No Man's Sky : "le jeu était une erreur" d'après le compte Twitter des développeurs

C'est une histoire peu banale à laquelle est confronté le jeu No Man's Sky et ses développeurs de Hello Games. Il y a moins d'une heure, le compte Twitter de Hello Games (qui n'avait pas donné signe de vie depuis le 23 septembre dernier) s'est réveillé en tweetant les mots suivant :

No Man's Sky was a mistake.
No Man's Sky était une erreur.

Le tweet est resté online pendant plusieurs minutes avant d'être supprimé. Juste après, le site Polygon recevait un mail de la part de Sean Murray, du moins venant de sa propre boîte mail, expliquant qu'il était bel et bien l'auteur de ce tweet, mais que quelqu'un l'a malheureusement supprimé. Dans ce mail étaient expliqués les désagréments du développement, que le jeu est sorti non fini et que cette faute n'est pas à rejeter uniquement sur Sony, mais aussi en raison de la pression exercée par la communauté.



Hello Games s'est bien entendu justifié de ce tweet, précisant qu'il s'agissait l'oeuvre d'un employé mécontent et qu'une enquête allait être ouverte pour tenter de trouver le responsable. De son côté, Sean Murray s'est aussi exprimé sur le sujet via son compte Twitter avec une touche humoristique comme pour désamorcer l'affaire, ou peut-être détourner les regards...

Serveur piraté. Nous visionnons les épisodes de Mr Robot le plus rapidement possible pour trouver des réponses. L'épisode 5 était excellent.
 

Si une erreur a été faite, c'est d'avoir utilisé Linked In sans 2FA

Que faut-il comprendre derrière cette histoire finalement assez marrante ? Que les notes moyennes de la presse et le retour négatif des joueurs a causé bien du tort aux équipes de Hello Games, mais aussi de Sean Murray, personnage réputé pour ne pas avoir la langue dans sa poche. Et si tout cela n'était finalement que l'oeuvre du créateur du jeu, trop frustré de ne pas pouvoir se désolidariser d'un jeu franchement pas terrible ? Vous pouvez d'ailleurs toujours lire notre test de No Man's Sky, noté 13/20 chez JEUXACTU.