Gothic II
Dans la grande série des longs RPG, après l'immense succès de Morrowind, voici Gothic II. De longues nuits blanches en perspective.
Comme son nom le laisse entendre, Gothic II est bien la suite de Gothic I... Ne cherchez pas trop loin dans vos pensées, si ce titre ne vous dit rien, ce n’est guère étonnant, il n’est jamais sorti chez nous.
Alors que Gothic II semblait suivre le même chemin, Atari a senti le bon coup et s’est décidé à distribuer le jeu chez nous. Développé par les allemands de Piranha Bytes, Gothic I s’est en effet forgé une belle réputation dans les pays germanophones en se vendant à plus de 100 000 unités.
L’histoire de Gothic II prend part trois semaines après avoir vaincu Speeder dans le premier épisode. Après un long sommeil réparateur, vous vous rendez compte que vous avez tout perdu, force, objets et expérience. Le magicien Xardas est heureusement là pour vous recueillir et vous conter brièvement tout ce qui s’est passé depuis la fin de votre précédente aventure. Une manière permettant de jouer à Gothic II sans avoir joué au premier. Sympa pour les nouveaux, fâcheux pour les anciens. Un nouveau personnage aurait été plus logique et moins frustrant pour ceux ayant terminé Gothic I.
À l’image de Morrowind, Gothic est un jeu de rôle épique, long, très long… Malgré l’absence du premier épisode chez nous, ceux qui ont pu jouer à Morrowind puis à Gothic, jugent même ce dernier un poil plus intéressant que le méga hit d’Ubi Soft.
Pourtant, les vrais amateurs de RPG risquent bien d’être déçus par de nombreux points du jeu. Pas de création de personnage, combats en temps réel avec la souris sans possibilité de faire pause (pour se soigner, c’est pas très pratique…), et difficulté rebutante par moments. Gothic se rattrape heureusement avec de nombreuses quêtes et une liberté de mouvements quasi-totale.
Plébiscité par la critique américaine depuis sa sortie en octobre 2003, Gothic II est prévu chez nous pour le 26 mars. La version française comprendra les voix en anglais et les textes en français. Verdict dans un peu moins de deux mois.
Alors que Gothic II semblait suivre le même chemin, Atari a senti le bon coup et s’est décidé à distribuer le jeu chez nous. Développé par les allemands de Piranha Bytes, Gothic I s’est en effet forgé une belle réputation dans les pays germanophones en se vendant à plus de 100 000 unités.
L’histoire de Gothic II prend part trois semaines après avoir vaincu Speeder dans le premier épisode. Après un long sommeil réparateur, vous vous rendez compte que vous avez tout perdu, force, objets et expérience. Le magicien Xardas est heureusement là pour vous recueillir et vous conter brièvement tout ce qui s’est passé depuis la fin de votre précédente aventure. Une manière permettant de jouer à Gothic II sans avoir joué au premier. Sympa pour les nouveaux, fâcheux pour les anciens. Un nouveau personnage aurait été plus logique et moins frustrant pour ceux ayant terminé Gothic I.
À l’image de Morrowind, Gothic est un jeu de rôle épique, long, très long… Malgré l’absence du premier épisode chez nous, ceux qui ont pu jouer à Morrowind puis à Gothic, jugent même ce dernier un poil plus intéressant que le méga hit d’Ubi Soft.
Pourtant, les vrais amateurs de RPG risquent bien d’être déçus par de nombreux points du jeu. Pas de création de personnage, combats en temps réel avec la souris sans possibilité de faire pause (pour se soigner, c’est pas très pratique…), et difficulté rebutante par moments. Gothic se rattrape heureusement avec de nombreuses quêtes et une liberté de mouvements quasi-totale.
Plébiscité par la critique américaine depuis sa sortie en octobre 2003, Gothic II est prévu chez nous pour le 26 mars. La version française comprendra les voix en anglais et les textes en français. Verdict dans un peu moins de deux mois.
Vidéos à ne pas manquer