VR : la peau artificielle pourrait devenir le prochain outil de la réalité virtuelle !

Tous les jours, d'innombrables scientifiques s'attèlent à rendre la vie des blessés un peu moins morose : des innovations dont la conception prend un temps conséquent et, aussi, demandent beaucoup de temps et d'argent. Récemment, la revue Soft Robotics a mis en lumière la trouvaille des chercheurs de l'EPFL, l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne. Le meneur de ces études, Harshal Sonar, s'est attelée à la présentation de sa technologie impressionnante : "une peau artificielle entièrement douce où les capteurs et les actionneurs sont intégrés".
Une première dans l'industrie qui devrait apporter son lot de bonté : l'invention pourrait aider les personnes dont la peau est défaillante, notamment les grands brûlés, et leur ré-apporter la sensation... du toucher. Rien que ça. Faite en silicone et en électrodes flexibles, la matière envoie des micro-pulsations - cent par seconde ! - avec une connexion directe au cerveau pour une imitation du sens en question.
Évidemment, le but premier est avant-tout médicinal mais la question d'un avantage ludique se pose également : cette peau artificielle serait effectivement un argument solide pour la réalité virtuelle, consolidant terriblement l'immersion pour toutes sortes d'expériences VR.
Harshal Sonar y voit en tout cas un avenir radieux dans le domaine, affirmant que "la prochaine étape consistera à mettre au point un prototype entièrement portable pour des applications en réadaptation et en réalité virtuelle et augmentée". Le futur, c'est pour très bientôt.
Une première dans l'industrie qui devrait apporter son lot de bonté : l'invention pourrait aider les personnes dont la peau est défaillante, notamment les grands brûlés, et leur ré-apporter la sensation... du toucher. Rien que ça. Faite en silicone et en électrodes flexibles, la matière envoie des micro-pulsations - cent par seconde ! - avec une connexion directe au cerveau pour une imitation du sens en question.
Évidemment, le but premier est avant-tout médicinal mais la question d'un avantage ludique se pose également : cette peau artificielle serait effectivement un argument solide pour la réalité virtuelle, consolidant terriblement l'immersion pour toutes sortes d'expériences VR.
Harshal Sonar y voit en tout cas un avenir radieux dans le domaine, affirmant que "la prochaine étape consistera à mettre au point un prototype entièrement portable pour des applications en réadaptation et en réalité virtuelle et augmentée". Le futur, c'est pour très bientôt.

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