir des objectifs inédits afin d'amasser des pièces de puzzle. Rien n'a bougé au niveau du principe, il vous faudra toujours épier les mondes à la recherche de pièces de puzzle, ce n'est pas tout puisque vous pouvez aussi collecter d'autres objets comme les Jinjos qui vous seront bien utiles pour finir le jeu à 100%.
6 mondes, 6 heures
Banjo & Kazooie version Nintendo 64 proposait des mondes d'une grande variété laissant place à l'imagination légendaire de l'ex-studio made in Nintendo. Heureusement l'équipe n'a pas été en rupture d'idées en nous offrant des niveaux toujours aussi colorés et variés dans l'ensemble. Cependant, la variété et le bonheur laisse place à des niveaux trop petits, des ennemis trop peu nombreux sans fond : Une énorme déception qui s'accentue lorsque l'on apprend qu'il n'y a que 6 mondes. Une trop grande simplicité qui devient presque banale sur Game Boy Advance et qui gâche un peu l'intérêt du jeu. Un joueur moyen mettra quelques heures avant de boucler le jeu. A cela, il faut ajouter la présence en bonus d'une bonne dizaine de mini-jeux qui relancera la console portable après l’avoir terminé. Un dessert appétissant pour ne pas être trop déçu d'avoir fini le jeu trop rapidement. Avec des graphismes magnifiques dans des environnements toujours aussi colorés; sur ce point de vu on retrouve avec passion Banjo & Kazooie. En outre, le durée de vie et la simplicité liée au format de la Game Boy Advance rabaisse son intérêt dans le fond. Mais les joueurs de la console portable devront s'en contenter car il s'agit là du dernier opus singé Rare sur une console Nintendo.
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