Deathverse : un Battle Royale dans l'univers de Let it Die, premier trailer
Premier jeu qui a ouvert les hostilités lors du State of Play du 27 octobre 2021, Deathverse : Let It Die est un Battle Royale se déroulant dans l'univers de Let it Die, un jeu signé Grasshopper Manufacture (Suda51) sorti en 2017 et qui a eu son petit succès lors de sa sortie puisqu'il avait enregistré plus de 7 millions de téléchargements tout de même. Il s'agissait d'un free-to-play, il est quand même utile de le préciser. Face à ce succès, l'éditeur GungHo a commandé la production d'une "suite" avec une approche différente puisqu'il s'agit d'un Battle Royale. Pour justifier ces combats sanglants, l'histoire de Deathverse : Let It Die parle de Death Jamboree, une émission de télé-réalité futuriste où les candidats s'affrontent pour survivre. Comme d'habitude, chaque personnage dispose de son look distinct, mais aussi de ses aptitudes différentes. Si le jeu se veut bourrin, il proposera un gameplay vertical, avec la possibilité de grimper sur les murs pour prendre la fuite, ou mieux frapper son adversaire par surprise.
Puisque Grasshopper Manufacture a été racheté par les Chinois de NetEase récemment, c'est un autre studio qui est aux commandes, un certain Supertrick Games, composé d'anciens employés de Grasshopper Manufacture qui n'ont pas suivi Suda51 dans le transfert. Histoire d'être raccord avec le premier Let it Die, ce Deathverse sera aussi proposé gratuitement en free-to-play sur PS4 et PS5 pour le printemps 2022. On verra si le public répondra présent en masse comme en 2017.
Puisque Grasshopper Manufacture a été racheté par les Chinois de NetEase récemment, c'est un autre studio qui est aux commandes, un certain Supertrick Games, composé d'anciens employés de Grasshopper Manufacture qui n'ont pas suivi Suda51 dans le transfert. Histoire d'être raccord avec le premier Let it Die, ce Deathverse sera aussi proposé gratuitement en free-to-play sur PS4 et PS5 pour le printemps 2022. On verra si le public répondra présent en masse comme en 2017.
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