Richard Burns, un jeu pou
Evidemment, tout le monde se pose la question : Y a-t-il encore de la place pour un jeu de rallye ? Colin Mc Rae 04 est maintenant considéré comme la seule et unique référence dans le genre, et il est encore tout frais. De plus, les possesseurs de Xbox attendent de pied ferme la suite de Rallisport Challenge qui s’annonce exceptionnelle (pour en avoir vu une vidéo à l’XO2 dernier, on peut vous le dire !).
Mais chez SCI, on y croit. Le nom de Richard Burns a beau ne pas être très connu, ses conseils avisés ont permis d’obtenir un jeu très réaliste, et surtout un cours de pilotage complet. C’est généralement par là que vous commencerez, même si vous pensez avoir déjà quelques notions en la matière. La gestion des freins, et en particulier du frein à main est vraiment délicate à assimiler, ainsi vous pourrez même embarquer à bord d’une voiture en tant que co-pilote, la conduite étant assuré par Richard Burns lui-même. Un moyen original pour bien comprendre comment appréhender un virage en épingle, par exemple. Dans le même genre, dans le mode « time attack », la voiture fantôme est conduite par Burns qui a passé des heures sur la version PC, avec un volant ! On peut donc dire que le monsieur s’est légèrement impliqué.
Lors de la présentation du jeu, nous avons pu discuter avec Patrick O’Luanaigh, directeur artistique chez SCI. Cet éditeur anglais, connu pour ses jeux Conflict Desert Storm, Futurama ou Italian Job, cherche clairement à prendre la couronne du roi de la simulation à Codemasters. Seules 8 voitures sont licenciées, mais d'après Patrick, leur modélisation est splendide, tout comme les décors qui frôlent vraiment le photoréalisme. La végétation est enfin crédible et surtout, surtout, les routes ne sont pas lisses. Des trous, des petits ravins ou des bosses parsèment les étapes et rajoutent une difficulté supplémentaire au jeu. De plus, les conditions météorologiques prendront ce relief en compte pour transformer les creux en flaque, et ajouter de la boue sur les bas-côtés.
Enfin, pour pousser encore plus loin la simulation, les développeurs ont refusé le système de « résurrection » de la voiture en cas d’accident. Si vous vous plantez, il faudra compter sur l’aide des spectateurs présents dans le décor ! Mais si les dégâts sont trop importants, alors c’est fini pour vous !
Voilà, il reste encore beaucoup de choses à dire, mais on en garde un peu pour plus tard. Sachez tout de même que la preview que nous avons essayé sur PC est de loin la plus complète et la plus belle, mais sa grande difficulté risque d’en rebuter quelques-uns. On attend de voir les versions finales avant de se prononcer, quand à vous, vous pouvez déjà admirer les photos spécifiques à chaque version.
Sortie prévue en mai
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Mais chez SCI, on y croit. Le nom de Richard Burns a beau ne pas être très connu, ses conseils avisés ont permis d’obtenir un jeu très réaliste, et surtout un cours de pilotage complet. C’est généralement par là que vous commencerez, même si vous pensez avoir déjà quelques notions en la matière. La gestion des freins, et en particulier du frein à main est vraiment délicate à assimiler, ainsi vous pourrez même embarquer à bord d’une voiture en tant que co-pilote, la conduite étant assuré par Richard Burns lui-même. Un moyen original pour bien comprendre comment appréhender un virage en épingle, par exemple. Dans le même genre, dans le mode « time attack », la voiture fantôme est conduite par Burns qui a passé des heures sur la version PC, avec un volant ! On peut donc dire que le monsieur s’est légèrement impliqué.
Lors de la présentation du jeu, nous avons pu discuter avec Patrick O’Luanaigh, directeur artistique chez SCI. Cet éditeur anglais, connu pour ses jeux Conflict Desert Storm, Futurama ou Italian Job, cherche clairement à prendre la couronne du roi de la simulation à Codemasters. Seules 8 voitures sont licenciées, mais d'après Patrick, leur modélisation est splendide, tout comme les décors qui frôlent vraiment le photoréalisme. La végétation est enfin crédible et surtout, surtout, les routes ne sont pas lisses. Des trous, des petits ravins ou des bosses parsèment les étapes et rajoutent une difficulté supplémentaire au jeu. De plus, les conditions météorologiques prendront ce relief en compte pour transformer les creux en flaque, et ajouter de la boue sur les bas-côtés.
Enfin, pour pousser encore plus loin la simulation, les développeurs ont refusé le système de « résurrection » de la voiture en cas d’accident. Si vous vous plantez, il faudra compter sur l’aide des spectateurs présents dans le décor ! Mais si les dégâts sont trop importants, alors c’est fini pour vous !
Voilà, il reste encore beaucoup de choses à dire, mais on en garde un peu pour plus tard. Sachez tout de même que la preview que nous avons essayé sur PC est de loin la plus complète et la plus belle, mais sa grande difficulté risque d’en rebuter quelques-uns. On attend de voir les versions finales avant de se prononcer, quand à vous, vous pouvez déjà admirer les photos spécifiques à chaque version.
Sortie prévue en mai
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